Nitrite de sodium

benzénique est conjuguée avec les doubles liaisons C=C du cycle benzénique. L'atome de carbone de ce groupe est moins déficitaire en électron que le carbone du groupe amide - HN-CO-. E est donc majoritaire. E est soumis à l'action du tétrahydroborate de sodium pour donner F après hydrolyse. Le spectre IR de F présente deux bandes fines à 3400 et 3450 cm-1 et une bande large et arrondie vers 3300 cm-1. Interpréter les données du spectre IR de F. Bande large et arrondie vers 3300 cm-1 : groupe OH d'un alcool

certains facteurs de la coagulation...etc.) • Analyse d’urine par bandelette urinaire : La bandelette urinaire est une méthode d'analyse biologique instantanée des urines qui sont mises en contact avec des réactifs spécifiques. (PH, leucocytes, nitrite, densité, glucose, cétone, acide ascorbique, protéine, sang, bilirubine, urobilinogène) • Echographie abdominale : Cette méthode permet notamment de visualiser le foie, la vésicule biliaire, les voies biliaires, le pancréas, les reins, la rate, les

Réduction des nitrates en nitrites :  Principe : Certaines bactéries anaérobies facultatives utilisent un métabolisme de type oxydatif sous des conditions d’anaérobies. Ce procédé est la respiration anaérobie. Les nitrates sont en principe toxiques pour la plupart des bactéries mais certaines peuvent les utiliser comme accepteur des é et l’azote moléculaire formé est relargué dans le milieu. Chez certaines espèces ce sont les nitrates qui sont successivement réduits en nitrites puis en azote. Ce procédé

(DT) de 0,3 à 0,5 g/kg b. Nitrates/nitrites Nitrate: signes digestifs : salivation, des vomissements, de la diarrhée parfois hémorragiques, des douleurs abdominales Nitrite: Dyspnée, symptômes nerveux et circulatoires forme suraiguë est possible mais rare DL: 409-750mg/kg nitrate 67-170mg/kg nitrite 4. Intoxication par herbicides, insecticides, désinfectants a. Chlorate de sodium Forme suraiguë assez rare, mort subite de l’animal

type II ................................................................. 20 Figure 12: vue planaire de la structure de l'ion nitrate ......................................................................... 24 Figure 13: structure plane de l'ion nitrite ............................................................................................. 25 Figure 14: rampe de filtration ............................................................................................................... 28 Figure

49 / 1,0 10 282,49 3,5 10 1 6,022 10 2,1 10 3,5 10 1 C H O mol molécules molécules g molécules g mol ou M g mol g g mol xmol mol xmolécules molécules molécules mol mol                    14- 5 15- 6 1. NaCl Chlorure de sodium 31. Acide chlorhydrique HCl 2. AgNO3 Nitrate d’argent 32. Nitrate de plomb(II) Pb(NO3)2 3. Ba(HCO3)2 Hydrogénocarbonate de barium 33. Carbonate de calcium CaCO3 4. KOH Hydroxyde de potassium 34. Dichromate d’ammonium (NH4)2Cr2O7 5. ZnSO4

e 4 V D - La gravit de l'intoxication augmente avec la prise d'alcool 5 V E - La gravit de l'intoxication augmente avec l' ge 6 Parmi les substances suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) m th moglobinisante(s) ? 1 V A - Les nitrites 2 V B - Le chlorate de potassium 3 V C - Le bleu de m thyl ne tr s forte dose 4 F D - Le t trachlorure de carbone 5 F E - Le plomb 7 Quelle est la proposition inexacte concernant les modifications des activit s enzymatiques provoqu

colorimétrique par flux continu   Skalar Methods   ×     MOND CI 107   Eaux   Détermination des détergents anioniques   ‐Skalar Methods   ×     MOND CI 110* (2)  Eaux   Détermination des nitrates et nitrites Méthode  colorimétrique par flux continu   ‐ NM ISO 13395‐1999 ‐  Skalar Methods Catmr.  461‐032   ×     MOND CI 111* (2)  Eaux   Détermination des nitrites Méthode colorimétrique  par flux continu   ‐ NM ISO 13395‐1999 ‐  Skalar Methods Catmr.  467‐003   ×     MOND CI 112* (2)  Eaux   Détermination des orthophosphates Méthode 

normes maximales admises dans la législation nous donne les indicateurs de qualité. Les indicateurs chimiques de qualité de l’eau les plus couramment utilisés sont les ions majeurs (chlorures/chlore libre résiduel, sulfates/sulfures, nitrates/nitrites) et les métaux (fer, cuivre, chrome). La qualité des eaux est définie par des normes marocaines qui se référent aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé et la réglementation internationale. Ces normes précisent les références

L-tryptophane 0,3 g éthanol à 0,95 1 ml rouge de phénol 2,5 mg chlorure de sodium 0,5 g dihydrogénophosphate de potassium 0,1 g hydrogénophosphate de potassium 0,1 g Parmi les milieux empiriques, l’un des plus courants est la gélose TCS (trypto caséine soja), dont la composition permet la croissance des micro-organismes peu exigeants : peptone trypsique de caséine 15,0 g peptone papaïnique de soja 5,0 g chlorure de sodium 5,0 g agar 15,0 g Les peptones sont des protéines ayant subi une