Navire-citerne

qui se dessinait obliquement à l’équateur, depuis le trente-cinquième parallèle nord jusqu’au quarantième parallèle sud ! Villes renversées, forêts déracinées, rivages dévastés par des montagnes d’eau qui se précipitaient comme des mascarets, navires jetés à la côte, que les relevés du Bureau-Veritas chiffrèrent par centaines, territoires entiers nivelés par des trombes qui broyaient tout sur leur passage, plusieurs milliers de personnes écrasées sur terre ou englouties en mer : tels furent les

queues géantes de deux comètes » « on en voyait d’autres encore, beaucoup d’autres, fixes ou clignotants, à éclats et à éclipses, s’ouvrant et se fermant comme des yeux, les yeux des ports, jaunes, rouges, verts, guettant la mer obscure couverte de navires ». Maupassant décrit ici les bateaux qui sont un intermédiaire de la vision de la mer. Ces regards perçants visent directement Pierre et l’observent. La menace se fait sentir avec l’expression  «Une ombre, une grande ombre glissa… »

dans la région de Naples avec un petit cargo exploité en TRAMPING par Gianluigi Aponte. Aux cours des cinq années qui suivent, quatre nouveaux navires rejoignent la flotte de l’armement qui opère sur des trafics entre l’Italie et l’Afrique orientale. En 1978, MSC trouve son implantation définitive à Genève et compte, à cet instant, une dizaine de navires principalement des cargos polyvalents transportant du fret emballé sur des itinéraires Nord-Sud. En 1986, MSC fait son entrée sur le marché

d'accompagner en tous lieux, leurs navires, pour les uns, et leurs marchandises, pour les autres, de tout temps chargeurs et armateurs éprouvèrent le besoin de recourir aux services de mandataires et d'agents. En effet, dans le cas de la présentation juridique des marchandises, chargeurs et armateurs se trouvent représentés par des intermédiaires maritimes spécialisés. Le rôle de ces auxiliaires consiste principalement à veiller à ce que les besoins du navire soient satisfaits lors de son

rajeunissement de la flotte de navire de la Marine Royale Canadienne. Sujet amené : 1940 grande demande de navire pour protéger les convois de provisions envoyer pour soutenir les troupes pendant la guerre. Aujourd’hui la découverte de nouveaux territoires nous forcent a agrandir la flotte. Sujet posé : L’investissement d’une très grande part du budget dans la région d’Halifax. Sujet divisé : Pourquoi rajeunir notre flotte Canadienne ? De quels types de navires sera constitué notre marine de

Chap. I : Un soir de juillet 1689, dans la baie de Saint-Malo, l’abbé de Kerkabon et sa sœur voient accoster un navire anglais. En débarque un Huron dont l’amabilité les charme tant qu’ils l’invitent à souper au prieuré de la Montagne. D’autres personnages se joignent à eux : l’abbé de Saint-Yves et sa sœur, le bailli et sa femme. La discussion est animée : on interroge le Huron, dit L’Ingénu, sur son passé, sa langue et sa religion. Celui-ci n’est pas insensible au charme de Mlle de Saint-Yves.

Visite guidée « La Boudeuse » La Boudeuse est un navire d’expéditions, il est le seul 3 mats à faire des expéditions. Construit en 1916 aux Pays Bas, la Boudeuse tient son nom de l’ancien bateau de Louis Antoine de Bougainville, qui fut au XVIIIeme, le premier français à faire un tour du monde de découverte culturelle et scientifique. Bateau de commerce en Mer Baltique et en Mer du nord puis bateau école Suédois, La Boudeuse fut rachetée en 2003 par son actuel capitaine : Patrice Franceschi

monde. L'expédition est composée de 5 navires (le Pelican, le Elizabeth, le Christopher, le Swan et le Benedict) et de 164 hommes. Francis Drake embarque, lui, a bord du Pelican. La flotte embarque de Plymouth le 15 novembre 1577 mais est prise dans une tempête. Revenu en Angleterre, la flotte repartira finalement le 13 décembre. A peine partis, ils arraisonnent un navire espagnol. Le 30 janvier 1578, au large des îles Cap-Vert, les Anglais capturent deux navires portugais dont le plus gros, le Santa

A l’entrée de l’Atlantique, le liberty ship Saratoga se mit à tanguer fortement ; la proue semblait monter jusqu’au ciel puis, après un moment d’hésitation, elle replongeait au creux de la vague qui en profitait pour balayer méchamment l’avant du navire. Ce balancement soulevait d’horreur des milliers d’estomacs humains, français aussi bien qu’américains. Quant à Michel, dès la sortie du port d’Oran, où ils avaient embarqué, il avait pu constater que son pied ne s’était guère amariné depuis sa traversée

EVACUATION de THÉODOSIA 13 Novembre 1920 … Les transbordements des quais vers les navires en rade, s’effectueront avec l ‘aviso français DUCHAFFAULT. Le général, commandant la garnison, demande au TOUL, de prendre en charge 250 cadets ; ce dernier refuse , n’ayant reçu aucun ordre à ce sujet. Le général SAVITCHOF, chef de la garnison, sera remplacé comme « commandant en chef » à Théodosia, par le général FOSKOF (surnommé « le roi du Kouban »), spécialement chargé de l’évacuation …..