Nietzsche La Promesse

non. Mais qui dit autonomie, dit que chacun se donne à lui-même sa propre loi. C’est précisément ce que l’État empêche puisque, quelle que soit sa forme, c’est lui qui en dernière instance, définit les lois valables des lois qui ne le sont pas. Nietzsche pouvait dire que l’État est le plus froid des monstres froids dans son poème philosophique Ainsi parlait Zarathoustra. En effet, l’État, en tant que pouvoir séparé du peuple, le fait servir à son profit. Dès lors, il est bien l’ennemi de la liberté

accompagné de souffrance. Néanmoins, tout un chacun aspire à être heureux et justement le désir, en se tournant vers sa propre fin (qui est d’être satisfait), ne renvoie-t-il pas à un espoir d’être plus heureux demain ? Le désir apparaît alors comme une promesse de bonheur, comme le rêve compensateur de l’humain : le bonheur réside justement dans le fait d’imaginer, et donc de désirer. Si désirer signifie toujours souffrir alors l’absence de désir pourrait apparaître comme un moyen d’accéder au bonheur.

reconnaître sa pensée. Il accède cependant à la renommée à la fin de sa vie grâce à quelques disciples et à des ouvrages sous forme d'aphorismes (Parerga et Paralipomena) qui facilitèrent la diffusion de sa doctrine. Son influence est perceptible chez Nietzsche, Wagner ou Thomas Mann. René Magritte Peintre surréaliste belge, Né à Lessines le 21 novembre 1898 et décédé à Bruxelles le 15 août 1967. Jeune Belge marqué par le suicide de sa mère, René Magritte est étudiant aux Beaux-Arts de Bruxelles

site pas mal : http://ba1encyclo.canalblog.com/archives/2007/02/09/3956608.html BONHEUR SELON NIETZSCHE Nietzsche détestait le bonheur, du moins une certaine aspiration inquiète et insatisfaite au bonheur. Non qu’il soit illusoire ou qu’il désigne un concept trompeur destiné à envoûter les foules au moyen de la vigoureuse promesse d’un avenir impossible. Il y a seulement une manière de le définir qui mérite une petite leçon de démystification… Le bonheur est un leurre lorsqu’il suggère

remarque ce qui ressemble à un titre. Cette œuvre ce trouve a Beaubourg. La plupart des gens ont une approche émotionnelle devant l’œuvre mais l’artiste ne voulait pas une approche émotionnelle. En effet ROTHKO a lu la naissance de la tragédie de NIETZSCHE, il va donc essayer de d’exprimer en suivant les exigences de la spiritualité. Selon lui il peint une nouvelle mythologie qui s’adresse à la croissance d’un esprit enfant. Il cherche à montrer qu’il y a deux forces contraires en nous qui sont liées

C’est à la victime qu’il revient de pardonner son offenseur, l’offenseur ne peut se pardonner à lui-même. Ce qui fit dire à Hannah ARENDT dans La condition de l’homme moderne que « Nul ne peut se pardonner à soi-même, nul ne peut se sentir tenu à une promesse qu’il n’a faite qu’à soi… ». Le pardon apparait dans le cadre d’un échange : l’un offre le pardon, l’autre le reçoit après l’avoir demandé. Ainsi le pardon rétablit le lien social antérieurement brisé. Il permet de renouer des liens sociaux avec

S5 Manque cours du 17/09/2010 23/09/2010 II) La relation entre Nietzsche et Schopenhauer 1. Une culture de la Sainteté Qu’est-ce que faire un homme dans la modernité? On ne peut pas faire un homme sans maitre mais ce maitre n’en est pas un s’il ne conduit pas à une surhumanité. Dans le texte on y voit émergé quelque chose de très étrange car d’une part Nietzsche développe une culture de la sainteté ( Nietzsche célèbre Schopenhauer) ; d’autre part en quoi l’œuvre peut être concerné

monde, qu'elle a réduit la foi à une affaire d'institution, ramené le christianisme à une éthique, à une convention. Il défend, lui, l'événement de la foi qui est chaque fois rencontre privée de l'existant et de son Dieu. Comme le romantisme, comme Nietzsche, Kierkegaard, à sa manière, critique la modernité. Le romantisme ironise sur la platitude du philistin, s'élève contre l'assèchement des sentiments et contre un traitement de la nature qui la réduit à un pur objet scientifiquement analysable et techniquement

conventionnelle (C). A) Peut-on penser la politique sans la guerre ? Les penseurs qui considèrent la guerre comme un phénomène naturel voit en l’Etat un protecteur : si le peuple accepte initialement de se soumettre à l’autorité, c’est contre la promesse de la paix, contre la protection légale de ses droits. Parmi eux, on retrouve Thomas Hobbes et son célèbre postulat anthropologique : « l’homme est un loup pour l’homme. » L’état de nature est un état de guerre perpétuelle et l’instinct de conservation

ne suivent pas les principes moraux, les reconnaissent comme tels. Le menteur ne peut pas vouloir vivre dans une société de menteurs parce qu’il sait que si c’était le cas, il ne pourrait pas tirer profit de son mensonge. Celui qui fait une fausse promesse (par exemple, emprunter de l’argent à un ami en lui promettant de le rendre tout en sachant qu’il ne le fera pas) sait que si tout le monde agissait ainsi, son ami lui rirait simplement au nez au moment où il lui promet de lui rendre l’argent emprunté