Nègre

« Code noir » de 1685 qui a pour objet de définir l’état et la qualité des esclaves dans les colonies établit l’infériorité des « esclaves nègres » et interdit le mariage entre blancs et nègres. Une classification « officielle » datant de 1801 place le nègre entre l’orang-outang et l’homme moderne. (oubliant au passage toute référence à la notion d’espèce, et même de genre, les orang-outang appartenant au genre pan [singe] contrairement non seulement aux homo sapiens sapiens, seuls survivants vivants du

était limité car il ne savait pas faire naviguer le brick et partit à la dérive. Après avoir été rescapé par une frégate il fut livré aux autorités. Le gouverneur jugeant qu’il avait usé du droit de légitime défense, il acquis la liberté. Ce nègre rebelle, fort bel homme maintenant veuf terminera son aventure erratique en travaillant pour le gouvernement. Le colonel du 75e le prit même pour cymbalier dans la musique de son régiment. Puis il mourut à l’hôpital d’une inflammation de poitrine

la vie quotidienne en Afrique à l'époque coloniale et qui, mettant en cause aussi bien l'administration que la police ou l'Église des missionnaires, feront scandale dans cette période de décolonisation. Une vie de boy, publié en 1956 Le vieux nègre et la médaille, publié en 1956, Chemin d'Europe, publié en 1960, Ces œuvres qui associent des registres variés, avec des pages drôles ou grinçantes ou émouvantes, ont marqué les esprits dans cette période où s'esquisse la décolonisation et Ferdinand

métis sont aussi rejetés au niveau administratif, non reconnus par l’état colonisateur. Albert Londres nous fait remarquer que les métis forment une classe à part pour l’Etat. Ils sont traités comme des nègres par les blancs « il sera payé comme un nègre » et « chassés comme des chiens par les nègres ».Ils ne sont français que moralement puisque la loi les maintient au rang d’indigènes et leur interdit de porter le nom de leur père, comme nous l’avons vu précédemment « ils ne sont qu’un prénom ».

L’INTRIGUE RESUME DE L’ŒUVRE Une vie de boy de Ferdinand Oyono est une œuvre qui nous relate l’histoire d’un jeune nègre du nom de Toundi qui s’enfui vers Fia ou se trouvait le père blanc suite à une bastonnade de son père.Celui-ci le conduisit à l’église St Pierre de Dangan où il devint le servant de messe et son boy.Il le baptisa sous le nom de Joseph et l’apprit à lire et a écrire.Après la mort du père blanc, il devint le boy du commandant.Là il commence encore une nouvelle vie mais sera plus

sueur mais aussi celle du noir cultivé (le "zipcoon", fils illégitime d'un riche planteur, habillé de façon clinquante, signe encore aujourd'hui de la réussite sociale) ayant fait ses études en Europe pour finalement finir pianiste dans un bordel "nègre" à la Nouvelle Orléans (se reporter aux Films "Autant en emporte le vent" on y découvre l'image de la servante, la grosse maman, la nourrice contente et aux films avec Bill "BOJANGEL" ROBINSON", (claquettes), où il incarne le personnage du grand-père

libre, puisqu’il n’a jamais perdu la liberté ; qu’il ne pouvait pas la perdre ; et que son prince, son père, et qui que ce soit dans le monde n’avait le pouvoir d’en disposer ; par conséquent la vente qui en a été faite est nulle en elle-même ; ce nègre ne se dépouille, et ne peut pas même se dépouiller jamais de son droit naturel ; il le porte partout avec lui, et il peut exiger partout qu’on l’en laisse jouir. C’est donc une inhumanité manifeste de la part des juges des pays libres où il est transporté

leurs différences. Il insiste ensuite sur le fait que la supériorité des uns sur les autres est due seulement au hasard et au climat (théorie des climats de Montesquieu). Il invite égalment ses semblables à donner les connaissances et inventions aux Nègre afin que le genre humain s'améliore. Il réfléchit ensuite aux Droits Naturels avant de rappeller que l'esclavage n'est jamais une bonne chose. 3. Les principaux personnages sont Wilmouth, Georges Filmer, Ziméo (alias John), Matomba (ou Francisque)

Marie-Cessette Dumas. Quarteron, Dumas fut souvent en butte aux sarcasmes racistes de ses contemporains. « Au fait, cher Maître, vous devez bien vous y connaître en nègres ? - Mais très certainement. Mon père était un mulâtre, mon grand-père était un nègre et mon arrière-grand-père était un singe. Vous voyez, Monsieur : ma famille commence où la vôtre finit. » Il a neuf ans lorsqu'il entre au collège de l'abbé Grégoire à Villers-Cotterêts. Il y reçoit les bases de l'instruction primaire. Il y restera

libre, puisqu’il n’a jamais perdu la liberté ; qu’il ne pouvait pas la perdre ; et que son prince, son père, et qui que ce soit dans le monde n’avait le pouvoir d’en disposer ; par conséquent la vente qui en a été faite est nulle en elle-même : ce nègre ne se dépouille, et ne peut pas même se dépouiller jamais de son droit naturel ; il le porte partout avec lui, et il peut exiger partout qu’on l’en laisse jouir. C’est donc une inhumanité manifeste de la part des juges de pays libres où il est transporté