Nietzsche Cogito Ergo Est

d’autrui, c’est une manipulation d’autrui qui se place en maitre sur nos actions et nous enferme dans un monde avec lequel on ne peut pas interagir, autrui nous ignore, on peut alors penser ne pas être car on douterait du cogito (Descartes, « Cogito ergo sum ») on attribuerait alors cogito à un autre : celui qui aurait absorbé notre existence. Lorsqu’elle est choisie, la solitude sert de mise à distance avec autrui, cela est le fruit d’une décision qui est propre à l’individu qui veut s’isoler. Par exemple

référer à l’autorité d’autrui mais d’utiliser sa propre raison. Prenons pour exemple la philosophie et plus précisément la philosophie cartésienne. Dans la II Méditation Métaphysique, Descartes énonce le cogito ergo sum (je pense donc je suis), nous ne devons pas croire et prendre pour vérité le cogito car il a été énoncé par Descartes, grand philosophe et mathématicien, mais parce qu’il fait preuve d’une rigueur de raisonnement que l’on pourrait qualifier d’implacable. Car le lien logique entre les

Introduction 2 I. Approches épistémologiques 2 A. Le cogito (Descartes) 2 1. La révolution cartésienne 2 2. Je pense, donc je suis 3 3. La logique du système cartésien 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) 5 1. Le « Je pense » est un principe d’unité qui est la condition de toute pensée 5 2. Transcendantal et transcendant 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) 7 1. Le doute interdit d’utiliser les concepts de Je et de

joue-t-elle dans les actes ? La conscience serait donc la capacité de se représenter soi-même comme dans un miroir. Toutefois la conscience impliquerait que le sujet soit conscient de l'origine de son acte et qu’il en soit responsable, l'ai voulu. Le « cogito, ergo sum » de Descartes en témoigne "je pense donc je suis", la capacité de détenir le "je" nous pousserait à nous reconnaître dans nos actes. Puisque je suis conscient de ce que je fais, je dois être capable d'en distinguer le sens et de m'en écarter

_Toc196743880 h 2 A. Le cogito (Descartes) PAGEREF _Toc196743881 h 2 1. La rvolution cartsienne PAGEREF _Toc196743882 h 2 2. Je pense, donc je suis PAGEREF _Toc196743883 h 3 3. La logique du systme cartsien PAGEREF _Toc196743884 h 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) PAGEREF _Toc196743885 h 5 1. Le Je pense est un principe dunit qui est la condition de toute pense PAGEREF _Toc196743886 h 5 2. Transcendantal et transcendant PAGEREF _Toc196743887 h 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale

pensées, je ne décide pas quand je pense mais la pensée vient d’elle-même. Je peux ensuite la neutraliser puisque l’Homme possède la conscience de penser, le célèbre Cogito ergo sum de Descartes. Ces pensées arrivent et je ne contrôle pas leur afflux. C’est d’ailleurs ce qu’affirmait Nietzsche dans Par delà le bien et le mal, Nietzsche remarque que la pensée vient d’elle-même : il n’y a pas de moi qui veuille penser. La pensée est un acte involontaire, quelque soit l’objet de cette pensée Si la

connaissances sur son passé prouve que l’histoire de l’historien suppose de penser. Or, selon Descartes, philosophe Français du 17ème siècle, l’homme est doté d’une âme, « substance pensante », qui le distingue du monde animal, d’où le célèbre « Cogito Ergo Sum », je pense donc je suis, en l’occurrence je suis homme. Les animaux ne disposeraient que d’une conscience primitive, uniquement sensitive, ne permettant pas la pensée au sens auquel nous l’entendons. L’homme agit d’après une volonté, une décision

qui est l’ethnocentrisme. Questions sur le texte de Nietzsche, fragment sur la culture. Question 1 : Comment définir la culture dans les fragments de Nietzsche ? (Quel sens ?) Nietzsche réduit la culture à l’élevage, au dressage, il réduit l’éducation en un sens universaliste. (En un sens particulariste -> discipline) Question 2 : Quel rapport pouvez-vous établir entre culture et nature ? Il n’y a pas de nature pour Nietzsche. Sans culture ou autrement dit : nature = culture. La culture

fondement de la science ? L'expérience cartésienne du cogito est cette exceptionnelle mais c'est une expérience métaphysique. Le "je pense donc je suis " est le résultat d'un doute *** te artificiel (douter de ses sens, de sa raison, du monde, de Dieu …), se douter a même paru extravagant à son hauteur, ce qui nous fait dire qu'il est moins une vérité première qu'une vérité seconde. En effet, cette expérience a cherché à isoler le cogito du monde, des autres et même de soi-même, de son propre

(l'universel) de sa source subjective (l'individu singulier). Cependant, c'est précisément cette visée à l'universel excluant la moindre concession à la particularité qui est l'essence même de la philosophie. Chaque fois que le «Je pense, donc je suis» (Cogito, ergo sum) cartésien est mis en question, c'est qu'il y a doute quant au «je», sujet des verbes «penser» et «être»: si ce «je» n'était que celui de Descartes, il prouverait certes à Descartes qu'il est ou existe, du moins aussi longtemps qu'il pense