Noumène

; ainsi, « le monde est ma représentation ». Mais il y a plus : la pensée elle-même n'est qu'un phénomène. Toute la philosophie de Kant consiste dans la distinction entre phénomène et noumène. Le phénomène est ce qui nous apparaît, c'est-à-dire la représentation que nous nous faisons des choses. Le noumène est la chose en soi, inaccessible à notre connaissance. Or, Schopenhauer déclare que la grande découverte de sa vie est celle de la chose en soi. Cette réalité nouménale, il la trouve en lui-même

choix => actes : libre arbitre, responsabilité, perfectibilité. Réalité --------- [Grille d’interprétation du réel] --------- Sujet. Expérience = contact direct avec la réalité. Problème : la conscience est-elle source d’illusions ? Kant : Noumène : chose en soi Phénomène : chose telle qu’elle m’apparait. Enjeu du problème : la vérité. Avoir conscience de soi, c’est savoir que j’existe. Appareil sensitif = perception, sensibilité Appareil cognitif = pensée (raison, mémoire, imagination

propositions, c'est exprimer un lien logique. En d'autre termes, en utilisant un vocabulaire Kantien, on pourait dire que la science se limite à l'ordre du phénomène, c'est à dire aux manifestations des choses, et non aux choses elles-même (odre du noumène). Ainsi, les domaines de compétence de la science ne sont pas illimités. La connaissance scientifique va aussi permettre de confirmer certains dire de religions tels que la presence d homme correspondant a la meme epoque III - Et cette démonstration

des propriétés réelles* aux choses, il est évident que nous ne pouvons pas connaître les choses en elles-mêmes mais bien comme on les aperçoit. Ce qui veut dire que nous ne pouvons pas connaître le noumène, nous pouvons juste connaître le phénomène. Donc, l’objet de la connaissance n’est pas le noumène, mais plutôt le phénomène qui construit le sujet à partir des sensations qui nous donne l’expérience en les ordonnant selon ses formes et ses catégories à priori. Ainsi, on connaît les phénomènes par

notre perception des objets n’est pas la réalité. Il nomme « noumène » la chose en soi telle qu’elle est vraiment. Ce que nous voyons, les « phénomène » sont soumis à la causalité donc au déterminisme, tandis que les noumènes ne le sont pas. Nous ne pouvons pas connaitre les noumènes tels qu’ils sont, nous les percevons à travers une  grille appelée table des catégories. La liberté n’étant pas un phénomène, elle ferait partie des noumènes et ne serait pas soumise à la causalité. La liberté existe donc :

appartient au phénomène Et crée donc la morale à partir de ce détachement et de cette limite fixée à l’entendement. Notre système judiciair est d’ailleur basé sur une morale kantienne. Il fonde donc l’éthique, valeur qui dirige l’action. noumène liberté pensable et non connue phénomène déterminisme (cathégories de l’entendement) Kant fait une distinction entre le moi phénoménalt qui obéit au déterminisme et le moi nouménal qui échappe à toutes connaissances. La liberté, qui

=> actes : libre arbitre, responsabilité, perfectibilité. Réalité --------- [Grille d’interprétation du réel] --------- Sujet. Expérience = contact direct avec la réalité. Problème : la conscience est-elle source d’illusions ? Kant : Noumène : chose en soi Phénomène : chose telle qu’elle m’apparait. Enjeu du problème : la vérité. Avoir conscience de soi, c’est savoir que j’existe. Appareil sensitif = perception, sensibilité Appareil cognitif = pensée (raison, mémoire, imagination

connaitre et tombe dans un paradoxe : La 3eme antinomie. Le philosophe affirme donc dans cette dernière que la liberté peut à la fois exister et ne pas exister. L’homme est donc double : en tant que phénomène, il n’est pas libre alors qu’en tant que noumène, il est libre. Puisque selon la 3eme antinomie de Kant, la liberté existe, nous pouvons donc à nouveau nous demander si on peut y renoncer ? ON PEUT RENONCER A NOTRE LIBERTÉ. En effet, il est possible de soutenir que l’homme peut renoncer à

général, en phénomènes et noumènes » de Kant.Introduction Dans ce texte, Kant aborde le thème de la connaissance des objets qui nous sont connaissables via les deux sources de la connaissance : les sens (connaissance empirique a posteriori ) et l’entendement (connaissance a priori via ses catégories). Kant s’interroge quant au fait de savoir si les catégories de l’entendement peuvent s’appliquer aux noumènes. Autrement dit, pouvons-nous

8 1/ Le concept 2/ L’intuition 3/ Concept et intuition 4/ Intuition pure : espace et temps 5/ Concept pur de l’entendement 6/ Autres types d’intuition III/ Chose en soi, phénomène, noumène et objet transcendantal……………………………………….....p.16 1/ Le phénomène 2/ La chose en soi 3/ Le noumène 4/ L’objet transcendantal 4 I/ L’aperception transcendantale 1/ L’aperception en général « La conscience de soi-même (l’aperception) est la simple représentation du Moi » (Critique de