Nietzsche La Promesse

DUJARDIN Antoine Sujet : Quels sont les impacts des innovations financières et des marchés financiers pour les économies contemporaines ? « L’Etat c’est le plus froid de tous les monstres froids » disait le philosophe allemand du XIXe siècle, Nietzsche, pour critiquer cette institution, créée par les sociétés humaines, et devenu incontrôlable et despotique pour des dernières. Il y a quelques mois, à Tokyo, un dysfonctionnement du système informatique a presque entrainé la faillite d'un des plus

En ne voyant dans l’objet de son désir que la promesse de sa propre satisfaction, l’individu désirant nie l’altérité de l’objet de son désir, et il éprouve immédiatement l’identité absolue (la convenance) de cet objet avec son désir, identité en laquelle l’objet est rapporté à soi (il offre la possibilité d’une satisfaction) et nié dans sa dimension d’altérité : il n’est pas autre chose que ma propre volonté, il n’est pas autre chose que la promesse de ma propre satisfaction. Or selon Hegel, cette

partie de l’anthologie : « La société face à son Histoire » – Dossier : « Vers l’écriture personnelle : fiche méthode et entraînement », p. 186. – Anna Gavalda, Pendant des années, in Histoires de ceux qui oublient… ou pas. Supports – Friedrich Nietzsche, La Généalogie de la morale, p. 87. – Simon-Daniel Kipman, L’Oubli et ses vertus, p. 93. – Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, p. 85. Séances Activités – Écrit : exercice individuel de résumé. – Cours dialogué. – Oral : compte rendu du cahier

dans une société. La crainte de “ marginaliser ” l’enfant est relativisée : on a vu dans l’histoire des grandes personnalités culturelles dont le génie paraissait relever de leur inadaptation sociale même. Les cas de Mozart, Beethoven, Rousseau, Nietzsche, Van Gogh , Gauguin, sont connus. Avec une pointe d’ironie lucide,O. Reboul remarque: “ Du point de vue moral, surtout l’intégration sociale est loin d’être une norme indiscutable, car toute société comporte une part de fanatisme, d’égoïsme sacré

La connaissance historique A. l’intérêt pour le passé On pourrait en effet naïvement pensé que le passé est sans intérêt, car n’est plus, seul l’actuel devrait susciter notre intérêt. Pourtant, le passé nous intéresse et cela parce que selon NIetzsche, dans la seconde considération inactuelle, 1. parce que l’homme conserve et vénère: nous avons besoin de connaître notre passé parce que grâce à lui, nous avons le plaisr d’être “le fruit de…”. Avoir un passé, c’est avoir une identité aussi bien

la communication ? ............................................ 176 Textes .................................................................................... 184 1. G. FREGE, les Fondements de l’arithmétique ..................... 184 2. F. NIETZSCHE, le Crépuscule des idoles ............................ 185 3. C. -S. PEIRCE, Textes anticartésiens .................................. 186 4. B. RUSSELL, Histoire de mes idées philosophiques .......... 187 5. R. CARNAP, le Dépassement de la métaphysique

savoir soi, se distinguer des autres, se penser à la première personne) . Et par là, il est une personne, « une fin en soi » et  a une dignité, une valeur absolue ; l’animal comme un objet n’est qu’un « moyen », a un prix, une valeur absolue Mais Nietzsche souligne lui les limites de cette conscience de soi, via son origine. C’est parce que l’homme est un être inadapté, qu’il est un être qui a besoin des autres, qu’il doit leur dire ce dont il a besoin et qu’il doit se le dire et être conscient pour

J.-C.), l’originalité de La Fontaine (1621-1695) est dans l’interprétation nouvelle d’un thème qu’il crée ainsi. En ce qui concerne la musique instrumentale, la compréhension de son sens réside dans les représentations qu’elle fait naître comme Nietzsche le faisait remarquer dans le chapitre 6 de sa Naissance de la tragédie (1872) à propos de la VI° symphonie dite pastorale de Beethoven (1770-1827). Les titres que l’auteur donne, à commencer par pastorale ou encore « scène au bord d’un ruisseau »

sans conviction. Il ne peut terminer ses études au lycée car il est enrôlé, en 1943, comme auxiliaire dans la défense anti-aérienne de l’armée allemande. Dans les misères de la guerre, il lit le Faust et des poèmes de Goethe ainsi que les œuvres de Nietzsche. En février 1945, lors de combats à la frontière de la Hollande, il est fait prisonnier de guerre et sera déplacé de camp en camp les années suivantes (1945-48). Théologie dans les camps Il est d’abord envoyé dans un camp en Belgique. Moltmann

comportement. Il ne sied pas aux gens pieux et aux vrais croyants de mentir ; c’est un signe d’hypocrisie, comme l’a déclaré le Prophète - paix et bénédictions sur lui : « L’hypocrite possède trois caractéristiques : il ment, il ne tient pas ses promesses et il trahit la confiance » [Hadith rapporté par Al-Bukhârî et Muslim]. De même, On trouve dans le Coran : « Seuls forgent le mensonge ceux qui ne croient pas aux versets d’Allâh ; et tels sont les menteurs » [Sourate 16, An-Nahl, Les Abeilles,