Negociation Collective Et Rse

Il s’agit d’un impératif structurant du droit des marchés financiers que l’on retrouve dans plusieurs endroits, en particulier dans les obligations d’information qui pèse sur tout émetteur (entité ou personne morale dont les titres sont admis en négociation sur les marchés financiers). Article 223-1 du règlement général de l’AMF (RG AMF)  : article important, l’information donnée au public par l’émetteur doit être exacte, précise et sincère. Droit boursier Cet objectif de transparence est donc à

intégré la responsabilité sociale d’entreprise dans notre programme d’action. La Responsabilité sociale d’entreprise (RSE) fait partie intégrante des cinq domaines d’action de notre Plan to Win : Employés, Produits, Lieu, Prix et Promotion. Nous avons mis en place un comité de Responsabilité sociale d’entreprise à l’échelle mondiale, qui conseille les cadres de direction sur les aspects RSE des stratégies et politiques. En 2004, nous avons constitué une équipe interfonctionnelle intitulée « European Brand

tableau 1) : à grands traits, en 2003, il y avait une vingtaine de contrats recensée dont une dizaine annulée ou non renouvelée. Dans un second tableau (annexe 3, tableau 2), j’ai essayé de montrer la diversité des raisons pour lesquelles les négociations ou les renégociations avaient échoué : quelquefois, pour de mauvaises raisons (des conflits mal réglés comme au Mali ou en Tanzanie), mais aussi parfois pour de bonnes raisons (transfert des compétences réussi : Johannesburg, Kampala). Les organisateurs

d’activité) Les sensibilités écologiques sont de plus en fortes dans les entreprises. De nombreux secteurs d'activité sont directement concernés Dispositifs en place pour la protection de l’environnement et le traitement des déchets. Projets « verts », RSE, etc. Sources possibles : Ministère, organismes officiels, magazines spécialisés, syndicats professionnels, etc. 2. L’ANALYSE EXTERNE : L’environnement - Emission de gaz à effet de serre - Réchauffement climatique - Traitement et recyclage des déchets

la responsabilité sociale des entreprises du 2 juillet 2002 (COM [2002] 347) § 3. 57 n°10 giques tout en laissant les opérateurs économiques choisir à cette fin celles qui leur sont le mieux adaptées. Répondant à la prise de conscience collective face à la crise économique, sociale, culturelle du XXèmes. et aux bouleversements de la science et de ses applications technologiques12, l’éthique paraît être au cœur de ces préoccupations environnementales et sociales. “L’entreprise est pour l’homme

compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs". Il s’agit de concilier les trois piliers du développement durable : croissance économique, écologie, réduction des inégalités. La traduction du concept dans l’entreprise est la RSE. Chap 4 : La mesure des performances 4) Le tableau de bord prospectif de NORTON et KAPLAN : ces deux auteurs proposent de construire les tableaux de bord des entreprises en 4 axes. Principe du Balanced Scorecard de R. Kaplan et D. Norton La démarche

est intégré et ne fait pas l’objet d’un rejet. D’autant moins que nous sommes entrés dans une période où l’individualisme a pris le pouvoir : « nous assistons à l’érosion des devoirs de renoncement à soi-même, de participation et d’implication collective, mais simultanément à la persistance de la valorisation d’un certain nombre d’interdits vis-à-vis de la res publica ... les devoirs positifs de dévouement à des fins supérieures n’ont plus de crédit, seuls en ont les devoirs négatifs interdisant

Safran 10 1.2 14 5.5 Impliquer nos fournisseurs et partenaires La stratégie du Groupe 1.3 S’investir via les fondations et le mécénat 224 Les activités 15 5.6 1.4 Position concurrentielle 32 5.7 Méthodologie du suivi des indicateurs RSE et avis des commissaires aux comptes 226 1.5 Recherche et développement 32 1.6 Investissements industriels 37 1.7 Actifs immobiliers 38 1.8 La politique achats du Groupe 43 1.9 La politique et la performance qualité Groupe 1.10 La démarche

outil incomplet ou grossier qui suscite l’accord et l’action qu’une analyse ultrafine rejetée car mal comprise. ALLER PLUS LOIN CONCLUSION MÉTHODOLOGIE PARTICIPATIVE • MOBILISER L’ENTREPRISE ET LES SALARIÉS – Ouvrir des espaces de négociation et d’échange – Partager l’analyse et l’interprétation des résultats • S’APPUYER SUR LA CONCERTATION – Amorcer le débat – Évaluer la situation le plus objectivement possible – Faire réagir les plus réticents E Les occasions de prendre

mettre en œuvre. Figure 3 : Le modèle SWOT Enfin, l'analyse des cinq forces de Michael Porter qui identifie cinq forces qui déterminent la structure concurrentielle, et donc la profitabilité, d'une industrie : le pouvoir de négociation des clients, le pouvoir de négociation des fournisseurs, la menace des produits de substitution, la menace d'entrants potentiels sur le marché, et l'intensité de la rivalité entre les concurrents. Figure 4 : les 5 forces de PORTER Globalement le processus de veille