Notre-Dame-de-la-Salette

retrouve des éléments caractéristiques de l’époque minière. L’extrait trouvé en début de deuxième partie, relate les plaintes des employeurs des mines à cause de la crise :  «  - Et tout marche-t-il bien, à la fosse ? * Dame ! je suis bousculé avec des camarades, par cette saleté de crise… Ah ! nous payons les années prospères ! On a trop bâti d’usines, trop construit de voies ferrées, trop immobilisé de capitaux en vue d’une production formidable. Et, aujourd’hui, l’argent dort, on n’en trouve plus

regarderChoses : objet concret qui constitue notre routineEmbellir : les moyens esthétiques, l'idéalisation propre à la poésie : image (métaphore comparaison personnification) et musicalité (rimes et rythmes) la boue : elle représente la laideur et la saleté l’or : elle représente la beautéAlchimie poétique : La capacité de la poésie à transformer ce qui est ou ce qui semble laid en autreChose : le poète voir le monde autrementLe spleen : mélancolie sans cause apparente caractérisé par le dégoût de toute

douze filles qui étaient enchaînées six par six par le milieu du corps, il y en avait une dont l'air et la figure étaient si peu conformes à sa condition, qu'en tout autre état je l'eusse prise pour une personne du premier rang. Sa tristesse et la saleté de son linge et des habits l'enlaidissaient si peu que sa vue m’inspira du respect et de la pitié. Elle tâchait néanmoins de se tourner, autant que sa chaîne pouvait le permettre, pour dérober son visage aux yeux des spectateurs. b) Analyse «Je»

voulez être sortie. URANIE.— Arrêtez, animal, et la laissez monter, puisque la sottise est faite. GALOPIN.— Elle parle encore à un homme dans la rue. URANIE.— Ah! cousine, que cette visite m'embarrasse à l'heure qu'il est. ÉLISE.— Il est vrai que la dame est un peu embarrassante de son naturel: j'ai toujours eu pour elle une furieuse aversion; et, n'en déplaise à sa qualité, c'est la plus sotte bête qui se soit jamais mêlée de raisonner. URANIE.— L'épithète est un peu forte. ÉLISE.— Allez, allez

lui-même. D'ailleurs, il n'a pas créé un seul des êtres vivants de cette planète. Puisque l'homme ne s'est pas créé lui-même, disons que c'est l'œuvre de Dieu ou d'on ne sait quelle entité intelligente. Pour simplifier, je dirai « le Créateur », ou « Dame Nature ». Personnellement, j'ai du mal à imaginer le Créateur sous les traits d'un vieil homme à la longue barbe blanche qui m'observerait et me jugerait en permanence. J'ai aussi du mal à croire qu'il me demande de l'adorer. Le fait que je dise «

quoi se tenir le gosier au frais pendant huit jours. Lui, aurait voulu qu’on lui soudât le bout du serpentin entre les dents, pour sentir le vitriol encore chaud l’emplir, lui descendre jusqu’aux talons, toujours, toujours, comme un petit ruisseau. Dame ! il ne se serait plus dérangé, ça aurait joliment remplacé les dés à coudre de ce roussin de père Colombe ! Et les camarades ricanaient, disaient que cet animal de Mes-Bottes avait un fichu grelot, tout de même. L’alambic, sourdement, sans une flamme

tenait la main pour que je reste le plus longtemps avec elle , demander a les aide soignant que je passe toute l’après-midi avec elle , mais cela étai impossible car j'avais d'autre résident a prendre en charge . C’était vraiment très touchant qu'une dame s'attache a moi alors quelle me connaît a peine. METS UN TITRE POUR CHAQUE PARAGRAPHE ET NON UNE QUESTION observation des besoins La deuxième semaine de mon stage j'ai observé que madame G s’ennuyer beaucoup toute les après-midi, donc je

nue, glaciale ; les marchandises, empaquetées, serrées dans des coins, ne traînaient pas çà et là avec leur joyeux tapage de couleurs. D'ordinaire, il y avait deux femmes assises derrière le comptoir : la jeune femme au profil grave et une vieille dame qui souriait en sommeillant. Cette dernière avait environ soixante ans ; son visage gras et placide blanchissait sous les clartés de la lampe. Un gros chat tigré, accroupi sur un angle du comptoir, la regardait dormir. Plus bas, assis sur une chaise

Renée crut apercevoir une saleté et n’eut pas le courage de satisfaire sa curiosité. Elle regarda le divan, éprouva un nouvel embarras, se mit, afin d’avoir une contenance, à regarder le plafond et le lustre de cuivre doré, à cinq becs. Mais la gêne qu’elle ressentait était délicieuse. » Emile Zola, La Curée. Texte 3 : « Tout d’un coup pendant la messe de mariage, un mouvement que fit le suisse en se déplaçant me permit de voir assise dans une chapelle une dame blonde avec un grand nez, des

l’impression d’être dans son propre univers. En outre, le réalisme de l’incipit vient de l’ancrage géographique et historique. Le lecteur d’origine doit retrouver un univers connu et familier. Nous avons donc une indication précise et réelle : “la rue Notre Dame de Lorette” (l.21). Cette rue de Paris existe vraiment, elle est située dans le 9e arrondissement. Petit détail vrai, elle est en pente, ce que nous précise l’auteur ‘“il se mit à descendre la rue” l.21). Le lecteur doit pouvoir suivre les déambulations