Nous Ne Nous Tenons Jamais Au Temps Pascal Les Pensées

effectivement ces ouvrages et que vous vous efforciez de les comprendre en y consacrant le temps nécessaire. Il s’agit d’abord – et c’est là l’objectif principal de cette étude – de vous mettre très concrètement, c’est-à-dire autrement que par l’intermédiaire d’un simple résumé de doctrine, toujours très approximatif, en contact direct avec une œuvre écrite par un grand philosophe et le cheminement original de sa pensée. La philosophie en effet, telle qu’elle fut inventée dans l’Antiquité grecque et telle

d’un lien mortel. Holderlin, La Mort d’Empédocle Introduction : L’absurde et le meurtre Il y a des crimes de passion et des crimes de logique. Le Code pénal les distingue, assez commodément, par la préméditation. Nous sommes au temps de la préméditation et du crime parfait. Nos criminels ne sont plus ces enfants désarmés qui invoquaient l’excuse de l’amour. Ils sont adultes, au contraire, et leur alibi est irréfutable : c’est la philosophie qui peut servir à tout, même à changer

effectivement ces ouvrages et que vous vous efforciez de les comprendre en y consacrant le temps nécessaire. Il s’agit d’abord – et c’est là l’objectif principal de cette étude – de vous mettre très concrètement, c’est-à-dire autrement que par l’intermédiaire d’un simple résumé de doctrine, toujours très approximatif, en contact direct avec une œuvre écrite par un grand philosophe et le cheminement original de sa pensée. La philosophie en effet, telle qu’elle fut inventée dans l’Antiquité grecque et telle

de chemin, Le chemin se construit en marchant. En marchant se construit le chemin, Et en regardant en arrière On voit la sente que jamais On ne foulera à nouveau. Marcheur, il n'y a pas de chemin, Seulement des sillages sur la mer. Antonio Machado Traduction de José Parets-LLorca. On dit d’un fleuve emportant tout qu’il est violent, mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l’enserrent. Bertold Brecht Ô Dieu ! Je pourrais être enfermé dans la coque d'une noisette et me tenir

FAUX-MONNAYEURS 9 l'avocat son fils ne seront pas de retour avant six heures. J'ai le temps. Il faut que Monsieur le juge, en rentrant, trouve sur son bureau la belle lettre où je m'en vais l u i signifier mon départ. Mais avant de l'écrire, je sens un immense besoin d'aérer un peu mes pensées — et d'aller retrouver mon cher Olivier, pour m'assurer, provisoirement du moins, d'un perchoir. Olivier, mon ami, le temps eét venu pour moi de mettre ta complaisance à l'épreuve et pour t o i de me montrer

chercheuse associée à l’équipe de Psychodynamique du Travail et de l’Action, Centre de Recherche Travail et Développement, CNAM Paris Philippe Génuit Psychologue clinicien, SMPR de Rennes Pascal Le Bas Psychologue clinicien, Centre Hospitalier Charcot, Caudan ; Unité de Santé Mentale Pénitentiaire, Ploemeur Pascal Pignol Psychologue à l’hôpital Guillaume Régnier à Rennes, membre de l’Institut de Criminologie et Sciences Humaines (ICSH) à l’Université Rennes 2-Haute Bretagne Stéphanie Vernay Psychologue

chercheuse associée à l’équipe de Psychodynamique du Travail et de l’Action, Centre de Recherche Travail et Développement, CNAM Paris Philippe Génuit Psychologue clinicien, SMPR de Rennes Pascal Le Bas Psychologue clinicien, Centre Hospitalier Charcot, Caudan ; Unité de Santé Mentale Pénitentiaire, Ploemeur Pascal Pignol Psychologue à l’hôpital Guillaume Régnier à Rennes, membre de l’Institut de Criminologie et Sciences Humaines (ICSH) à l’Université Rennes 2-Haute Bretagne Stéphanie Vernay Psychologue

touches que prennent naissance, sous forme d'esquisses, la plupart des oeuvres symphoniques. Mais il est aussi lui-même le truchement le plus habituel de la pensée musicale, la musique de clavier dépassant en quantité (pas toujours, hélas! En qualité) tout le reste de la littérature musicale. Il suffit à exprimer le génie multiple de Chopin, qui ne pense que pour lui et par lui. Le piano mobilise la plus grande partie de la pratique musicale privée. Par sa sensibilité expressive, qui lui permet de rendre

25 Références bibliographiques 33 Remerciements Nous tenons à remercier avant tout le commanditaire de cette étude, Mme Colette LESPINASSE, la coordonnatrice du GARR. Elle nous a donné son soutien jusqu'à la fin du travail. Nos sincères remerciements vont également à Mmes Lisane ANDRE et Martine DORVILAS, respectivement Responsable de communication et Chargée de plaidoyer au GARR. Le travail n’aurait jamais pu aboutir sans leur précieux concours. Nous remercions aussi

4 5 7 8 13 17 25 45 49 59 63 79 82 88 103 Préface de la nouvelle édition La science de la liberté I. L’action humaine consciente II. Le besoin organique de la connaissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . III. La pensée instrument de la conception du monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . IV. Le monde comme perception . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VI. L’individualité humaine . . . . . . . . . . . . . . . . . .