Neurosciences cognitives

Université Charles de Gaulle – Lille 3 UFR Psychologie, Licence 3 Option Mineure : Neurosciences cognitives et affectives Enseignant référent : Mme Yvonne DELEVOYE-TURELL ------------------------------------------------- Etude des relations entre cognition et interactions sociales chez les patients atteints de schizophrénie Anastasia Victor Année Universitaire 2012/2013 SOMMAIRE Introduction Première partie : Les symptômes de la désorganisation 1. Troubles cognitifs 1.1 Des

Gérontologie : étude du vieillissement dans sa globalité gériatrie : composante de la gérontologie sur le plan pratique Démence : ensemble de dégradations cognitives au niveau de la mémoire, du raisonnement, de la compréhension), C’est seulement en 1999 que la présence d’un psychologue est reconnue dans les maisons de retraite et que son domaine d’action est défini. Les psychologues exercent dans différentes structures gérontologiques : MAPAD. (Maison d'Accueil des Personnes Âgées Dépendantes

MEE : Neurosciences et entreprises. - Définition des neurosciences, qu’est-ce que les neurosciences ? On se propose dans un premier temps de définir notre sujet de façon assez académique puis d’étudier son évolution à travers l’histoire. 1. Qu’est-ce ? La définition des neurosciences la plus commune que l’on peut trouver est l’étude scientifique du système nerveux –aussi bien de sa structure que de son fonctionnement-. Mais c’est également l’étude de la relation entre le cerveau et

neuromarketing est l’application des connaissances issues de la recherche publique en neurosciences cognitives au marketing et à la communication. Le but de cette discipline émergente est de mieux comprendre les comportements des consommateurs grâce à l'identification des mécanismes cérébraux qui interviennent lors d'un achat. Le neuromarketing désigne deux concepts étroitement liés :  l'étude, via les neurosciences, du fonctionnement du cerveau humain lorsque soumis à des stimuli qui peuvent être

(1960), neurobiologiste français, y voit plutôt un état tertiaire situé entre l’éveil et le sommeil. Cet état permet ainsi au cerveau de reprogrammer les comportements fondamentaux. En Finlande, le professeur Antti Revonsuo, au Centre de neuroscience cognitive, explique le rêve par la théorie de la simulation de la menace. Pour lui, il servirait à concevoir des situations dangereuses et à leurs trouver des solutions. Cette capacité nous viendrait de nos ancêtres préhistoriques, capables de chasser

3 II.Les neurones miroirs : PAGEREF _Toc259456508 \h 4 a)La découverte : PAGEREF _Toc259456509 \h 4 b)Théorie du mimétisme dans l’apprentissage : PAGEREF _Toc259456510 \h 5 c)Rôle dans l’empathie : PAGEREF _Toc259456511 \h 5 III.Apport des neurosciences ; Les aires corticales de l’empathie : PAGEREF _Toc259456512 \h 6 a)Les émotions : PAGEREF _Toc259456513 \h 6 b)La flexibilité mentale : PAGEREF _Toc259456514 \h 7 c)La conscience de soi : PAGEREF _Toc259456515 \h 8 IV.Conclusion : PAGEREF

qui s’appuie sur les techniques issues des neurosciences pour mieux identifier et comprendre les mécanismes cérébraux qui sous-tendent le comportement, notamment d’achat (Célier, 2005). Or, l’étude des processus cognitifs était un domaine exclusif du marketing et des disciplines contiguës, à savoir, l’anthropologie, la psychologie, etc. (Pietrini et Romani, 2008). Au cours de ces dix dernières années, des travaux expérimentaux en neurosciences et en psychologie ont fait une percée significative

quotidien, arrivaient-ils à atteindre une certaine normalité dans leurs occupations quotidiennes ? Et par quels moyens ? Au cours de notre recherche, nous avons eu l'agréable surprise de découvrir le Docteur Vinogradov, qui dirige un laboratoire de neurosciences clinique et qui met l'accent sur le disfonctionnement cognitif dans la schizophrénie.Ses travaux, mis en place depuis quelques années, sont novateurs, à l'aide d'entraînements cognitifs informatisés, les patients voient se produire des changements

L'empathie, une spécificité humaine ? Université européenne d'été 2003 - LEMONDE.FR | 28.08.03 | 15h35 Jean Decety, neurobiologiste, est professeur au Center for Mind and Learning à l'université de Washington et directeur du laboratoire Social Cognitive Neuroscience à Seattle. Il est spécialiste de neurophysiologie, d'imagerie cérébrale et de neuropsychologie. Jean Decety a notamment travaillé sur la perception et la compréhension des actions humaines, sur les questions de l'intentionnalité chez les personnes

 Directeur de recherches au  Commissariat à Energie Atomique et aux énergies alternatives. Hervé Chneiweiss,  Directeur de recherches au CNRS, Centre de recherches neurosciences Paris Seine,  université Pierre et Marie Curie.  1      INTRODUCTION  Dans  le cadre de la  mission  de  veille éthique  sur  les progrès  des neurosciences  qui  lui  a  été   confiée  par  la  loi  de  bioéthique  du  7  juillet  2011,   le  Comité  Consultatif  National d’Ethique, après s’être penché sur les enjeux éthiques de l’IRM fonctionnelle