Ngô Đình Diệm

1956, ho-Chi-Minh aurait gagné ; cela aurait été un danger pour le monde des USA. La république démocratique est au Nord avec le parti des travailleurs sous la présidence d’Ho-Chi-Minh. La république du Vietnam est au Sud sous la présidence de Ngo Dinh Diem (Ziem). Ziem est un nationaliste convaincu, membre d’une grande famille du centre Vietnam. Il est connu depuis la fin des années 30 comme une alternative possible des nationalistes au Vietnam. Au nord, une réforme agraire (commencée en 1953) à

ils ne peuvent s'opposer à l'armistice conclu le 20 juillet par Pierre Mendès France, devenu le mois précédent président du Conseil. Le Vietnam est provisoirement partagé entre le Viêt-minh au Nord et, au Sud, le gouvernement pro-américain de Ngô Dinh Diem, qui refuse d'approuver les accords. La déclaration finale, non signée, de la conférence prévoit que des élections auront lieu dans un délai de deux ans pour réunifier le pays. Le Cambodge et le Laos se voient en fait neutralisés. En 1956, le refus

Sud-Vietnam et le Yémen. Au total, le président Sukarno et son Premier ministre Ali Sastroamidjojo reçurent 600 délégués, parmi lesquels il faut relever les noms de l'Egyptien Nasser, de l'Indien Nehru, du Cambodgien Sihanouk, du Sud-Vietnamien Ngo Dinh Diem et du Chinois Zhou Enlai. Au cours de cette conférence, surnommée le «Yalta afro-asiatique», plusieurs questions furent évoquées et notamment celles concernant la politique colonialiste de la France en Afrique du Nord et de l'Union soviétique

créé; il lutte contre le dictateur du Sud-Vietnam, Ngô Dinh Diem, et contre l'influence américaine. L'armée sud-vietnamienne encadrée en décembre 1961 par 15000 «conseillers» américains, ne réussit pas à enrayer le développement du FNL. L'échec politique et militaire du régime de Diêm conduit le président américain J.F. Kennedy à autoriser, dès 1961, des opérations de sabotage et de renseignement, puis à permettre un coup d'État de généraux sudistes: Diêm est assassiné le 2 novembre 1963. Après l'assassinat

en une entité communiste au nord (avec pour capitale Hanoi) et une non communiste au sud (capitale: Saigon). Le pays devait être réunifié après des élections prévues en 1956. Le gouvernement de la République du Viêt Nam au sud, du président Ngô Ðình Diệm, avec le soutien du président américain Eisenhower, annula les élections car il craignait que les communistes les gagnent. Les Américains qui étaient déjà présents s’impliquent d’avantage, voyant, dans le contexte de la guerre froide, le nord

INTRODUCTION : La guerre du Vietnam fût un conflit opposant le Sud et le Nord du pays éponyme de 1959 à 1975. Au Nord, le régime communiste dirigé par Ho Chi Minh, et au Sud le régime nationaliste de Ngô Dinh Diêm soutenu par les Etats-Unis. C’est donc cet affrontement idéologique en un espace si exigüe qui mit le feu aux poudres, les américains voulant éviter que la théorie des dominos* ne se réalise en Asie. Cette raison principale dans l’investissement des Américains dans cette guerre est

     Indochine   divisée   en  2  /  17ème  parallèle  (Vietnam  du  N  dominé  par  les  communistes,  Vietnam  du  S  dominé  par   les  nationalistes  menés  par  Ngô  Dinh  Diêm)      Les   troupes   françaises   doivent   évacuer   l’Indochine   =   revers   très   sérieux   pour   la   France   +   victoire   symbolique  pour  les  Indochinois  (Européens

conte Ouest). En 1954, l’armée française est encerclée à Diên Biên Phu . o Les accords de Genève coupe le Vietnam en deux. Au nord du 17e parallèle il est communiste (avec Ho Chi Minh) au sud il est non communiste (avec Bao Dai puis Ngo Dinh Diem). L’indépendance a été conquise par la force, arrachée à la métropole. 2/ Une deuxième vague en Afrique (1956-64) • En Afrique du nord, la France contrôle alors la Tunisie et le Maroc qui sont des protectorats depuis 1881 et

boycottées par le Président de la République du Vietnam, Ngo Dinh Diem, qui craignait la victoire des communistes de Hô Chi Minh. Elles ne furent également jamais tenues dans le Nord, malgré une victoire qui aurait été presque certaine. La séparation du Vietnam reste donc en vigueur. Cependant, dès le début des années 60, les troubles augmentent dans le Vietnam du Sud. L’opposition au régime anti-communiste et anti-bouddhiste de Ngo Dinh Diem se fait de plus en plus vive. Les immolations publiques

1961, le président Kennedy débutait son mandat et confirmait l'interventionnisme américain en portant à 15 000 hommes l'effectif des conseillers militaires. Il s'agissait d'un terme diplomatique pour désigner des soldats qui encadraient l'armée de Diệm. Cette armée passait dans le même temps de 170 000 à 270 000 hommes. Deux escadrilles de B-26 et deux compagnies d'hélicoptères étaient envoyées au Sud Le nouveau président américain Lyndon Johnson, annula le retrait des troupes, augmenta le contingent