Nick Ut Brulée Au Napalm

dénombre également des viols collectifs et tortures avec la gravure « Compagnie C » inscrit sur le torse. L’utilisation du napalm (essentiel gélifiée) qui brulent la peaux et détruisent les habitations est forte dans cette guerre. Napalm Girl photo prise par Nick Ut pour Associated Press en 1972, on y voit une fillette nue fuyant le napalm, elle est brulé. C’est photo fait la une de la plupart des quotidiens le lendemain, elle montre l’atrocité de la guerre.

faits réels. Ainsi, Picasso dénonce les horreurs de la guerre avec sa célèbre toile Guernica, qui ne représente aucunement une image réelle de la guerre, mais une représentation de sa monstruosité. C’est aussi la photo de Nick Ut de la petite fille Vietnamienne brûlée par du napalm qui choque l’opinion publique sur les atrocités de la guerre. C’est donc également par l’engagement que l’art peut modifier notre conscience du réel, en faisant justement prendre conscience à l’homme de ce qu’il se passe

de la petite fille brûlée au napalm et hurlant de douleur restera à jamais gravée dans les mémoires comme illustratrice de la guerre du Vietnam. Certains iront même jusqu’à se questionner sur le rôle qu’elle a joué sur les mentalités américaines, les amenant à prendre position contre la guerre. Mais au-delà de ce conflit ponctuel et terminé, elle a révélé au monde l’horreur des armes de guerre utilisées, et son impact sur des victimes innocentes. Nick Ut, Prix Pulitzer en 1973

derrière elle, Kim fuit sur la route du village. Le photographe vietnamien Nick Ut l’aperçoit qui hurle de douleur. Parce que ses vêtements ont été dévorés par les flammes, l’enfant court vers lui, toute nue. La petite a eu la peau brûlée au troisième degré par un jet de napalm, qui est une redoutable arme chimique qui a été massivement utilisée pendant la guerre du Vietnam. La peau de Kim tombe en 16 lambeaux. Quand Nick la voit qui s’approche, il n’a que le temps de déclencher son appareil.

patrie n’est plus crédible. Cette désolidarisation à l’encontre de l’armée s’accentue davantage après la publication de la photo mondialement connue: La petite fille au Napalm. Victime d’une erreur militaire, Kim Phuc Phan Thi, 9 ans, est immortalisée par Nick Ut alors qu'elle court nue et hurlant de douleur après avoir été brûlée lors du bombardement de son village. Les cris de la petite fille transpercent l’image et deviennent le symbole d’une guerre cruelle qui doit cesser. La photographie a ensuite

pour l'image, le festival de photojournalisme de Perpignan, dont il était un habitué, arpentant les rues de la cité catalane avec son béret noir. « Il était le meilleur photographe", dit de lui Nick Ut, l'auteur en 1972 d'une autre icône du photojournalisme, la petite Vietnamienne nue et brûlée au napalm qui court en pleurant sur une route. L’histoire de la photo : Joe Rosenthal a pris son cliché le 23 février 1945, quand il était photographe pour l'agence américaine Associated Press (AP). Il

à Pleiku, provoquant la mort de huit Américains. Le 7 mars, Johnson ordonnait le déploiement terrestre d'une brigade de 3 500 Marines en vue de protéger la base de Da Nang, celle-ci débarquait le lendemain. Le 9 mars, Johnson autorisait l'usage du napalm. Simultanément le Pentagone et le président Johnson prenaient la décision d'engager les États-Unis dans la bataille terrestre au Sud avec pour ordre une mission offensive de « recherche et destruction » (search and destroy) afin d'écraser la rébellion

toute œuvre humaine par les subtiles possibilités qu’elle recèle » paragone entre vue (œil = fenêtre de l’âme) / écriture : fait voir /décrit La question du « paragone »  peinture VS poésie cf Horace (1er siècle avant notre ère) Art Poétique : « ut pictura poesis » c’est-à-dire « La peinture est comme la poésie » (ou réciproquement) / Paris Match : le Poids des mots, le choc des photos RENDRE LE MOUVEMENT Le cinéaste = - peintre doué de parole / - poète qui peut faire voir Pb : pourquoi

boys. L’accélération va venir de la résistance qui se développe parmi les jeunes. Ex : le mouvement « Nous ne partirons pas » connaît un écho important dû à l’inquiétude des familles. Se multiplient alors des manifestations au cours desquelles on brûle les livrets militaires, on souille le drapeau. Ex : la manifestation du 15 avril 1967, « Mobilisation pour mettre un terme à la guerre du Vietnam », à l’initiative de la gauche radicale attire aussi des modérés. Des Noirs, des Blancs, des hippies et

mois et déversa un demi-million de tonnes de bombes. Le 7 mars, Johnson ordonna le déploiement terrestre d'une brigade de 3 500 Marines en vue de protéger la base de Đà Nẵng ; celle-ci débarqua le lendemain. Le 9 mars, Johnson autorisa l'usage du napalm. En avril 1965, la RDVN décréta la mobilisation générale et décida de faire intervenir des unités régulières de l'armée populaire vietnamienne au Sud. Simultanément, et à l'insu de l'opinion publique américaine[réf. nécessaire], le Pentagone et