Nietzsche Croyance

I. Le sujet I. « La consience » L’H primitif considérait que chaque chose avait une conscience .Avec le tmps ces croyances se sont amoindris et l’H est désormais pérsuadé qu’il n’y a pas de conscience > à l’H. L’H à une conscience ,une forçe qui lui permet d’agir sur les choses. I. Natures et formes de la conscience . La conscience se porte sur qqch ,c’est un sujet qui saisit un objet ,une intériorité qui saisit une extériorité.A partir du moment ou je peut représenter qqch je suis

le pré-jugé est un jugement porté avant d'avoir examinée la chose, il vient le plus souvent soit d'une expérience personnelle trop vite généralisée, j'ai vu un arabe voler donc les arabes sont des voleurs, l'autre source ce sont ses opinions, ses croyances que nous entendons depuis notre enfance dans notre entourage, société et qui nous paraissent évidents parce que personne ne les a mises en question, au moyen âge tout le monde croyait en dieu il était impossible de ne pas y croire soi-même, on n'avait

général. Bien qu un optimisme naïf ait pu célébrer la science – c'est-à-dire la technique de la maîtrise de la vie fondée sur la science – comme le chemin qui conduirait au bonheur, on peut reprendre, pour lui répondre, la critique dévastatrice de Nietzsche sur ces « derniers hommes » qui « ont encore découvert le bonheur ». D) La science comme vocation : Pour Tolstoï la science n’a pas de sens, elle ne nous donne pas de réponse pour savoir comment vivre. En quel sens alors ne nous donne-t-elle « aucune

Le Double 1 2 3 4 5 6 7 Le Problème du Moi Le thème du Double dans la littérature Le dédoublement de la Personnalité L’ombre, représentation de l’âme Le reflet, symbole du narcissisme La conception dualiste de l’âme et le culte des Jumeaux La croyance à l’immortalité de l’âme Don Juan 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Le développement du personnage de Don Juan dans la littérature La division de la personnalité en maître et valet Le héros et son double Le convive de pierre La crainte primordiale du Talion

rigueur conceptuelle, dispositif de recherche débouchant sur la production de données empiriques...). UN POINT DE VUE D'ASTROLOGUE Que l'astrologie (l'existence bien réelle d'astrologues), les modes d'usage et les usagers (à faible ou forte croyance) de l'astrologie constituent des faits sociaux sociologiquement étudiables, que l'on puisse rationnellement (et notamment sociologiquement ou ethnologiquement, mais aussi du point de vue d'une histoire des savoirs) étudier des faits scientifiquement

l’individu. Maintenant, la famille est le moment de transition dans une vie qui, en fonction des intérêts personnels, peut être aisément remis en cause. Beaucoup d’auteurs sont tentés de dire que le modèle d’organisation de la société autour de la croyance en des valeurs a évolué vers un modèle d’organisation de la société dans laquelle chacun laisse libre cours à ses intérêts. Les individus laissent libre cours à leurs propres envies, ils mettent de coté les valeurs au nom de leur épanouissement personnel

conception économique de la religion, c’est-à-dire cette religion que l’homme exige « pour soi », en demandant à Dieu qu’Il s’ajuste à son attente. Il voit même dans « le célèbre paradoxe, devenu poncif, sur la mort de Dieu », issu des soupçons de Nietzsche, de Marx ou de Freud donc, l’annonce d’une crise du monothéisme qu’il faut savoir affronter car elle fraie la voie à un renversement libérateur. Mais si Dieu n’entre plus dans le circuit de l’économie – celle des besoins et des désirs humains – et

réflexions fragmentées. De nombreux domaines sont abordés tels que la philosophie, la religion, la politique, la littérature, la mystique et l’esthétique. Une production largement investie des nombreuses filiations dont elle témoigne (Hégel, Sade, Nietzsche....) mais également le fruit d’un dialogue avec ses contemporains (Blanchot, Breton, Sartre...). Aucun grand débat de son époque ne lui a échappé et même s’il n’a appartenu à aucun système de pensée et qu’il restât en marge des écoles il s’est largement

des icônes dans les chambres à coucher, les boutiques, sur les marchés. Certains prêtres grattent l’or des icônes pour en faire tomber quelques miettes dans le calice fin de renforcer le mystère eucharistique. On a là le comportement typique de la croyance magique et idolâtre qui renvoie à la puissance attribuée aux images. On n’est pas loin de l’idole archaïque. C’est dans ce contexte qu’éclate la crise iconoclaste qui, entre 721 et 843, provoque une guerre civile et la destruction de la quasi-totalité

réussir ensuite. C’est un gros pari. Que doit-on penser de la vie de Jésus Christ ? A t-il raté ou réussi sa vie ? Certes, il fut crucifié pour sauver notre peau, mais pas la sienne. Et nous a t-il réellement sauvé ? Cela dépend des gens et des croyances. En tous cas, des peuples entiers sont morts dans les guerres de religion pour défendre leurs opinions à ce propos. Doit-on estimer qu’ils ont raté leur vie, dans la mesure où aujourd’hui on déclare que " Dieu est mort " ? Ou pensaient-ils l’avoir