Nationalisme flamand

. Le nationalisme. A. Émergence et définition. 1. Définition du terme. • Le nationalisme émerge vraiment avec l'affaire Dreyfus qui entraîne la naissance de ce nouveau mouvement politique. ↳ Barrès le définit dans Le Figaro du 4 juillet 1892 “l'affirmation de la primauté dans l'ordre politique de la défense des valeurs nationales et des intérêts nationaux”. • La nation est la valeur suprême : la grandeur nationale est une dimension importante de la pensée nationaliste, mais ne leur

Constitution. 1869. Un décret du bey, en juillet, fait passer la Tunisie sous le contrôle d’une commission financière internationale présidée par la France. Début de sa mise sous tutelle. 1873. Fondation du collège Sadiki, qui deviendra le vivier du nationalisme tunisien, par Kheireddine Pacha. 1878. Lors du congrès de Berlin, en juillet, l’Angleterre et l’Allemagne donnent carte blanche à la France en Tunisie. 1881. Signature du traité du Bardo, le 12 mai, qui institue le protectorat français sur la

                                |                                     | |Idéologie politique             |Socialisme révolutionnaire ou         |Ensemble idéologique sans unité basé |Nationalisme (Pangermanisme et       | |                                 |Marxisme socialisme.                 |sur un nationalisme à coloration     |xénophobie), Socialisme, racisme et | |                                 |Adaptation locale par Lénine.         |socialisante.                         |antisémitisme

refus du chef de l'État de restituer le pouvoir aux civils ont conduit ses proches à l'évincer. Le général Murtala Mohammed, qui lui a succédé en février 1975, a assaini la fonction publique, conduit une politique de rigueur et raffermi le nationalisme nigérian. Il a porté le nombre des États fédérés à dix-neuf (ce qui tenait compte des rivalités entre groupes ethniques), décidé le transfert de la capitale fédérale de Lagos à Abuja, au centre du pays, et mis en oeuvre un programme de retour progressif

Exposé Sociologie Politique : Pierre Manent et l’ordre politique : les concepts de nation, démocratie I. La démocratie, au sein de la forme-nation 2 A. La nation ou les trois autarcies 2 B. La démocratie ou l’égalité des conditions : l’héritage de Tocqueville 3 C. Ambivalence de la nation par rapport à la démocratie 5 II. La démocratie de notre temps 6 A. La dépolitisation de la société démocratique 6 B. L’union européenne en extension infinie : cadre d'une nouvelle démocratie

c'est l'assouvissement d'un peuple avec un autre. Il y a une égalité qui est insupportable. C'est un appel à l'Indépendance. 1ère partie : Des conditions nécessaires et des raisons suffisantes. A. L’Europe à l'étroit. - exacerbation des nationalismes européens avant 1914 : règne drapeau, s'agrandir en dehors de l’Europe - revendication coloniale des pays retardataires : - multiplication des occasions de conflit hors d’Europe quand les colonies de rencontrent - le Maroc devient français en

été très rapide. La ville de Calcutta, par exemple, n’existait pas au XVIIIème siècle. Aujourd’hui, c’est une des plus grandes villes du monde. Au sein de cette bourgeoisie est apparue une intelligentsia qui a adapté les idéologies occidentales (nationalisme, marxisme) qui allaient lui permettre de conduire les mouvements de libération, par des guerres révolutionnaires si nécessaires. 2) Les mouvements nationalistes Ils se sont souvent déjà manifestés dans l’entre-deux-guerres, sans réellement

muent alors en nationalismes. Ces nationalismes s’expriment de deux façons : soit au sein d’Etats-Nation qui sont déjà constitués et qui entrent en concurrence avec d’autres puissances et revendiquent leur souveraineté, soit au sein d’Etat multinationaux où des minorités font valoir leurs droits. Mais au cours de cette période de 1870 à 1914, les nationalismes européens connaissent de véritables mutations. En effet Raoul Girardet définissait le nationalisme comme « nationalisme ouvert » soit le

| |II1.Tableau de la France à la Belle |L’expression « Belle Epoque » |Radicalisme, anticléricalisme, |-transformations économiques, sociales et | |Epoque (4 h) |est-elle justifiée ? |laïcité, nationalisme |culturelles étudiées à partir de l’exemple de | | | | |l’exposition universelle de 1900 (étude de | |

peuple, est davantage attachée à la Nation, à la patrie, au culte du terroir ou du chef. La gauche a une certaine idée de la République. La droite, une certaine idée de la France. La première penche volontiers vers la démagogie. La seconde, vers le nationalisme, la xénophobie ou l’autoritarisme. Cela n'empêche pas les uns et les autres d’être souvent de parfaits démocrates, ni de tomber parfois dans le totalitarisme. Mais ils n’ont pas les mêmes rêves, ni les mêmes démons. .4. Quatrième différence : une