Nouvelle école Keynésienne

production par rapport aux besoins réels et un défaut d'investissement, ce qui induit logiquement une baisse de la production et des salaires. La déflation est donc souvent associée à une baisse du pouvoir d'achat et à l'augmentation du chômage keynésien (demande insuffisante sur le marché de l'emploi). Les possibilités de relance proposées par Keynes s'appuient sur la stimulation de la demande (en vue d'effets d'entraînements notoires sur l'ensemble de l'économie) financée par l'État, qui peut provisoirement

gendarme. L’Etat doit avoir une incidence nulle sur l’activité économique: il en résulte que son budget doit être équilibré (neutralité de la politique budgétaire); les dépenses doivent être égales aux recettes. • L’approche keynésienne : Pour les keynésiens, l’économie capitaliste ne peut pas toujours réguler les déséquilibres économiques qui peuvent apparaître. L’Etat doit donc intervenir notamment parce qu’il a une action sur la demande globale au travers du solde de son budget. En

l’EPPP et de l’AD. PréambuleBouleversements géostratégiques et nouvelle donne économique mondiale : - Poids de la Chine et des émergents (BRICS, MIST, CIVETS…), situation des autres grandes zones économiques, réveil de l’Afrique. - Poids des questions énergétiques, alimentaires et environnementales. Bouleversement des repères et des cadres traditionnels de l’analyse économique : - Année 1989 : « la fin d’un monde ». - Nouvelles(s) approche(s) du libéralisme et de l’économie de marché. Bouleversement

le résistants de tout bord politique qui ont résistés au nazisme (gaullisme, communisme, centrisme : mouvement républicain populaire, la SFIO : gauche modéré). Le GPRF a une vision keynésienne de l’Etat, défini pendant la 2ème GM par le CNR (conseil général de la résistance) par J.Moulin. Politique keynésienne : défini à la fin du 15ème siècle par Keynes, un économiste. La politique défend l’idée d’une intervention de l’Etat dans l’économie et dans la société pour corriger les inégalités, en

étatique des soviétiques et de leurs alliés. Pourtant, au début des années 1980, on assiste à la fois à un retour en force de la logique du marché dans le fonctionnement des économies et à un renouveau de la pensée libérale illustrée par la faveur nouvelle dont bénéficie la tradition autrichienne. L’ampleur et la portée de ces débats et des évolutions économiques auxquels ils sont articulés, nécessitent d’y voir plus clair sur le vocabulaire utilisé et sur la diversité des modes de régulation économique

Portugal, Italie, Irlande, Grèce, Spain ) Solidarité entres membres de la zone € ? rôle du FESF Quid de la BCE -Régulation de la finance mondiale Objectif du G20 ( cf réunion Cannes ) Vers un nouveau SMI (Système Monétaire International) Certes nouvelles règles de régulation … mais “ banques de l'ombres“ -BCE : décision surprise le 3 nov nouveau président : Mario Draghi Baisse du nouveau taux directeur de 1,50 à 1,25 -Qu'elles décisions de politiques économiques ? -Echelon Européen Création du FESF

observe un relatif recul de l’Etat dans les années 80 qui résulte du développement d’un courant libéral (diffusion des idées importantes keynésiennes qui orientent la politique), remise en cause des politiques conjoncturelles (Friedman qui impose sa politique monétaire). Les années 90 traduisent un renouveau théorique. Les auteurs se regroupent dans une nouvelle macroéconomie classique. Certaines dépenses de l’Etat ont une influence positive sur la croissance, justifient l’intervention de l’Etat

pas remettre en question sur leur responsabilité. Il y a une pensée « néolibérale » (le contraire : protextionnisme) : l’économie s’auto régule (laisser faire le marché). Mais on oublie qu’il existe de nombreux autre courant de pensée : économie keynésienne, hétérodoxe. (cf. : Bernard Perré) Les pratiques économique sont aussi critiquer (groupe économiste atterrer : consterné, accablé). L’économie politique doit apporter quelque chose au pays (Sen qui a publié : éthique et économie/ l’économie est

produit et masquerait donc une économie de troc.Cette thèse fonde la théorie de l'offre, point commun essentielle aux théorie classique et elle justifie le rejet des politiques keynesienne de la demande. Quatrième idée MALTHUS se distingue par son refus de la loi des débouchés il est le lointain ancêtre d'une idée keynesienne à savoir que les crises de surproduction sont possible et que l'excès d'épargne peut limiter les débouchés. Keynes à dit que l'epargne est une fuite du système économique. Pour

équilibre commercial), il est très difficile de tous les atteindre en même temps et de rassembler, comme dans le carré magique de Nicholas Kaldor (document 4) le parfait équilibre dans les quatre domaines. Les politiques de relance, dites keynésiennes, visent donc à rétablir l’expansion et l’emploi en accroissant la demande, au moyen, principalement, de la politique budgétaire (lorsqu’on touche au budget de l’Etat central). Elle est donc interventionniste, et propose que l’Etat finance,