Nouvelle fiction

Colloque d’esthétique ESA – 27-29 mai 2010. Le personnage de fiction est-il absolument et entièrement fictionnel ? Où tracer la frontière entre personnages et personnes ? En philosophie analytique contemporaine, la question de la fiction semble se focaliser plus précisément sur celle des êtres fictionnels. Se pose le problème ontologique de savoir s’ils existent, et si oui, de quelle manière : sont-ils des possibilia (Kripke), des objets abstraits (P. van Inwagen), des entités artéfactuelles

petits et grands à coup de bons sentiments mais aussi d’humour dont manquent sans doute à nos sociétés. Le genre romanesque a du succès auprès des lecteur par son aspect magique. Il correspond à une visite dans des vies inconnues, des situations nouvelles et palpitantes tellement opposées aux ternes existences des lecteurs. Mais d’autres auteurs ne se satisfont pas de distraire leur lecteur, ils donnent alors à la littérature bien d’autres fonction. A partir du XIXème siècle, les romans subissent

et sa généalogie incertaines, à une identité floue : Aristote [- 384-322 avant notre ère] distingue l'épique, le lyrique et le dramatique (fiction narrative ou épopée opposée à la poésie et au théâtre (diégésis vs mimésis : mode de représentation indirect pour le roman, opposé à l'imitation directe au théâtre) - Les premiers romans (XII° siècle) sont des fictions amoureuses écrites en prose pour le divertissement du lecteur mais aussi pour son instruction - Le roman peut tout s'approprier, tout annexer

Toulouse, il est notamment connu pour son célèbre œuvre « Les Fourmis ». Dés son enfance, Bernard Werber cultivait en lui l’art de l’écriture, il fut influencé par les œuvres de Edgar Poe et de Jules Verne. A l’âge de sept ans, il écrivait sa première nouvelle « les aventures d’une puce », par la suite il écrivit « Le château magique » ou encore « Les enquêtes de Taupin » ainsi que « La chasse en brousse vue par le lion ». A dix ans, il rédigeait déjà des histoires pour un fanzine, une sorte de journal

Fahrenheit 451. Bien qu'il sois souvent associé au genre de la science fiction, Bradbury n'a jamais voulu s'enfermer dans un style défini, c'est pourquoi il n'aimait pas qu'on le confine dans ce genre. Il déclare lui même que la science-fiction est une description du réel et que le fantastique est une description de l'irréel et que par conséquent, Fahrenheit 451 ( le seul selon lui ) est un roman de science-fiction, et Chroniques Martienne est un roman fantastique. La trentaine

fonctions de critique cinématographique. Durant la seconde guerre mondiale, il occupe la fonction de caporal-Cuistot. A la fin de la guerre, il créé le journal « L’écho des étudiant » à Montpelier. Journaliste plus connu pour ses romans de science-fiction, d’anticipation et de fantastique, il était passionné par la photographie en couleur. Entre 1950 et 1965, il met l’écriture entre parenthèse pour se consacrer au cinéma où il sera scénariste et réalisateur. Il meurt suite à une crise cardiaque le

 Mermaids : The Body found Mermaids : The body found est un docufiction réalisé par Sid Bennett en 2012 et diffusé en le 27 Mai 2012 sur la Animal Planet . Ce documentaire de fiction raconte l’histoire d’un groupe de scientifiques dont le qui Dr Brian McCormick, qui découvrent en 2004 un enregistrement de mystérieux sons sous-marin. Il s lancent donc une enquête scientifique afin de découvrir la créature responsable ce son. A la recherche de preuves concluantes

Richard Matheson est un écrivain et scénariste américain, né le 20 février 1926 à Allendale, New Jersey, États-Unis. Ses genres de prédilection sont la science-fiction et l’épouvante. Biographie [modifier] Après des études de journalisme, il se lance dans l’écriture et obtient le succès dès la publication de sa première nouvelle, Le Journal d'un monstre en 1950, qui décrit la haine d’un enfant monstrueux envers ses parents. Ses deux premiers romans, Je suis une légende (variation intéressante

Philippe Breton explique la nouvelle envergure de la communication. Il puise dans la cybernétique et la littérature. Afin de poursuivre son travail de réflexion, cet article se penche sur les œuvres prophétiques d’artistes comme T. Pynchon, I. Asimov et W. Allen. L’objectif  : mettre en avant le rapport critique que ces auteurs entretiennent à l’utopie de la communication en s’interrogeant sur le sens paradoxal de leur dénonciation. 1. La naissance d’une nouvelle utopie dans un contexte historique

classé parmi les chefs-d'œuvre de la science-fiction dans les ouvrages de références suivants : Annick Beguin, Les 100 principaux titres de la science-fiction, Cosmos 2000, 1981 ; Jacques Goimard et Claude Aziza, Encyclopédie de poche de la science-fiction. Guide de lecture, Presses Pocket, coll. « Science-fiction », no 5237, 1986 ; Denis Guiot, La Science-fiction, Massin, coll. « Le monde de… », 1987 ; Lorris Murail, Les Maîtres de la science-fiction, Bordas, coll. « Compacts », 1993 ; Stan