Niche écologique

renouvelables : la surpêche du thon rouge (notamment pour le Japon et les sushis, cuisine très à la mode). La surconsommation de cette ressource halieutique menace la disparition de ce poisson (Document 1). Le problème de notre empreinte écologique : alors que l’empreinte écologique équitable et soutenable s’établit à environ 1,8 hectare par habitant, notre empreinte réelle actuelle au niveau mondial s’élève à 2,7 hectares par habitant. Cela signifie que chaque année, des ressources naturelles sont détruites

son restaurant parisien. Certes, le nouveau livre du moine bouddhiste Matthieu Ricard, Plaidoyer pour les animaux, est un joli succès de librairie… Et après ? Après, rien. Ou presque. On sait, et on continue. On évoque avec pessimisme la crise écologique, on s’indigne du scandale des élevages industriels, mais on ne renonce pas à son bifteck. Ni à sa dinde de Noël. Tout juste réduit-on un peu sa consommation… Mais si peu ! Un effort infime au regard de l’essor fulgurant qu’a connu l’industrie de

inondations obligées de quitter leur région d’origine, dès lors que les conditions environnementales sont devenues invivables. Obligés de migrer pour échapper à leur condition de plus en plus dégradée, ils sont ce que l’on appelle des migrants écologiques. De nombreux articles relatent régulièrement de la douloureuse expérience des habitants de Tuvalu (où), contraints de survivre sur leur atoll en attendant que la mer les recouvre, ou bien celle des Africains du lac Tchad, dont la surface s'amenuise

exemples concrets pour montrer la diversité qu’à l’impact de l’environnement sur les sociétés et nous tenterons de relativiser ces prévisions pour voir si on ne peut pas trouver un compromis entre l’urgence et la passivité. 3 I – Les réfugiés écologiques : une nouvelle catégorie de réfugié A – État des lieux  Une triple prise de conscience Le débat actuel sur les réfugiés climatiques s’accélère, car les nombreuses sécheresses, inondations, tempêtes ou encore cyclones se sont multipliés par 4

préservation de l'environnement, ce dernier étant considéré comme un patrimoine devant être transmis aux générations futures.   B. L’EMPREINTE ÉCOLOGIQUE : UNE MESURE POSSIBLE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE 1. Définition - Sélectionnez la rubrique « L’empreinte écologique » dans le menu à gauche. Définir empreinte écologique : L’empreinte écologique a été élaborée dans les années 1990 et alimente une interpellation salutaire de l’opinion publique par des acteurs de la société civile. Il faut dire

dans notre jeune âge, l’on nous a seriné ce refrain, la brousse est interminable, la ressource halieutique est infinie et tutti quanti ? On connaît la suite… Or, une partie d’entre nous vit déjà au-dessus des capacités écologiques du globe. Du coup, notre « empreinte écologique » c’est-à-dire la consommation individuelle en équivalent de surface de terre cultivable et d’océan exploitable se réduit comme une peau de chagrin (1,8 ha). Le drame selon WWF depuis vingt ans l’homme puise dans son capital

III.LES SOLUTIONS POUR REDUIRE L’EMPREINTE ECOLOGIQUE 3.1 Quel changement de mode de vie doit effectuer une population pour réduire son empreinte écologique? Comme nous l’avons vu dans les chapitres précédents, l’empreinte écologique a pour qualité d’utiliser des éléments de communication convainquants pour changer le mode de vie des gens. Voici quelques exemples de la manière dont une population doit se comporter pour réduire son empreinte. En choisissant de vivre dans un lieu à plus forte

années 1960 où de nombreux scientifiques commencent véritablement à mettre en garde sur la menace d'une crise écologique causée par les activités humaines et sur la nécessité d'une utilisation raisonnée des ressources naturelles1. De nombreux livres au ton alarmiste sont publiés, comme le fameux Avant que Nature meure de Jean Dorst en 19655. Au cours de cette période, la sensibilité écologique va se développer considérablement dans les pays occidentaux et devenir politique. La préservation de la

satisfaire leurs besoin de consommation et l’absorption de leurs déchets, est mis en place c’est l’empreinte écologique. D’après Groningen : The Conference Board and Groningen Growth and Development Centre, en janvier 2006, la France a atteint en 1980 une empreinte écologique de 5.5 hectares par personne. Cependant, selon l’ONU un pays se trouverait dans une situation idéale si l’empreinte écologique ne dépasser pas 2 hectares par personne. De 1960 à 2005, d’après Groningen, la France n’a pas descendu

d'épuisement des ressources naturelles mais dont l'origine est très différente : DD est essentiellement institutionnelle, portée par l'ONU dont elle est la doctrine officielle, probablement pcq c'est une notion de compromis entre les velléités écologiques du Nord et le désir de développement du sud. C'est une notion qui est relayée par les Etats, notamment européens avec traité de Maastricht etc, mais aussi par une partie des BRIC … il est relayé par les entreprises (dans leur responsabilité sociale)