Noblesse française

Nous allons étudier et montrer ce qui rend le corpus de textes suivant comique. Commençons donc par présenter ces extraits. Ce corpus est composé de 3 extraits de comédie française, qui sont : la scène 4 de l’acte 2 du Bourgeois gentilhomme de Molière, un extrait de On purge bébé , de Georges Feydeau, et enfin un extrait de La leçon de Eugène Lonesco. Nous allons montrer les aspects comiques de ces trois derniers extraits. Premièrement, l’aspect comique le plus évident de ces textes est le comique

premier de tous les peuples que tous les autres, quels qu’ils soient, devraient se sentir honorés pourvu qu’on leur laissât manger le pain de nos chiens» (Léon Bloy, 1893) L’exception française à son apogée : très grande confiance dans le génie national. Longue tradition de confiance. C’est l’arrogance française. Si le pays ne s’aime plus, c’est peut être parce qu’il s’est trop aimé. Flaubert, Dictionnaire des idées reçues, article : «Français» : «le premier peuple de l’univers». Article «étranger» : «engouement

Source: Les Grandes chroniques de France forment l’une des premières histoires des rois de France en langue française. Elle est voulu par Louis IX, et exécuté par un abbé de Saint-Denis en latin et retranscrite en français. Elles retracent les faits et évènement des rois de France depuis les Mérovingiens jusqu'au milieu du XVè siècle. Contexte: En France l'année 1314 marque une année catastrophique. Les mauvaises récoltes commencent, la politique financière (les caisses sont vident) notamment

royale qui souffre d'une montée des oppositions, de la désacralisation de la personne du roi et de l'esprit critique des Lumières. Après des siècles d’absolutisme, la population, privilégiée ou pas, commence à s’opposer à ce type de monarchie. La noblesse se sentant exclu du pouvoir, étant plus favorable à une monarchie dans laquelle les nobles pourraient être conseillers du roi et puis l’émergence d’un clergé provenant de la moyenne bourgeoisie qui sera plus sensible au sort du Tiers Etat. Cela

3 (collective) Avant 1789, la société française s’organise en trois ordres : la noblesse et le clergé qui sont des ordres privilégiés et le tiers état qui comprend le reste des français. La noblesse et le clergé sont privilégiés : ils ne payaient pas le principal impôt, la taille. Quelques bourgeois très riches (grands commerçants...) cherchaient à se faire anoblir par le roi pour avoir les mêmes privilèges. Ils représentent 3 % de la population française La grande majorité des français (97 %)

plutôt que les bourgeoise fragiles et raffinées, ce qui les éloignent de Georgue Duroy. 2. La bourgeoisie : La bourgeoisie arrive assez vite dans le roman grâce à M. Forestier, ancien ami de Bel-Ami. C’est un journaliste, malade, de La Vie Francaise, et il l’aide à trouver un travail d’assistant auprès du journal. Il est marié à Madeleine Forestier, femme blonde indépendante, réservée et discrète ce qui ne l’empêche pas d’avoir beaucoup de contacts hauts placés et d’être trés présente dans

groupe a part. Puis plus tard il y a une primogéniture. Puis une transmission des noms. A l’époque du 11 et 12e siècle on a la mise en place définitif de l’aristocratie et de la noblesse et voir quel sont les critères qui font le noble. La noblesse ce n’est ni la richesse ni le pouvoir politique. 1er critère de noblesse le sang : être noble c’est être fils de noble, on nait noble on le devient pas. Etre noble c’est appartenir a une maison de noble d’où l’intérêt de la généalogie. Elle est toujours

et ont le savoir (0,5 % dl popu.) - Noblesse : ceux qui combattent pour défendre le peuple (1,5% dl popu.) - Peuple : ceux qui travaillent (artisans, paysans,…) (reste dl popu.) ⇨ respecter et non maltraiter >> besoin mutuel (Adalbéron y insiste) Selon G. Dumézil (historien), on retrouve une classification par fct° dans tt les peuples. Système datant de Rome, ayant persisté jusqu’à la Révolution française et retrouvé un peu partt en Eu. Roi de

Ouvrage fondateur : La société de cour de Norbert Elias, écrit en 1933 mais publié en Allemagne en 1969. C’est une lecture à la cour du Roi à Versailles, approche Sociologique et non historique. Analyse de façon sociologique le rôle de la cour et de la noblesse par la même occasion. Cela aide aussi à réfléchir sur le rôle de la bourgeoisie dans cette France de la fin du 17ème. Norbert Elias constate tous d’abord, comme dans les autres grandes civilisations précédentes (Chine impériale), qu’il y a une cour

explique tout par la décision de dieu. C’est la volonté divine qui justifie la place de l’individu. On leur dit aussi que leur place a un sens. Au M-A on voulait faire passer le message à la société qu’elle représentait la parfaite interdépendance. La noblesse combat pour protéger les deux autres groupes, le clergé prie pour les autres, le Tiers état travaille pour les autres. On essaye d’expliquer donc la parfaite complémentarité des 3 ordres. Adalbéron de Laon est un évêque et dans un poème qui