Nicolas Dupont-Aignan

Le débat concernant la mémoire collective ne cesse de revenir sur les devant de l’actualité lorsque l’on parle d’une définition de l’identité nationale ou même lorsque Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout le République, s'insurge contre l'appropriation de la mémoire Gaulliste par Nicolas Sarkozy.

économique (conversion au début des années 1980) et la construction européenne. Cependant, le néogaullisme, même atlantiste, défend l'idée d'Europe-puissance indépendante des États-Unis. Le gaullisme social (Jacques Chaban-Delmas, Philippe Séguin, Nicolas Dupont-Aignan) : gaullistes défendant la démocratie sociale, sans toutefois remettre en cause le capitalisme (réformisme social-démocrate), ce gaullisme, attaché à la défense de l'indépendance nationale et au rôle de la France dans le monde, est le plus

stratégies pour favoriser le succès du mouvement et prouver l’efficacité aux électeurs. Ainsi l’UMP est unifiée tout d’abord derrière un certain leadership. Jacques Chirac de la création en 2002 à 2007, où ce leadership a été de fait transféré à Nicolas Sarkozy. Pour confirmer cette position de leader, il a été choisi en 2007, après l’élection présidentielle, de ne pas remplacer Sarkozy comme président de l’UMP. En effet, depuis la création du mouvement, il y a eu deux présidents du parti qui ont

Villiers. En outre, le Front National est lui aussi opposé à la Construction Européenne puisqu'il prône dans son programme la souveraineté des états vis-à-vis de l'Union Européenne. Cette revendication est aussi chère aux gaullistes tels que Nicolas Dupont-Aignan ou Charles Pasqua. La gauche et l'extrême gauche ont également des figures eurosceptiques telles que celle de Jean-Pierre Chevènement et le parti Mouvement Républicain et Citoyen. Des eurosceptiques sont également présents au sein de l'extrême

2012 voix % des inscrits % des exprimés voix % des inscrits François Hollande 10 272 705 22,32 28,63 18 000 668   Nicolas Sarkozy 9 753 629 21,19 27,18 16 860 685   Marine Le Pen 6 421 426 13,95 17,90   Jean-Luc Mélenchon 3 984 822 08,66 11,10 François Bayrou 3 275 122 07,12 09,13 Eva Joly 828 345 01,80 02,31 Nicolas Dupont-Aignan 643 907 01,40 01,79 Philippe Poutou 411 160 00,89 01,15 Nathalie Arthaud 202 548 00,44 00,56 Jacques Cheminade

votant contre le traité de Lisbonne. Mais le peuple souverain a été violé, et la constitutionnaliste Anne-Marie Le Pourhiet restera cependant bien seule, en compagnie de quelques gaullistes « historiques » qui avaient appelé à voter Non ( Nicolas Dupont-Aignan, Pierre Lefranc, Etienne Buron des Rosiers, pierre Maillard...), à dénoncer le coup d'Etat et, du même mouvement, à exiger la présentation du président de la République devant la Haute Cour de Justice. SE COUCHER OU ACCOMPAGNER LE PEUPLE

La CJ proclame le principe de « l’UE supérieur au droit national des états membres »  par l’arrêt du 15 juillet 1964 (COSTA/ENEL). EX2•Souverainisme : H/F politique hostile a une Europe Supranationale. M Charles, Philippe De Villiers, Nicolas Dupont Aignan, Jean Pierre Chevènement EX3•Europessimisme = stagnation de la construction Européenne. Jacques Delors propose l’acte unique européen de 1986 et prévoit un marché unique pour le 1er janvier 1993. Peut on encore sauver l’Europe ?

legifrance.gouv.fr/WAspad /UnTexteDeJorf?numjo=JUSX0807076L) Sommaire 1 Histoire 2 Méthode 2.1 Détails du vote 3 Modifications 4 Notes et références 5 Voir aussi 5.1 Articles connexes 5.2 Liens externes Type Branche Adoption Histoire Voulue par Nicolas Sarkozy dans son programme politique lors de l’élection présidentielle française de 2007, la démarche vise à moderniser les institutions de la Cinquième République. Méthode Un Comité de réflexion et de proposition sur la modernisation et le rééquilibrage

communiste, (Jean-Luc Mélenchon), A gauche le parti socialiste (François Hollande désigné lors d’une primaire), Au centre les verts, les écologistes, MODEM . Groupe socio-démocratique . (Eva Joly, François Bayrou), A droite l’UMP, groupe libérale (Nicolas Sarkozy), A l’extrême droite, le FN (Marine Lepen). Les élections présidentielles ont eu lieu en mai 2012 sur un scrutin à deux tours (11 candidats au premier tour), sachant que tout français, juridiquement éligible, et rassemblant plus de

score, n’a obtenu que deux pour cent des suffrages en Wallonie et n’a pas de siège au parlement. En France, les langues se délient à ce propos : plusieurs hommes politiques tels que Jean-Pierre Chevènement, Jean-Luc Mélenchon, Jacques Myard ou Nicolas Dupont-Aignan se sont prononcés en faveur d’un éventuel rattachement de la Wallonie à la France. Il est très difficile de prévoir le destin politique de Bruxelles Capitale, qui malgré un passé flamand devient de plus en plus francophone.