Nationalisme serbe

publique. Mais elle doit s’adresser à eux, citoyens mobilisés, non à l’armée en tant que corps. ↳ ils réussissent à imposer le 11 novembre comme fête nationale. On y célèbre pas le culte de la Patrie victorieuse mais celui des †. On ne célèbre pas le nationalisme face à l’étranger, mais le citoyen † po la liberté. Ns ne sommes pas en présence d’1 glorification de la patrie triomphante mais d’1 hommage rendu / la collectivité aux † de la W. Ce qui est gd, ce n’est pas la patrie, entité abstraite, ce st les

de l’Italie au moyen d’un Etat fort qui impose sa volonté à l’intérieur du pays comme sur la scène internationale et rejette la démocratie libérale comme le marxisme. 2. Le nazisme : l’idéologie de la race Le nazisme est tout d’abord un nationalisme expansionniste qui souhaite la constitution d’une « Grande Allemagne ». C’est aussi un ultranationalisme avec une vision raciale de l’Allemagne, antisémite et xénophobe. La théorie des races est fondée sur le sang. Il existe une race supérieure

L’Europe a l’issue de la seconde guerre mondiale (1945-1947) Apres la capitulation allemande signée à Reims et à Berlin en mai 1945, qui a mis fin à la Seconde Guerre mondiale, le vieux continent fait l’état des lieux du conflit. L’Europe est un champ de ruines, occupée par deux puissances extérieures. Ces années sont primordiales, l’heure n’est pas uniquement au bilan, mais également à la reconstruction. La situation matérielle, humaine de l’Europe ainsi que les conséquences géopolitique du conflit

I Hitler et le NSDAP pendant la phase de mouvement (« bewegungphase ») 1920-1933 Hitler et sa « vision du monde » (« weltanschauung) A) Une jeunesse porteuse de radicalisme? Hitler fréquente le lycée moderne de Linz, ce qui se termine par un fiasco en 1905. Ses notes sont mauvaises, et tout juste suffisante en histoire et géographie. De 16 à 18 ans, après la mort de son père il ne fait rien. En 1907 il tente les beaux-arts de Vienne et échoue, mais

aboutir dans ces conditions. On note aussi qu’il ya des institutions européenne, deux grandes institutions nationaliste et deux grandes institutions fédéraliste. Encore un problème, l’Europe éprouve des difficultés à choisir entre fédéralisme et nationalisme. En conclusion, l’Europe, malgré les différents regroupements, n’est pas uni. En effet même dans les regroupements on peut considérer qu’il n’y a pas une véritable union. Elle reste encore désuni malgré des progrès, mais qui sais peut être que

Le Salut du général de Gaulle, publié en 1959, est le troisième tome de ses Mémoires de guerre. Ces mémoires font aussi l'autoportrait du général. En effet, les mémoires mettent en lumière l'histoire de l'époque racontée, l'autoportrait de leur auteur, et donc en quelque sorte l'histoire du mémorialiste lui-même. Aussi, quel autoportrait de Gaulle fait-il de lui ? D'abord se donne-t-il l'image d'un héros, celui d'un personnage de légende, hors du commun. Ensuite il est à l'instar d'un sauveur, celui

La Shoah La Shoah Sommaire -Biographie: Adolphe Hitler 1-Les origines de la Shoah 2-Les Camp de concentrations 3-Les conséquences Adolphe Hitler*(1889 -1945) Homme politique allemand,Adolphe Hitler est né le 20 avril 1889 en Autriche. Il abandonne ses études en 1907. De 1908 à 1913, il vit pauvrement à Vienne. Autodidacte, il dévore les livres. En 1914, Hitler s'engage dans l'armée allemande; il avait été réformé par les autorités autrichiennes. Il reçoit la Croix-de-fer

coloniser 1. La vitalité démographique 2. Puissance économique et financière 3. Supériorité technologique et militaire B. L’Europe a la volonté de coloniser 1. Une nouvelle période de grandes explorations 2. Les arguments politiques : nationalisme et volonté de puissance 3. Les motivations économiques : la recherche de débouchés et de matières premières 4. L’argument humanitaire : « civiliser » 5. Une opposition qui reste limitée II. Comment les Européens ont-ils construit et géré

mardi, mai 19, 2009 Du nationalisme aujourd'hui [pic]« Le nationalisme, aujourd’hui, n’est plus un programme politique global, comme on aurait pu le dire, et comme on la dit, au XIXe siècle et au début du XXe siècle. Il est tout au plus un facteur de complication ou un catalyseur d’autres phénomènes. On peut de façon plausible présenter l’histoire du monde eurocentrique du XIXe siècle comme celle de la « formation de nations ». C’est ainsi qu’était présenté l’histoire des principaux Etats d’Europe

entraîner leur perte. Les chefs nationalistes sont issus de la moyenne bourgeoisie (Nehru, Houphouët-Boigny), de l'armée (Nasser), du mouvement étudiant (Hô Chi Minh, Nyerere) ou syndical (Sékou Touré), parfois de l'aristocratie (Mohammed V). Le nationalisme anticolonialiste réfléchi est en fait un produit de la culture occidentale dispensée libéralement dans les universités métropolitaines aux fils des riches familles indigènes, les "educated natives". Initialement portés à revendiquer le partage