Nicotinamide adénine dinucléotide phosphate

pour permettre la réaction endergonique • Le ΔG du couplage sera donc < 0 I. Introduction A. L’énergie cellulaire 2. Couplage des réactions Ex de couplage de réaction : première réaction de la glycolyse « Phosphorylation du Glucose en Glucose-6-Phosphate par l’Hexokinase » On a un couplage en parallèle de 2 réactions : •Hydrolyse de l’ATP •Phosphorylation du Glc ATP + H2O → ADP + Pi Glc + Pi → G6P + H2O ΔG < 0 (- 29 kJ/mol) Glc + ATP → G6P + ADP ΔG < 0 (- 16.5 kJ/mol) ΔG > 0 (+12.5 kJ/mol) ATP

phosphorylation est l'addition d'un groupe phosphate qui est transféré à une protéine ou à une petite molécule, telle le glucose ou l'adénine. Le nicotinamide adénine dinucléotide, ou NAD, est une coenzyme d'oxydoréduction présente dans toutes les cellules vivantes. Le nicotinamide adénine dinucléotide phosphate (NADP) est un coenzyme d'oxydoréduction. Il est très proche du nicotinamide adénine dinucléotide (NAD), dont il diffère par la présence d'un groupement phosphate sur le second carbone du ß-D-ribofurannose

COENZYME A ou HSCoA 4.3.1 – ACTIVATION DE L’ACETATE ET DES ACIDES GRAS 4.3.2 – REACTIONS DE CARBOXYLATION 4.4 – ILLUSTRATION DE NOTION DE SEQUENCE DE REACTIONS ET DE COMPLEXE MULTIENZYMATIQUE 5 - COENZYME DES AMINOTRANSFERASES : LE PYRIDOXAL PHOSPHATE _ 3 1 - INTRODUCTION - PROPRIETES Certaines enzymes fonctionnent avec des coenzymes ou cofacteurs. Les coenzymes ou cofacteurs sont des métabolites non protéique, de faible masse moléculaire comparée à la masse moléculaire des enzymes

des pentoses-phosphates (NADP+). B) Des coenzymes réduits dans les organites semi-autonomes Catabolisme mitochondrial : hélice de Lynen, cycle de Krebs (NAD+, FAD); des rendements différents selon la nature du métabolite dégradé (glucose ou acide gras). Anabolisme chloroplastique : réactions claires de la photosynthèse (transfert en Z . NADP+). C) Le transfert du pouvoir réducteur à travers les membranes Entre l’hyaloplasme et la mitochondrie : navette glycérol-phosphate. Ainsi le NADH

l’énergie libre, les molécules transporteuses activées, les réactions chimiques, les modes de régulation. Ces motifs communs sont à l’origine de 6 voies métaboliques majeures : glycolyse, cycle de Krebs et phosphorylation oxydative, voie des pentoses phosphate, néoglucogénèse, synthèse et dégradation du glycogène, synthèse et dégradation des acides gras avec 3 jonctions clés (glucose 6 P, pyruvate, acétyl CoA). On peut schématiquement diviser le métabolisme en 2 classes : catabolisme et anabolisme. Le

Equation de Michaelis v= VM [S ] [S ] + KM 3.3. Signification des paramètres cinétiques 3.3.1 Constante de Michaelis KM ENZYME SUBSTRAT Glucose phosphate isomérase Aldolase Triose phosphate isomérase Glucose-6-phosphate Fructose1,6-diphosphate Glycéraldéhyde-3phosphate Glycéraldéhyde-3phosphate 3-Phosphoglycérate Glycéraldéhyde-3-phosphate deshydrogénase Phosphoglycérate kinase CONCENTRATION (µM) 450 32 3 KM (µM) 700 100 460 3 70 60 1200 3.3.2 Vitesse maximale VM 3.4. Détermination

lumière qui a un potentiel énergétique différent selon sa longueur d’onde. 2 Etat excité : état d'un atome ou d'une molécule, dont l'énergie est plus élevée qu’à l'état fondamental. 3 NADPH : forme réduite est le NADP (nicotinamide adénine dinucléotide phosphate). 4 ATP : adénosine triphosphate  La réduction du CO2 par l’eau est un processus qui demande beaucoup d’énergie. Les photons sont convertis en énergie chimique, il en faut au moins huit photons pour permettre la réduction d’une

forme organique (méthiononine, cystéine, biotine, thiamine) qui se confond avec le besoin en facteurs de croissance (Cf. infra). Le phosphore fait partie des acides nucléiques, de nombreuses coenzymes et de l'ATP. il est incorporé sous forme de phosphate inorganique. Le sodium, le potassium, le magnésium et le chlore jouent un rôle dans l'équilibre physico-chimique de la cellule. D'autres éléments comme le fer, le manganèse, le molybdène, le calcium, le vanadium ou le cobalt sont des oligoéléments

métabolique appelée glycolyse. Lors de la glycolyse, le glucose est dégradé en pyruvate, ce qui produit de l’énergie sous forme d’ATP. Ces réactions produisent aussi du pouvoir réducteur, sous forme de NADH (Nicotinamide Adénine Dinucléotide, forme réduite), en réduisant le NAD (Nicotinamide Adénine Dinucléotide, forme oxydée). Les réserves cellulaires de NAD étant limitées, il est nécessaire de le régénérer pour permettre à la cellule de poursuivre la dégradation du glucose par glycolyse. En absence de dioxygène

membrane plasmique. Au cours de ces réactions dépendantes de la lumière, une partie de l'énergie lumineuse sert à exciter des électrons d'une substance donneuse, le plus souvent de l'eau, électrons qui servent à leur tour à produire du nicotinamide adénine dinucléotide phosphate réduit (NADPH) ainsi que de l'adénosine triphosphate (ATP). Chez les plantes, les algues et les cyanobactéries, les glucides sont produits par une série de réactions indépendantes de la lumière appelées cycle de Calvin, mais certaines