Nouveaux philosophes

optimiste dans l’œuvre de Voltaire, Candide. Nous allons commencer par nous intéresser à Leibniz, philosophe de l’optimisme et du « meilleur des mondes » par excellence, puis nous évoquerons le changement de Voltaire, perdant une grande partie de sa pensée optimiste et de sa position sur le sujet de la providence et enfin nous parlerons du personnage imaginé de Pangloss. Tout d’abord, Leibniz, est un philosophe des Lumières allemand, surtout connu en France de manière négative, grâce à Voltaire, comme

Platon était un grand philosophe, élève de Socrate, qui a posé l'analogie de la caverne, communément appelé le chemin vers la connaissance. Ce chemin sert en fait à former les nouveaux philosophes, donc, des gens étant aussi ignorants que savants. C'est-à-dire, que les individus devaient en autre, ignorer, mais savoir qu'ils ignoraient. Bref, la question qu'on doit se poser c'est si le chemin vers la connaissance s'accompagne nécessairement de la souffrance. Bien que cela ne semble invraisemblable

Signature des musées du Vatican. Cette fresque se veut etre la représentation de l'esprit humaniste, c'est à dire de l'étude des textes de l'Antiquité et de la compréhension du monde, ainsi que que celui des artistes de la Rennaissance, c'est à dire de nouveaux thèmes, principalement l'Homme, et de nouvelles manières de représentations. Nous nous poserons donc cette question : En quoi cette fresque, L'école d'Athènes, résume t-elle l'esprit des humanistes et des artistes de la Renaissance ? Nous verons

le désirent prendre la parole, dire ce qu’ils pensent des affaires publiques et proposer des lois au cours de l’assemblée. Cependant s’adresser à l’assemblé pour obtenir son approbation, réussir à la convaincre et à la persuader, exige dès lors de nouveaux moyens qu’on trouve dans un art du langage : la rhétorique. De ce fait apparaissent les « sophistes ». Diapo n°3 : Les sophistes sont des maîtres de rhétorique et de philosophie qui s’adressaient aux jeunes issus de la haute société Athénienne.

par des faits observables ou des expériences. Les philosophes rationalistes comme Descartes qui adopte la méthode ou l a pensée cartésienne, remettent donc toutes nos connaissances en question et cherchent à les démontrer par des expériences, des recherches scientifiques, etc. Si simples soient-elles, toutes sont à démontrer afin d’obtenir un fondement, une base indiscutable sur laquelle on peut se baser pour continuer à théoriser sur de nouveaux concepts. L’examen est aussi une des caractéristiques

Européen. En effet, c’est à cette époque que plusieurs philosophes ont remis en questions le raisonnement chez les individus, qui a provoqué une révolution des savoirs transmis. Emmanuel Kant est de ceux qui ont poussés les gens à écouter d’avantage leur raison dans cette période de l’histoire qui a suscité plusieurs questionnements chez les gens. C’est dans son œuvre « Réponse à la question : Qu’est-ce que les lumières » publié en 1784, que le philosophe tente d’informer la population aux bénéfices des

réaction contre l'individualisme. Les théories morales les plus répandues, par exemple celle d'Auguste Comte en France, celle de John Stuart Mill en Angleterre, celle de Schopenhauer en Allemagne, avaient ce caractère commun de pêcher l'altruisme. Les philosophes tenaient-ils à garder la morale chrétienne au moment où ils renonçaient à la foi, ou se croyaient-ils obligés, comme l'a soutenu Nietzsche, de se montrer plus désintéressés que les chrétiens eux-mêmes ? Toujours est-il qu'ils condamnaient l'égoïsme

Candide ou l'optimisme Résumé Candide, fils de la soeur du baron Thunder-ten-tronck, est un jeune homme naïf qui vit dans " le plus beau des châteaux ". Il aime Cunégonde et écoute avidement les théories de Pangloss le philosophe. C'est aussi l'ami du frère de Cunégonde. Un jour, il embrasse Cunégonde et là, tout s'écroule et il est mis à la porte du château. Candide veut revoir Cunégonde car il l'aime. Une fois jeté à la porte, Candide se fait engager de force dans l'armée bulgare. Après quelques

Premièrement, nous pouvons constater des similitudes entre les positions des modernes dont les philosophes de cette vision sont René Descartes, Charles Taylor et Luc Ferry et la postmodernité de Friedrich Nietzsche. Il y a le thème de l’esprit critique. Tout d’abord, René Descartes s’est aperçu qu’il avait des opinions qui étaient fausses, mais qu’il pensait véritables. Il a décidé de supprimer tous ces fausses opinions. Il croit que rien n’est certain. Par contre, le fait d’avoir pensé que tout

[pic]INTRODUCTION : XVIIème, XVIIIème = Siècles de contestation de l'autorité, particulièrement celle des philosophes et des savants " officiels ". Les nouveaux penseurs vont souvent se livrer à une critique (par le ridicule) de ceux-ci (on le voit par exemple chez Voltaire dans l'article " beau "). L'idée de base est : faut-il réintroduire le bon sens ? Fontenelle analyse dans " l'histoire les oracles " le problème de la réflexion scientifique qui pourrait se formuler sous forme : "Comment puis-je