Nietzsche Cogito Ergo Est

Nietzsche est un philosophe allemand de la fin du XIXe siècle qui a voulu contester toute l'histoire de la philosophie qui a, selon lui, mal pensé. Il s'est inspiré de Schopenhauer duquel il a repris le concept de la volonté de puissance. Il a vécu sous Bismarck, un ministre autoritaire et exigent. Nietzsche est connu pour avoir des œuvres telles que : Le Gai Savoir, Ainsi parlait Zarathoustra et Aurore dont est extrait ce texte. Celui-ci traite du travail et plus précisément de sa glorification

Freud :Descartes : il est rationalisteIl est philosophe qui se concentrait sur la raison et la connaissance.La connaissance passe par la raison et non pas par l’expérienceLa pensée est propre à l’être humainDescartes est célèbre pour sa déclaration "Cogito, ergo sum" ("Je pense, donc je suis"), qui est le point de départ de sa quête de la certitude et de la connaissance de soi. Il a mis en avant le rôle de la réflexion et de la pensée rationnelle pour parvenir à une compréhension de soi-même en tant qu'être

point de vue de son rôle dans la connaissance (approche épistémologique ou gnoséologique), du point de vue plus concret de la vie telle qu’elle est vécue (approche existentialiste), et du point de vue moral. I. Approches épistémologiques A. Le cogito (Descartes) 1. La révolution cartésienne René Descartes (1596-1650) introduit une révolution considérable en philosophie. Il faut dire qu’il est né à une époque propice. Le Moyen Âge avait été une période de ralentissement en termes économiques

Introduction La vérité est un rapport de conformité entre un jugement ou une idée et son objet. Pour Nietzsche les hommes ont fini de développer un vrai besoin de vérité pour combler la peur de l’inconnu, « Ne serait-ce pas l’instinct de la peur qui nous commanderait de connaitre ? ». « A chacun sa vérité » signifierait ici, que la vérité varierait selon les individus. La vérité serait alors relative. La vérité serait-elle différente pour chacun d’entre nous puisque chacun est unique et a son

la responsabilité de l’homme est totale. Sartre qualifie de mauvaise fois, l’attitude qui consiste à invoquer des prétextes pour ne pas assumer la responsabilité de ses actes « l’homme est condamné à être libre ». II. L’expérience cartésienne du cogito A. Le Projet de Descartes Il a pour but de reconstruire le système du savoir sur des bases solides. Il faut revenir au climat intellectuel du 16° siècle, de la renaissance. Il y a une redécouverte des philosophies de l'antiquité, de Platon,

en notre pouvoir ? Dans un premier temps, nous verrons que l’homme est bel et bien maître de ses pensées puis nous verrons que, dans certains cas, la pensée peut être indépendante de la volonté. Thèse : L’homme est maître de ses pensées. « Cogito ergo sum » disait Descartes : Je pense donc je suis. Ainsi, si nos pensées n’étaient pas en notre pouvoir, cela signifierai que l’on n’a pas de contrôle sur soi. Or, l’homme est un être doué de conscience, il n’est pas déterminé par son essence mais

s’enracine dans l’étonnement au sujet du réel. Concept pur : Idée amène à l’essentiel Aristote : les raisonnements les plus valides : r. déductifs ( inductifs si énumération complète ) Ontologie : science de l’être en tant d’être . Descartes : cogito (ergo) sum Aristote² : théorie des lieux Galilée : critique d’Aristote : pas de démonstration possible mais interprétation jusqu’à preuve du contraire Kant : criticisme kantien « des intuitions sans concepts sont aveugles ; des concepts sans matière

possibilité de choisir, créant du même coup un fossé entre lui et la bête qui elle, ne peut se déroger à ces règles. Toute cette remise en question des concepts établis n’aurait pu en aucun cas être possible, sans la célèbre phrase de Descartes, Cogito ergo sum, « Je pense donc je suis ». Elle amène avec elle une toute nouvelle façon de raisonner, basée sur ce qu’on appellera alors « la subjectivité ». Descartes, en effet, disait qu’il remettait en question tout ce qu’il croyait, jusqu’à la plus solide

* Les problèmes d’identités (=égalité à soi-même suppose l’unité et la stabilité de nos états de consciences) La Conscience selon Descartes(rationaliste) est « chose pensante » une réalité stable du fait que « je pense donc je suis » = « cogito ergo sum ». Il fait aussi l’hypothèse d’un malin génie qui nous tromperait sur le monde dans lequel nous vivons. Il met aussi en place ce doute est métaphysique, hyperbolique, méthodique: - métaphysique : en pensée, abstrait, inscrit dans une démarche

« L’Autre est-il un moyen de connaissance de soi ? » Descartes, dans son cogito ergo sum, affirme que le je est un être pensant puisqu’il existe. Le moi est maitre de ses pensées et domine sa conscience s’il sait s’écarter de deux écueils, la précipitation et les préjugés. Responsable de ses actes, le moi est tout-à-fait à même d’entrer en relation avec autrui. Cependant, Arthur Rimbaud, dans une lettre à Paul Demeny, ouvre une autre voie, détruisant toutes nos certitudes : « je est un autre »