Noumène

« je » pense Kantien est opposé au sujet empirique et c’est lui qui rend possible toutes les représentations. C’est grâce à lui que la connaissance est possible mais paradoxalement on ne peut pas en avoir conscience. Le monde des phénomènes et le noumène: la conscience que j’ai de moi-même n’est pas une connaissance de soi. Le véritable moi ce n’est peut être pas celui que l’on considère: l’individu que je suis, mais peut être le moi substance donc le sujet véritable qui n’apparait pas de l’expérience:

définissons aujourd’hui, est différente ce qui engendre inévitablement une perception du sens de vérité différente pour chacun d’entre nous. Le sens de vérité, ou l’idéal est perçu différemment pour chacun des humains. Kant estime que les choses en soi (noumènes) sont inconnaissables. Nous ne pouvons connaitre que les phénomènes : les choses telles qu’elles nous apparaissent, c’est-à-dire telles qu’un esprit humain est condamné à se les représenter. Kant estime donc qu’il faut distinguer le monde tel que

Intro : Le texte proposé est l’introduction de la première section de la doctrine de l’être du philosophe Hegel, elle même premier tome de son oeuvre La s cience de la logique , publiée en 1812. Le thème du texte est la triade suivante: être, néant et devenir. Quel est le contexte du début du XIXème siècle? La philosophie vient de subir la révolution Kantienne qui a réduit, limité voire

cohérents, une analyse théorique permet de les comprendre. Ainsi, la mise au point d’une équation de réaction chimique permet de comprendre d’où sort les produits que nous obtenons en fin de cette réaction. Gaston Bachelard résume d’ailleurs cela dans Noumène et microphysique en ces termes : « L’exigence empiriste […] a perdu sa primauté, en ce sens que la force de la découverte est presque entièrement passée à la théorie mathématique ». On voit bien que l’expérience seule n’est pas (ou du moins, n’est

seule une voix individuelle peut le faire, peut-être parce qu’alors l’empathie se concrétise. Telle agrégée de grammaire en retraite s’est mise à pleurer en lisant dans Levi que les détenus n’avaient pas de cuillère. A l’inverse du noumène qui selon Kant est pensable, mais non connaissable, l’objet du témoignage de l’extermination est connaissable, mais non pensable – ni d’ailleurs représentable. La raison en est réduite à cerner ce qui lui échappe : cela ne la destitue

lui-même. Réminiscence : L’âme doit se rappeler durant sa vie matérielle ce qu’elle a appris au monde des Idées. Phénomènes : Ce qui nous apparaît grâce aux sens Sensibilité : Ce qui nous fait percevoir les phénomènes. Elle est conditionnée. Noumène : Monde absolu, réalité qui nous est inaccessible. Entendement : Comment on perçoit les sens dans notre tête. Catégories : Limites de notre entendement, de notre esprit (ex : causalité, infini, temps...) Morale : Concept absolu qui représente

« le retour aux choses mêmes, qui devra s’entendre comme un retour à un « en deçà » de la scission traditionnelle du sujet et de l’objet, celle initiée par Platon ( « Topos » sensible et « topos » intelligible) jusqu’à E. Kant ( opposition du noumène : objet X, en soi et du phénomène : objet tel qu’il m’apparaît) Le premier à utiliser le terme, le mathématicien et philosophe de langue allemande, Johann Heinrich Lambert, auteur du Nouvel Organon (1764), le conçoit comme l'une des parties

vaut mieux y croire pour mener une vie moralement bonne. Kant donne des limites à la raison humaine : tout ne peut être connu, et il fait une diff. entre les phénomènes & les choses en soi, le noumène. Les phénomènes peuvent faire l’objet d’expériences, peuvent être observé, contrairement les noumènes sont des réalités en elles-mêmes nous ne pouvons en avoir de connaissance. Les choses en soi ne peuvent être donné par notre entendement ou nos expériences. Ainsi, la raison humaine se limite aux

«représentation»; ainsi, le monde est «ma représentation». Mais il y a plus: la pensée elle-même n'est qu'un phénomène. Toute la philosophie de Kant consiste dans la distinction du phénomène et du noumène. Le phénomène est ce qui nous apparaît, c.à.d. la représentation que nous nous faisons des choses. Le noumène est la chose en soi, inaccessible à notre connaissance, qui n'atteint jamais que le phénomène. Or, Schopenhauer déclare que la grande découverte de sa vie est celle de la chose en soi. Kant ne

pour but d’en finir avec l’idéalisme dogmatique et ses contradictions, mais aussi avec le scepticisme consécutif à l’empirisme.  Cette théorie de la connaissance ou « critique de la raison pur » a conduit Kant à distinguer les phénomènes des noumènes (chose en soit, au delà de toute expérience) et a limiter les champs de connaissance aux seuls premiers.  Pour Kant, Dieu est un idéal régulateur.  Contrairement à Descartes, qui pensait que science et morale était lié et que l’ombre de la