Normal Ou Pathologique

l'analyse des faits psychiques (maladies mentales, vie affective des individus) relève de la plus haute importance. Née de la psychiatrie de la fin du XIXème siècle et de l'observation des conduites pathologiques, la psychologie clinique distingue et compare le comportement normal et le comportement pathologique. A l'origine, la psychologie clinique se situe au chevet du lit du malade où le médecin recueille par l'observation directe les manifestations de la maladie en vue de poser un diagnostic. Cette

1954, « La position dépressive dans le développement affectif normal », il dit très clairement que le terme de « position dépressive » induit en erreur parce qu’il y a dans « dépressive » l’idée d’une « maladie de l’humeur », ce qui, il le précise ne fait pas partie du développement sain. Pourtant en 1958, dans son article « La famille touchée par la dépression de l’un ou deux parents », Winnicott suggère que la dépression est normale et que des personnes qui ont une certaine valeur en font l’expérience

Poly L2 Cours de Drina Candilis L 2 cours II LE NORMAL ET LE PATHOLOGIQUE CHEZ L’ENFANT De la souffrance psychique à l’évaluation du normal et du pathologique selon M.Klein et A. Freud La souffrance psychique de l’enfant Pas de prise en compte de la souffrance psychique de l'enfant avant le début du XXe siècle. Quelques précurseurs s'intéressent au XVIIIe siècle à la pédagogie des enfants déficients : Pereire, Itard (voir victor de l’aveyron, l’enfant sauvage), l'Abbé de l'Epée pour

leur genèse. L’étude de la pragmatique de la communication humaine se fonde à partir de quelques propriétés simples de la communication dont les implications interpersonnelles, qui sont fondamentales. En parallèle, par le biais de la communication pathologique, on observe les distorsions que certains de ces principes de communication peuvent être amenés à subir et les conséquences qui en résultent, qui peuvent parfois aller jusqu’au comportement symptomatique d’une maladie mentale. 3. Présentation

tôt un enfant ; en effet la limite normal/pathologique est assez floue dans la mesure où l’enfant est en développement (les troubles peuvent donc se résorber d’eux-mêmes) et on note aussi de grandes variations interindividuelles dans l’age des acquisitions. Ainsi, si un diagnostic et une prise en charge précoce sont très importants pour le devenir de l’enfant, il faut prendre grand soin à ne pas stigmatiser des troubles passagers ou « normalement pathologiques ». On ne parlera d’ailleurs de troubles

déjà à comprendre le fonctionnement mental et à rendre la médecine plus scientifique. Sur ces bases se construisit la psychiatrie puis ce qui allait devenir un peu plus tard la psychopathologie. Cette discipline étudie les troubles mentaux. Normal et pathologique se chevauchent et le trouble mental est un concept dont les limites sont plutôt floues. II°) Historique Les premières conceptions de la psychopathologie étaient d’ordre magique. On identifiait des symptômes, décrits de manière peu précis

phénomène pathologique ou facteur de cohésion sociale ? a- pas de société sans conflits La vie sté implique forcément conflits tt les indiv ne peuvent avoir même opin°. Les conflits soc sont donc normaux. Ces conflits normaux, ont une fct intégratrice car en associant les partis prenante ils contribuent à la cohésion social Les conflits pathologique, eux, ont

......................................................................................... 11 V.1 Définition arbitraire et mathématique des états "normaux" et "pathologiques"...........11 V.2 Les caractères multifactoriels avec effet de seuil.................................................................12 V.3 Définition de la limite pathologique par la survenue de comorbidités..............................12 V.4 La notion de seuil et l'agrégation familiale..................................

naturelles. Il n’est pas question de considérer les symptômes d’un sujet en dehors de leur contexte, de son vécu, de son histoire. Conseiller, guérir & éduquer (D. Lagache) Pour Anzieu, elle est une psychologie individuelle et sociale, normale et pathologique. C’est à la fois une pratique (« méthode clinique ») et une discipline (celui de la souffrance psychique). Ses principes sont la référence à la singularité, à la subjectivité et la prise en compte de la personne dans sa totalité. Elle utilise

reprennent un cours « normal ». Une des illusion que la psychopathologie clinique sʼefforce de croire quʼon peut combattre contre nos propres souffrances. Le désir de guérison de la part dʼun soignant peut être une obsession. Ceci peut être aidant dans certains cas mais très handicapant dans dʼautres. Toutes personnes travaillant avec des patients en souffrances sont des cliniciens. Après, tout dépend de « notre intérieur ». Définitions 1) Processus psycho-pathologiques Parle moins de ce