Nouvelle école Keynésienne

L’accumulation des facteurs de production (capital, travail et/ou les deux) à la base de l’explication de la croissance de long terme. 1 19/09/2014 Implication:  Court terme: Conjoncture. Seuls des facteurs de demande jouent. Ecole Keynésienne.  Long Terme: Accumuler des facteurs pour accumuler des quantités produites. Mécanismes d’offre. Facteurs structurels. Long terme= tendance (trait rouge). C'est l'accumulation des facteurs et la manière de les combiner qui

pressions vers le 10ème, 11ème car les échanges s’accélèrent, le commerce se développe et l’Eglise va reconnaître une certaine place à la propriété priée et à l’échange commerçant pour ne pas perdre la main. Mais la position de St Thomas d’Aquin est nouvelle est reste sur une position globale : les marchands qui peuvent s’enrichir doivent avoir des comportements de générosité. à partir du 13ème 14ème siècle : aider son prochain, aider les pauvres = philanthropie. Pour Thomas d’Aquin cette générosité

de contrats (Coase). - capitalisme : Pour Fernand Braudel, La dynamique du capitalisme,1985, il s’enracine dans le commerce au loin, qui rompt avec les réglementations du marché local et permet de dégager des profits importants. - Luc Boltanski, Le nouvel esprit du capitalisme, 1999, distingue trois esprits du capitalisme: - Au XIXème, capitalisme concurrentiel se fonde sur l’esprit d’entreprise, l’entrepreneur innovateur, petites unités de production. - Au milieu du XXème siècle, le capitalisme managérial

envoyé en Europe). Elle arrive à être 5x plus élevée que les réserves d’or détenues par les USA qui doit être de 10 milliards de $ et non de 50 milliards (1971). Le FMI, face à cette multiplication des $ qui circule, essaie de mettre en place une nouvelle forme de paiement international (les DTS : Droits de Tirage Spéciaux) mais insuffisant pour endiguer une ‘marée d’eurodollars’. En plus de cela, en 1971, les USA connaissent un déficit commercial. Nixon supprime alors le 15 août la convertibilité

distinction est influencée par les travaux de Keynes. Avant que le terme de macro apparaisse, l'économie s'intéressait déjà aux effets globaux (elles s'intéressaient aux interdépendances entre marché mais avec les outil de la micro). La rupture keynésienne est de considérer que le comportement collectif n'est pas l'exact reproduction des comportements individuels et que les effets réels et monétaire sont indépendants. La macro-économie est alors la discipline qui a vocation à tenir compte de l'ensemble

firme répond au problème de coopération entre les acteurs - les firmes assurent l’incertitude de l’action économique I. L’entreprise et les coûts de transaction (Coase et Williamson). C’est la réponse de la nouvelle économie institutionnelle. Elle a voulu rompre avec la vieille école institutionnaliste (Veblen…) car ils voulaient rompre avec les penseurs précédents qui étaient non-théoriques. Aussi, leur camp de base est l’économie néo-classique, ils vont toujours partir de la question du marché

Chapitre 3. La théorie de Keynes .........................................................................78 Section 1. Le rejet de l’analyse néoclassique......................................................78 Section 2. Le contenu de la théorie keynésienne ................................................80 chapitre 4. Les prolongements des grands courants de la pensée économique ........................................................................................84 Section 1. Section 2. Section

des billets à découvert à l’occasion de leurs opérations de crédit. Banques commencent à prendre un risque d’illiquidité. Au début du XIXè siècle, 2 thèses s’affrontent à propose des conditions des émissions de billets. « currency school » = école de la circulation soucieux d’éviter une émission excessive de billets qui engendrait inflation, les partisans de ce principe dont Ricardo soutiennent que le montant des billets en circulation doit être la stricte contrepartie de ses réserves en or

face aux Etats-Unis . Montrer que l’accroi ssement de la demande favorise la rep rise de l’investissement, mais que d’autres facteurs interviennent dans la décision d’investir (S 01) I Hausse de la demande, condition de l’investissement A analyse keynésienne de l’investissement : B empiriquement vérifiée à différentes périodes (corrélation conso/I et I/PIB) II Les autres facteurs de l’investissement A la rentabilité, analyse libérale B un environnement propice : coût relatif du capital et du travail

modification des routes commerciales et des flux d'échanges internationaux - montée des nationalismes économiques - passage désormais irréversible à une économie monétaire et financière Ces phénomènes engendrent le développement de richesses nouvelles et de pouvoirs nouveaux (banquiers et commerçants qui développent leur activité en marge de la féodalité et se servent de l’affranchissement des serf dans les « villefranches ») et, aussi, une croyance forte en la puissance économique et financière