Néocolonialisme

= anti-discrimination, donc communistes. Ils poussent tout deux, en tout les cas, les pays à devenir indépendant, de peur de voir un troisième grand voir le jour. Le contexte est favorable à la décolonisation donc … B. Indépendance ou néocolonialisme ? Problématique : quels sont les nouveaux rapports avec les pays anciennement dominés ? Jusqu’où peuvent-ils s’affirmer ? 1. L’émergence du Tiers-monde L’Asie et ses indépendances : en 47, l’Inde et le Pakistan ; en 49, la Chine et l’Indonésie

autonome : o Ils forment le Tiers-Monde et sont sous-développés au moment de leur indépendance o Les anciennes métropoles ont souvent garder des intérêts puissants dans ces pays et continuent de contrôler leur économie (le néocolonialisme) malgré leurs efforts pour contrôler leurs ressources ( nationalisation du canal de Suez par l’Egypte en 1956, de l’Anglo-iranian Cie par l’Iran en 151 qui se solde par un coup d’état, création de l’OPEP en 1960, seule vraie réussite),

coloniale et division bipolaire, et reposant sur la coopération, la coexistence pacifique, à la recherche de la paix mondiale. Mais après la conférence du Caire en 1964, le mouvement dérive du strict non-alignement originel vers la réprobation du néocolonialisme occidental et un antiaméricanisme de plus en plus virulent. Les Non-alignés échouent à se tenir à équidistance des deux pôles ; après la vague des décolonisations, le mouvement a épuisé ses potentialités diplomatiques dans le 299 cadre

plus en plus importante dans ses sketches. À partir des années 2000, les polémiques politiques qui l’entourent concernent désormais également ses prestations d’humoriste. Il critique la politique israélienne, l’impérialisme américain et le néocolonialisme français, et remet en cause la version communément admise des attentats du 11 septembre 2001.Dans son spectacle Mes excuses, il s’en prend aux sionistes °. Engagé pour la « cause noire », il milite avec le « collectif Égalité » pour une meilleure

monétaire international ou à la banque mondiale qui veulent dicter l'économie africaine au détriment de la France. Ainsi, la politique africaine, entrepris par François Mitterrand, s'inscrit dans la continuité de celle de ses prédécesseurs : un néocolonialisme, loin du projet social qui avait fait élire François Mitterrand (on peut par exemple citer le cas du génocide des Tutsis au Rwanda, en 1994, où la lenteur de l'intervention française, malgré les nombreux appels des rwandais a entraîné 800 000

de   la   France   qui   considère   l’Afrique   comme   son   «  pré   carré  »   indispensable   à   son   rayonnement.  (dénonciation  par  certains  par  la  suite  du  néocolonialisme).   III.  Des  indépendances  arrachées  :  les  cas  indochinois  et  algérien     La  France  dans  le  bourbier  indochinois    Nationalisme   anti-­‐français      2

l’OUA, Osagyefo Kwame Nkrumah avait déclaré en gros ce qui suit aux autres Chefs d’Etat : « Si nous ne faisons pas un gouvernement continental d’union, nous qui sommes ici aujourd’hui, serons les victimes et martyrs du néocolonialisme ». Les partisans de l’OUA et du néocolonialisme soutenaient que tout irait bien sans unité politique qu’il ne fallait surtout pas rechercher. On sait comment les choses évoluèrent par la suite. Peu avant cette conférence funeste qui enterra le Panafricanisme véritable

africains et africanistes le sont donc incontestablement, entre ceux pour qui les Etats-Unis, l’Union européenne et les institutions régionales africaines sont, pour une fois, d’accord pour défendre la démocratie, et les pourfendeurs d’une forme de néocolonialisme et de fraude organisée, dont seraient complices des pays et institutions régionales africaines. Quoi qu’il en soit, on ne pourra pas reprocher aux intellectuels de s’être tus sur cette nouvelle crise en Côte d’Ivoire. Crise ivoirienne . Ça

ou européennes à des pays qui ont des habitudes alimentaires différentes. En échange de l’aide internationale, les pays occidentaux imposent parfois leur point de vue politique ou économique. L’aide internationale est parfois comparée à du néocolonialisme. A leur départ les métropoles laissent des séquelles, les vieilles rivalités entre tribus (anciennement soumises au colonisateur) resurgissent : - lutte pour le pouvoir, - lutte entre les jeunes états pour un redécoupage des frontières arbitrairement

pessimisme (Afrique noire mal partie, refus du développement des Africains) En outre, le cordon ombilical n’est pas toujours coupé avec les anciennes puissances coloniales qui, dans certains cas, continuent leur domination (ce phénomène est dénommé « néocolonialisme ») à laquelle s’ajoute celle des supergrands. Par ailleurs, l’apartheid en Afrique du Sud, l’intervention de plus en plus importante des Superpuissances (USA URSS),de la Chine confèrent au mouvement de décolonisation un caractère bien inachevé