Nature

On oppose généralement la nature à la culture en disant que l'une nous confère une spontanéité, alors que l'autre nous oblige à agir à travers des règles mises en place par une société. Il est difficile d'évacuer la complexité de ces deux concepts car même s'il est vrai que notre comportement se différencie du comportement animal, dans le sens ou notre conscience nous permet d'engager des réflexions sur nos actes et nos choix, notre responsabilité et notre liberté, nous possédons en nous un instinct

La notion de nature a pris au Siècle des Lumières des significations nouvelles en particulier du fait de la révolution scientifique du XVIIe siècle et de l’étonnant développement des savoirs dans tous les domaines, non seulement en astronomie et en physique mais aussi en botanique, en zoologie, en minéralogie… La conquête de la planète par les puissances européennes a ouvert à l’exubérance de la nature ; les découvertes de nombreuses espèces nouvelles, voire étranges, commandent une classification

Du bon usage de la nature, Pour une philosophie de l’environnement Larrère Catherine et Raphaël, Du bon usage de la nature, Pour une philosophie de l’environnement, Collection Alto, Aubier, Paris, 1997, 355p. Ce livre interroge les rapports entre l’homme et la nature. Catherine Larrère est agrégée de philosophie et Raphaël Larrère est ingénieur agronome. Leurs savoirs respectifs combinés ont donné naissance à cet ouvrage : Du bon usage de la nature, Pour une philosophie de l’environnement

Français : Nature et mal Problématiques : * Où et comment se situent nature et nature humaine relativement au mal? * le renversement des valeurs naturelles dans la pièce par celui qui incarne le projet du mal. * le mal comme régression absolue, radicale. * Nature et surnature, recherche du surnaturel notions dans McBeth : - la nature incarne

hommes sont violents par nature, soit ils le sont à cause de la vie sociale. Mais peut-on vraiment déterminer où la violence est née ? Tout comme l’animal, l'homme est doté d'instincts par lesquels il se conserve et se perpétue. Nous pouvons donc dire que l’homme, par nature, est disposé à être violent si quelque chose venait porter atteinte à sa condition de vie. Certes l’homme est disposé à être violent en cas de « danger » mais doit-on dire que l’homme est violent par nature et non à cause de la

 La nature est bien trouve dans beaucoup des grandes textes, particulièrement dans les textes pendant l’époque de la littérature romantique. Dans les textes romantiques, la nature typiquement sert comme un symbole de la paix, tranquillité, et de plus, le bon cœur d’homme. Je parlerai sur trois textes, tous écrits par des auteurs différents ; ces textes incluent : Le Lac par Alphonse de Lamartine, René par François de Chateaubriand, et Extase par Victor Hugo. On trouvera des différences entre

Doit-on respecter la nature ? Introduction Doit on respecter la nature ? Au premier abord, il nous est impossible de considérer que la nature, comme toute chose, ne devrait être respectée. Il est important d’avoir une certaine morale vis-à-vis de cet élément qui assure notre survie et sur lequel nous nous trouvons ; ne pas respecter la nature, c’est comme ne pas respecter n’être humain car elle permet à celui-ci d’exister. Cependant, le respect n’existe-t-il pas qu’envers les êtres pensants

renier la nature, de s'en éloigner. La technique a dés lors une connotation négative, le retour à la nature peut-être prôné comme dans certaines tribus indigènes. D'autres au contraire, comme Platon, y voient un moyen pour l'homme de se servir de la nature dans son intérêt. L'homme ne s'éloigne pas mais tente de s'en rapprocher en en faisant sa nature. La connotation est ici, positive. Nous verrons dans un premier temps pourquoi la technique peut sembler mauvaise et va à l'encontre de la nature. Nous

L'homme est-il un être de nature ? Le terme de nature renvoie à ce qui existe spontanément, à ce qui est originel, ce qui préexiste à l’homme : elle n’est pas seulement un ensemble de choses, mais un principe de production des choses. Se demander si l’homme est un être de nature peut à la fois sembler aller de soi, dans la mesure où l’homme appartient au règne du vivant et est soumis aux lois de ce règne, et sembler paradoxal, car l’homme n’est accessible que dans une culture et une organisation

finalité dans la Nature En toutes les parties de la Nature il y a des merveilles ; on dit qu'Héraclite, à des visiteurs étrangers qui, l'ayant trouvé se chauffant au feu de sa cuisine, hésitaient à entrer, fit cette remarque : « Entrez, il y a des dieux aussi dans la cuisine. » Eh bien, de même, entrons sans dégoût dans l'étude de chaque espèce animale : en chacune, il y a de la nature et de la beauté. Ce n'est pas le hasard, mais la finalité qui règne dans les oeuvres de la nature, et à un haut