Noumène

la Critique de la Raison pratique découvre la liberté. L’absolu, absent de l’univers du connaître où tout est conditionné, se révèle à la conscience par la loi pure pratique. Alors que pour la connaissance, le noumène est un principe limitatif, en revanche du pt de vue pratique le noumène a sa positivité. « La chose en soi n’est ni chose ni en soi, mais elle sujet et pour soi. » (Weil, Problèmes kantiens).

formule célèbre la résume : Esse est percipi aut percipere ("Être, c'est être perçu ou percevoir.") (Traité sur les principes de la connaissance humaine, 1710). Kant, idéalisme transcendantal : limitation de la raison, distinction entre phénomène et noumène, c'est-à-dire entre l'expérience que nous pouvons atteindre, et la chose en soi qui nous est inconnue. Là encore, il n'y a pas d'idéalisme au sens strict, la position de Kant étant plus nuancée (Kant s'opposant par ailleurs à l'idéalisme pur) : la

évolution des sciences par Comte. La philosophie classique établit une distinction entre le phénomène (la réalité sensible, celle que l'on voit, que l'on touche, qui est à notre portée) et ce qu'on appelle le « noumène » (c'est la chose intelligible, c'est « l'idée »). Autrement dit, le noumène c'est la réalité absolue c'est-à-dire c'est ce qui subsiste en dehors de sa représentation. Pour Platon en particulier, ce qui ne relève pas du monde des idées est source d'illusions, d'apparences. On peut

la cosmologie, -La religion, le fait religieux : puissance du sacré, mythe, Dieu * L'âme, la psyché * La cause première, le dao * La conscience * Dieu * L'essence * L'Être, l'étant * L'existence * Le noumène, par opposition au phénomène * Le phénomène * La transcendance * Le monde * La substance (ousia chez Aristote) * Le sujet (le cogito) et l'objet * Le symbole * Les universaux par opposition aux particuliers dans

subjectivisme et la phénologie sont 3 courants philosophiques qui se distinguent quand à la perception. Le dualisme oppose PERMANIDE (l’être est invariable) et HERACLITE (le monde est en perpétuel changement). Emmanuel KANT a observé le phénomène des noumènes. HERACLITE a démontré la préférence humaine pour l’obscurantisme. Un raisonnement qui s’appuie sur l’expérience passée est dit heuristique. Daniel KAHNEMAN, prix Nobel a étudié les biais cognitifs. BOWLBY, AINSWOTH et SPITZ ont étudié l’attachement

pure est illusoire. Les principes de l'entendement pur ne sont pas applicables aux noumènes, mais seulement aux phénomènes ; c'est la dialectique transcendante. La raison doit reconnaître ses propres limites ; limiter la raison, c'est réaliser son objectivité. - La connaissance se ramène à deux éléments : le monde sensible, ou phénomènes liés à l'espace et au temps et le monde intelligible, ou chose en soi, noumènes, pur objet de pensée. L'intuition et le concept sont les sources de la connaissance

formule célèbre la résume : Esse est percipi aut percipere (« Être, c'est être perçu ou percevoir. ») (Traité sur les principes de la connaissance humaine, 1710). Kant, idéalisme transcendantal : limitation de la raison, distinction entre phénomène et noumène, c'est-à-dire entre l'expérience que nous pouvons atteindre, et la chose en soi qui nous est inconnue. Là encore, il n'y a pas d'idéalisme au sens strict, la position de Kant étant plus nuancée (Kant s'opposant par ailleurs à l'idéalisme pur) : la

ordonnant l'expérience (comme le principe de causalité). Il faut donc s'interroger sur le statut de la métaphysique : l'homme ne peut connaître que les phénomènes (les objets tels que nous les percevons) mais ne connaît ni les choses en soi, ni les noumènes (idées métaphysiques tels que Dieu, l'âme, le monde). Toutefois, les idées morales et métaphysiques (comme la liberté), qui ne sont pas des connaissances, doivent être admises car elles sont les postulats nécessaires de la raison pratique. Que dois-je

renvoie étymologiquement au grec krinein, qui signifiait juger une affaire (au sens juridique). La raison organisera donc un procès de ses propres prétentions, « dogmatiques », à connaître des objets situés par delà l’expérience, appelés par Kant noumènes (par contraste avec les phénomènes). Bien que restrictive, cette tâche permet aussi, en limitant le savoir et en départageant clairement le champ du savoir et celui de la croyance (spéculation), de mettre en sûreté tous les acquis du savoir contre

l'«Analytique» de la Critique de la raison pure établit que l'espace et le temps, formes a priori de la sensibilité, sont des conditions de l'existence des choses, mais seulement comme phénomènes (ou apparences), sans que nous puissions connaître les noumènes («choses en soi»), dont nous n'avons nulle intuition sensible et dont ces phénomènes ne sont que les manifestations. En définitive, il n'y a pas d'autre connaissance vraie, c'est-à-dire de science, que celle des objets de l'expérience. Cependant