Nietzsche Croyance

n'est pas déjà indispensable pour que cette discipline elle-même puisse commencer, et l'existence d'une conviction si impérieuse, si absolue qu'elle force toutes les autres à se sacrifier à elle? On voit par là que la science elle-même repose sur une croyance; il n'est pas de science sans postulat. "La science est-elle nécessaire?" Il faut pour qu'elle puisse se former, que cette question ait reçu auparavant une réponse non seulement affirmative, mas affirmative à tel point qu'elle exprime ce principe

Philosophie Nietzsche - Le Gai Savoir I/ Le nihilisme et la croyance Paragraphe 343: Qu'entendons nous dans l'idée de Dieu ? Lorsque l'on pense à Dieu, on a l'idée d'un être qui transcende le temps et la matière, qui est omniscient et omnipotent, l'alpha et l'oméga. Au delà même de la question de l'existence de Dieu qui est légitime (mais toutefois sans aboutissement) , Nietzsche arrive à conclure que "Dieu est mort". Comment un être qui transcende la vie elle même peut-il ne plus être

BILLE 13/12/14 Nicolas TES3 Explication de texte de Philosophie : NIETZSCHE, Le gai savoir "Dans la science, les convictions n'ont pas droit de cité, voilà ce que l'on dit à juste titre: ce n'est que lorsqu'elles se décident à s'abaisser modestement au niveau d'une hypothèse, à adopter le point de vue provisoire d'un essai expérimental, que l'on peut leur accorder l'accès et même une certaine valeur à l'intérieur du domaine de la connaissance - avec cette restriction toutefois

Nietzsche et la religion Nietzsche, qui définit l’homme comme « fabricateur de dieux » est, avant tout, un critique de l’idolâtrie qui peut prendre bien d’autres formes que celle de la religion. Le christianisme est, selon lui, à l’origine de sa propre « euthanasie » qui résulte d’une contradiction entre sa morale de probité et le dogme. La sortie du christianisme n’est donc pas en tant que telle une bonne nouvelle, ni une nouvelle rassurante. Cependant, la leçon de Nietzsche est que l’avenir

de Nietzsche à savoir la critique de la valeur de la vérité et de nos croyances métaphysiques. Il part ainsi d’un constat simple : nous croyons en la science c’est-à-dire que nous lui accordons une valeur. En effet, lorsque nous donnons un caractère scientifique à un discours ou à un exposé, cela contribue à leur attribuer immédiatement une valeur. Nous opposons apparemment la science et les convictions en considérant que la science a un fondement que les convictions n’ont pas. Or, Nietzsche va montrer

essence. La question de la vérité a fait couler beaucoup d’encre chez de nombreux écrivains, notamment chez Nietzsche qui défendit le fait de ne pas connaître la vérité, que l’illusion était préférable. Cependant, l’acquiescement de la vérité nécessite tout d’abord sa recherche, mais par où faut il passer pour la trouver ? La vérité, point central de la vie de certains confirme les dires de Nietzsche tandis que d’autres illuminés prônent celle-ci comme la plus belle chose qui n’a jamais existé. Tous

esprit. Mais si ce n'est pas le sujet ou le « moi » qui pense, qu'est-ce qui pense ? La pensée n'a pas de sujet. Ce n'est pas la volonté qui commande la pensée, des pensées peuvent m'apparaître sans que je les aie voulues. Nietzsche analyse la superstition, qui n'est pas une croyance fausse mais une illusion plus ou moins volontaire. Cependant une illusion n'est pas une réalité que nous percevons comme tel tout de même. C'est donc une tromperie. La superstition serait donc une tromperie dont nous sommes

Dimanche 23 mars Dissertation de Philosophie Sujet 3 : Explication de texte. La science est-elle vraiment, comme elle se le prétend, indépendante de toute croyance ? Nietzsche réfute ici cette conception que nous avons d’elle, en nous montrant qu’elle repose pourtant sur un postulat qui prône l’absolue nécessité de la vérité. Pour se faire, il utilise une logique assez proche du raisonnement par l’absurde : il

(métaphysique) est, en effet, indémontrable, elle n'est donc qu'une croyance et nous  savons qu'elle a été introduite parla théologie ou discours interprétatif des choses divines pour faire que Dieu ne soit pas responsable du mal produit pas sa créature, ce qui contredisait et sa perfection et la légitimité de son pouvoir moral de punir qu'il est censé exercer sur les hommes pour les sauver du mal dont ils sont la cause première. mais, selon Nietzsche, ce dieu créateur ainsi que l'idée même de libre-arbitre

Ce texte a été écrit par Friedrich Nietzsche, auteur et philosophe du XIXème siècle, en 1882 et est extrait de son œuvre intitulée Le gai savoir. Cet extrait se rapporte au thème de la science et de la vérité et évoque le problème qu’elles aient un lien et ne puissent pas exister séparément. Au début de ce texte Nietzsche adopte l’opinion commune qui affirme que « les convictions n’ont pas droit de cité » (l.2) dans la science sauf si elles décident de se transformer en hypothèses. Puis il réfute