Nationalisme flamand

celles des autres alors que nous pourrions, au contraire, profiter d'échanges et d'ouvertures à la diversité mondiale? Ce problème est, d'ailleurs, très actuel, ici-même, en Belgique. Les flamands épris de leur identité régionale, veulent protéger leur culture et leurs caractéristiques. Le mouvement nationaliste flamand de De Wever prend beaucoup d'ampleur et plus vite que prévu, il dénigre les Wallons et leur culture qui se sentent alors agressés et exclus. Pourquoi ne pas faire preuve de relativisme

de multiples façons car l’état s’affranchit de plus en plus de ses fonctions traditionnelles. En Europe de l’ouest, la crise identitaire nationale est liée à la montée du nouveau nationalisme qui opère à différents niveaux, allant de la xénophobie aux formes plus modérées de nationalisme culturel. Ce nouveau nationalisme se développe davantage contre les immigrés que contre les autres nations ; il est moins motivé par des notions de supériorité culturelle que par les implications que le multiculturalisme

qui subit de plein fouet une déchristianisation depuis plusieurs années déjà. Cependant , le non respect en matière religieuse n'est pas de manière concrète l'avis populaire voir populiste - suisse mais plutôt le débat proposé par les extrémistes flamands ; autrement dit le Vlaams Belang. Ce parti xénophobe, raciste et nationaliste n'a pas eu d'autres idées que de lancer la proposition d'un débat non pas sur la possible interdiction future de construction de minarets sur notre espace géographique

Balkans un processus d'unification centralisatrice comparable à celui qui a présidé à la formation de la France, la péninsule aurait pu former une seule nation ; et qu'inversement, si les particularismes régionaux alsacien, breton, basque, corse, flamand, romand, normand, occitan ou provençal avaient été plus marqués (et avaient été, comme dans les Balkans, encouragés de l'extérieur), une dizaine de nations existeraient à la place de la France actuelle. Toutefois, cette unité culturelle n'est guère

........12 Introduction Le terme « d’extrême droite » sert à désigner les partis se trouvant à droite et s'appuyant sur un nationalisme et un traditionalisme très marqués, refusant la démocratie. L'extrême droite s'oppose alors à la droite modérée ou libérale. Elle appelle souvent à la dictature. Leur nationalisme affirmé est alors la principale raison de les classer à droite de la droite. Néanmoins, ces partis s'adressent d'abord à un électorat populaire, suivant une

alphabets et 43 langues -Fragmentat° : 47 Etats -les + anciens (Fr, RU) dès le MA →1648 traités de Westphalie, principe de souveraineté nationale -18ème: naissance de l'Etat-nation : coïncidence terr et peuple -19ème: mvt des nationalités , nationalisme →2 concept° de la nation: Fr (vivre ens) et All (données culturelles en part langue) →Diversité : taille, poids démogr (All,Fr,RU,It=55% des 27), institutions (démocratiques <critères de Copehague), place de la relig° (Fr très attachée

faire apprendre le français à ses sujets pour supplanter les patois locaux. À la veille de 1789, ceux qui deviendraient les Français d’aujourd’hui formaient donc un groupe linguistique bigarré (basque, breton, occitan, provençal, savoyard, alsacien, flamand…). À l’intérieur des provinces, l’emploi du dialecte local allait servir pour les tenants de la 118 La musique au secours du breton Le sociologue breton Ronan Le Coadic, auteur de L’Identité bretonne (Presses universitaires de Rennes, 1998),

très présent en Belgique Flamande. En effet ce parti reste le deuxième parti de la région des Flandres derrière les Chrétiens-Démocrates. Ce parti véhiculant l'idée d'une séparation immédiate et sans concession avec la région Wallonne a développé une idéologie nationaliste, conservatrice, et ouvertement et xénophobe. Son score était aux législatives de juin 2009 de 12,5%, subissant une baisse de son électorat du fait de la montée en puissance du parti séparatiste Flamand. 3)Les extrêmes droites

conflit mondial: -Compétition économique : Allemagne menace les intérêts britanniques dans l’Empire Ottoman. -Conflits coloniaux : Guerre en Afrique du Sud entre les paysans néerlandais soutenus par les allemands et les anglais. -Les nationalismes: panslavisme, pangermanisme, esprit de revanche (qu’ont les français) -Ambitions allemandes : Ils veulent le Congo. Si on ne leur donne pas, ils utiliseront les armes.  Fin du 19ème siècle : Europe est en paix mais armée ! (1914) Caractérisée

s’accompagne de même de la nécessaire adoption d’une langue. A nouveau l’hésitation entre l’hébreu, langue du livre, et le Yiddish, langue plus pratique sans être moins culturelle, trahit des clivages politiques. Cet exemple témoigne de la puissance des nationalismes, véritables creusets d'invention symbolique (J. Laroche) capables de ressusciter des langues morts ou de revivifier des manières de faire en vue de renforcer l'idée nationale. C)Parrainage international d’une culture nationale Il existe également