Nietzsche Refute Cogito

fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 14 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 15 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 15 6. Critique de la théorie de l’aliénation 15 III. Liberté et déterminisme 16 A. Liberté et déterminisme s’opposent 16 1. La liberté comme acte gratuit (Gide) 16 2. La liberté comme initiation d’une

fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 14 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 15 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 15 6. Critique de la théorie de l’aliénation 15 III. Liberté et déterminisme 16 A. Liberté et déterminisme s’opposent 16 1. La liberté comme acte gratuit (Gide) 16 2. La liberté comme initiation d’une

: Le cours 1 : Introduction. Le cours 2 : Les présocratiques Le cours 3 : Socrate et Platon Le cours 7 : Descartes Les cours 8 et 9 : Les Lumières Philosophiques Le cours 10 : Hegel Non revu cette année mais ok : Le cours 11 : Marx Le cours 12 : Nietzsche. Attention donc : imprécisions, explications insuffisantes ou changement dans l’exposé cette année pour le cours 4 (Aristote+ la réaction sceptique… qui a son importance par rapport aux enjeux du cours), le cours 5 (le dogmatisme du moyen-âge), le

La liberté de penser 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) Pour Descartes, liberté de penser et liberté de vouloir vont de pair. L’idée essentielle de Descartes est que cette liberté intérieure est une évidence (du même type que le cogito) car nous l’éprouvons immédiatement. Et si on conçoit la liberté comme absence d’entraves, force est de reconnaître que notre pensée et notre volonté ne sont jamais entravées, nous les éprouvons toujours comme parfaitement libres : Il n’y a que

fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 14 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 15 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 15 6. Critique de la théorie de l’aliénation 15 III. Liberté et déterminisme 16 A. Liberté et déterminisme s’opposent 16 1. La liberté comme acte gratuit (Gide) 16 2. La liberté comme initiation d’une chaîne

(Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 14 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 15 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 15 6. Critique de la théorie de l’aliénation 15 III. Liberté et déterminisme 16 A. Liberté et déterminisme s’opposent 16 1. La liberté comme acte gratuit (Gide) 16 2. La liberté

La liberté de penser 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) Pour Descartes, liberté de penser et liberté de vouloir vont de pair. L’idée essentielle de Descartes est que cette liberté intérieure est une évidence (du même type que le cogito) car nous l’éprouvons immédiatement. Et si on conçoit la liberté comme absence d’entraves, force est de reconnaître que notre pensée et notre volonté ne sont jamais entravées, nous les éprouvons toujours comme parfaitement libres : Il n’y a que

la communication ? ............................................ 176 Textes .................................................................................... 184 1. G. FREGE, les Fondements de l’arithmétique ..................... 184 2. F. NIETZSCHE, le Crépuscule des idoles ............................ 185 3. C. -S. PEIRCE, Textes anticartésiens .................................. 186 4. B. RUSSELL, Histoire de mes idées philosophiques .......... 187 5. R. CARNAP, le Dépassement de la métaphysique

« l’univers infini » rend caduque toute théorie de l’hétéronomie. Cela a pour conséquence principale que la nature, ne dictant plus de règles, devient muette. Dès lors, il n’y a plus rien d’extérieur à l’homme sur quoi s’appuyer pour penser. Par le biais du cogito cartésien[10], la pensée appréhendée comme la seule chose vraie et indubitable permet de refonder le monde en faisant du sujet son centre mais également la base de toute connaissance. Ainsi, l’homme peut constituer librement les lois auxquelles il

modifications de la température entraînent des changements d’état des corps organiques, et font passer les solides à l’état de liquides ou de gaz. Il semble qu’Héraclite ait eu l’idée de cet Eternel Retour que l’on trouve chez les stoïciens et chez Nietzsche. Ses disciples, en tout cas, lui ont attribué la croyance que le monde, à des dates régulières et fixées par le destin, est entièrement absorbé par le feu dont il émane, pour renaître ensuite, et cela éternellement. Enésidème attribue à Héraclite