Nouvelle Vague

subjective, notamment au niveau de la culture artistique qui est propre à chacun, dépendamment de notre éducation et de notre intérêt. Par exemple le film «Une femme est une femme» de Jean-Luc Godard fait référence à de nombreux autres films de la Nouvelle Vague, tels que «Tirez sur le Pianiste» ou «Jules et Jim» de François Truffaut, et seul un connaisseur de ce mouvement cinématographique comprendra ces clins d’œil et appréciera le film encore davantage. L’expérience acquise par le consommateur favorise

documentaires d'un genre particulier 1930 FRONTIER FILM commence à produire des documentaires d'avant garde aux USA dont On the bowery de Lionel ROGOSIN ou Come back Africa de JOHANESON Début des années 60 nait le Nex American Cinéma inspiré par la nouvelle vague Française : Les genre sont confondus, on mélange fiction Cinéma expérimental et documentaire (SHIRLEY CLARKE) On voit aussi apparaître le Free Cinema et le Candid Eye movement avec des films comme les raquetteurs de Gilles GROULX et Michel BRAULT

1. Maurice Pialat et le cinema Le cinema de Maurice Pialat porte comme trait caracteristique la recherche de l’instant, du moment. 1.1. Un cineaste entre la Nouvelle Vague et la tradition 1.2. Le cinema de Maurice Pialat, de l’Enfance Nue a Van Gogh En 1968 Maurice Pialat realise son premier long-metrage : “ L’enfance nue “ . Pialat a voulu tourner un documentaire sur les enfants de l’Assistance publique , mais finalement ce projet est devenu une oeuvre de fiction dont le personnage principal

réalisateur français Eric Rohmer se tourne vers le cinéma, tout d’abord en temps que critique où il fonde la gazette du cinéma puis en temps que cinéaste. Fervent admirateur de Jean Renoir et de Fritz Land, Rohmer se fait vite connaître par la nouvelle vague, et refuse comme ces derniers un cinéma naturaliste et commercial. Après avoir réalisé quelque cours métrage et quelques série, ce n’est qu’en 59 qu’il rentre dans le vrai cinéma avec des longs métrages comme le Signe du Lion, ou les fines du

15 septembre 1894, mort à Beverly Hills (Californie, États-Unis) le 12 février 1979. Deuxième fils1 du peintre Auguste Renoir, ses films ont profondément marqué les mutations du cinéma français entre 1930 et 1950, avant d'ouvrir la porte à la Nouvelle Vague du cinéma français. Jean Renoir naît en 1894 dans le quartier de Montmartre, « la maison était le pavillon 6 du 13 de la rue Girardon »2, en face du « Château des brouillards3 ». Sa mère est Aline Charigot, ancien modèle de son père, qu'Auguste

François, le film est fortement connoté par une sorte d’humanisme chrétien, et même christique, qui conduira parfois Claude Chabrol à renier son premier long métrage. Le beau Serge n’en est pas moins un très beau film, fidèle à l’esthétique de la Nouvelle Vague : tourné en extérieurs avec une équipe légère, la mise en scène tire parti des décors naturels et n’hésite pas à faire appel à des non-acteurs. Dans ce film concerté, tout se réfère à une symbolique (le papier de la chambre à coucher, le cimetière

politiques, de ses crises économiques, de ses contestations sociales, tout en étant le digne représentant de l’une des plus brillantes avant-gardes européennes. Ce courant aura une influence importante sur le cinéma néo-réalisme italien et sur la nouvelle vague.

(5 décembre 1890 - 2 août 1976) est un réalisateur allemand d'origine autrichienne, naturalisé américain en 1935, et réalisateur de films célèbres comme Métropolis, M le maudit, ou la série des Docteur Mabuse. Cinéaste adulé par les critiques de la Nouvelle Vague, en particulier Claude Chabrol et Jean-Luc Godard qui l'a sollicité pour jouer son propre rôle dans Le Mépris, il est l'auteur d'une œuvre traversée de nombreux thèmes tels que la vengeance, la mort, le surhomme, la soif de pouvoir et surtout

la satisfaction que j’ai pu en tirer n’en est que plus grande. Merci. 2 SOMMAIRE - INTRODUCTION………………………………………………………………………………………………………………………………………………………4 - PREMIERE PARTIE : LA VARIETE DE L’OFFRE CINEMATOGRAPHIQUE FRANCAISE A) La « Nouvelle Nouvelle Vague » fait changer les habitudes de consommation des français……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………9 B) Un cinéma français bipolaire : entre grosses productions et œuvres indépendantes………………………………………………………………………………………………………………………………………………13

théâtre et l'essence du cinéma. JL Godard « Ses yeux rieurs embués du mépris qu'elle a pour elle […] elle choisit l'enfer au Ciel […] c'est le plan le plus triste de l'histoire du cinéma » Érotisme insouciant. Elle poursuit ses rêves insensés : Nouvelle Vague s'inspirera de ça. Le spectateur existe plus fort, ce n'est pas une personne passive qui regarde des images « Cahiers du cinéma » Jacques Aumont : regard douloureux de Monika qui transforme le visage en autre chose : un masque (une « Persona »)