Néréide

Quel nome risoni Quel nume s’adori Sovrano del mar ; Con danze e con suoni Convien festeggiar Solo Su conca d’oro Rgio decoro Spira Nettuno Scherza Portuno Ancor bambino Col suo delfino Con Anfitrite Or noi di dite Fe trionfàr Nereide amabili Ninfe adorabili Che alla gran dea Con Galatea Corteggio fate Deh ringraziate Per noi quei Numi Che i nostri lumi Fero asciugar Tutti Nettuno s’onori Quel nome risuoni Quel Nume s’adori Sovrano del mar Con danze e con suoni

 dans un char formé d’une gigantesque coquille sommée de la dépouille  d’un  monstre  marin,  le  triomphe  oppose  un  Neptune    courroucé,  brandissant  le  trident,  et  une  Amphitrite  alanguie,  qui  se  détourne  vers  une  de  ses  néréides ;  tout à l’entour, la mer s’agite, s’entrouvre ; un triton charge sur son cheval marin,  la  néréide  retient  un  putto  qui  veut  sauter  d’une  vache  marine,  un  autre  triton  sonne  de  la  trompe,  des  monstres  sortent  de  l’eau.  Outre  les  proportions  colossales, apprises au contact de l’art romain

finit par y consentir, mais décide de prendre en dédommagement Briséis, une belle Troyenne captive d'Achille. Furieux et se sentant spolié, ce dernier décide de cesser de combattre avec ses Myrmidons aux côtés des Achéens. Il invoque sa mère, la Néréide Thétis, qui obtient de Zeus la promesse d'une victoire troyenne. Deuxième jour : trêve et bataille[modifier] Chant II : le rêve trompeur et le catalogue des vaisseaux[modifier] Articles détaillés : Catalogue des vaisseaux et Catalogue des Troyens

celui-là trouve des poissons sur le faîte des ormeaux; un autre jette l'ancre qui s'arrête dans une prairie. Les barques flottent sur les coteaux qui portaient la vigne : le phoque pesant se repose sur les monts où paissait la chèvre légère. Les Néréides s'étonnent de voir, sous les ondes, des bois, des villes et des palais. Les dauphins habitent les forêts, ébranlent le tronc des chênes, et bondissent sur leurs cimes. Le loup, négligeant sa proie, nage au milieu des brebis; le lion farouche et le

celui-là trouve des poissons sur le faîte des ormeaux; un autre jette l'ancre qui s'arrête dans une prairie. Les barques flottent sur les coteaux qui portaient la vigne : le phoque pesant se repose sur les monts où paissait la chèvre légère. Les Néréides s'étonnent de voir, sous les ondes, des bois, des villes et des palais. Les dauphins habitent les forêts, ébranlent le tronc des chênes, et bondissent sur leurs cimes. Le loup, négligeant sa proie, nage au milieu des brebis; le lion farouche et le

partir des années 420. Les œuvres qui vont suivre ce mouvement très équilibré et acrobatique se retrouveront à Rome. Dans cette tradition du mouvement et du détail s’inscrivent d’autres ensembles, comme le Monument des Néréides, vers 385-380 avant J.-C., Xanthos, Lycie Monument des Néréides à Xanthos, situé en Lycie (territoire perse). Par sa position proche des cités grecque, cette région s’est nourrie de leur culture. C’est un art royal mélangeant les caractères perses et 56 grecs. Nous n’avons pas

Livres et périodiques http://www.jstor.org/stable/886539 (consulté le 5/12/12) Voir aussi : Bernin, Le ; Pollaiolo, Antonio del Dauphins, Tritons et Néréides Avery, Charles Le dauphin et les dieux : art, légendes et mythes. Paris, Thames & Hudson, 2009. 224 p. Salle F – Art – [704.947 AVER d] Clark, Kenneth « Transformations of Nereids in the Renaissance ». Burlington magazine, vol. 97, n° 628 (juillet 1955), p. 214217, 219. [en ligne] Ressources numériques > Ressources électroniques

finit par y consentir, mais décide de prendre en dédommagement Briséis, une belle Troyenne captive d'Achille. Furieux et se sentant spolié, ce dernier décide de cesser de combattre avec ses Myrmidons aux côtés des Achéens. Il invoque sa mère, la Néréide Thétis, qui obtient de Zeus la promesse d'une victoire troyenne. Chant II [modifier] Trompé dans son sommeil par un songe envoyé par Zeus, Agamemnon s'éveille certain de la victoire de ses troupes. À l'agora, il raconte son rêve à ses alliés

compte De nous laisser avecque vous. Nous savons quelle obéissance Nous oblige notre naissance De porter à sa royauté : Mais est-il ni crime, ni blâme, Dont vous ne dispensiez une âme Qui dépend de votre beauté ? Qu'il s'en aille à ses Néréides, Dedans ses cavernes humides : Et vive misérablement Confiné parmi ses tempêtes. Quant à nous étant où vous êtes, Nous sommes en notre élément. Claude de malleville Claude Malleville, né et mort à Paris (1597-1647) est un poète français

mamelles un filet d’eau parfumée qui retombait dans le bassin en rosée d’argent, et en picotait le clair miroir de ses gouttelettes grésillantes. Outre cet emploi, ces cariatides avaient encore celui de porter sur leur tête un entablement orné de néréides et de tritons en bas-relief et muni d’anneaux de bronze pour attacher les cordes de soie du vélarium. Au delà du portique l’on apercevait des verdures humides et bleuâtres, des fraîcheurs ombreuses, un morceau de la vallée de Tempe transporté en