Nucléophile

un thermoplastique transparent dont le monomère est le méthacrylate de méthyle (MAM). Il se polymérise à l’aide de radicaux qui amorcent une polymérisation radicalaire en chaîne mais également par polymérisation anionique, à l’aide d’amorceurs nucléophiles de types carbanions. Le PMMA peut être fondu puis remoulé, mais c’est surtout par dépolymérisation qu’il peut être recyclé facilement. En effet en chauffant, le PMMA redonne son monomère de départ, le MAM. Celui-ci peut alors être réutilisé pour

donneurs et sites accepO A teurs d’électrons, que les élèves doivent 1 add itio OH O 2 n1 apprendre à repérer au moyen d’une table 4 ,4 d’électronégativité. Il s’agit d’une approche A A étudiant les sites électrophiles (notés δ+) – et nucléophiles (notés δ ) des molécules sans utiliser ces termes. Ce modèle, en faisant apparaître les charges partielles, est donc purement électrostatique. Nous avons choisi de ne pas exposer les limites d’un tel modèle qui permet, par exemple, d’interpréter

déterminante, (E.S) (E.P), l’énergie d’activation de la réaction est abaissée. Les groupes caractéristiques portés par les chaînes latérales des acides α-aminés présents dans le site actif de l’enzyme jouent le rôle de catalyseurs (acide-base, nucléophile-électrophile, etc.) comme en catalyse homogène. 1 2 Toutes les enzymes sont des protéines… mais toutes les protéines ne sont pas des enzymes. Voir aussi comp. D3 : catalyse hétérogène. Accompagnement des programmes de Physique Chimie de Terminale

acid residues : one acting as a nucleophile and the other as an acid/base catalyst. The reaction proceeds by a double-displacement mechanism in which a covalent glycosyl-enzyme intermediate is formed by the attack of the deprotonated carboxylate on the anomeric centre of the glucosyl donor with concomitant breaking of the scissile C-O glycosidic bond. This step is assisted by the carboxylic residue acting as general acid. The second step is the attack of a nucleophile (glucosyl acceptor) on the glycosyl-enzyme

les sites (atomes) les plus fortement déficitaires (␦ϩ) ou excédentaires (␦–) en densité électronique, que de connaître la valeur exacte des charges ␦. C’est en effet généralement sur ces sites que se porte l’attaque du partenaire électrophile ou nucléophile dans une réaction. Mais cette description qualitative, apparemment simple puisque les différences d’électronégativité y jouent un grand rôle et qu’il s’agit le plus souvent de repérer la liaison la plus fortement polarisée, peut nécessiter d’établir

(bio.), nucléine f., nucléoprotéine f., nucléoprotéide m. nucleolus n. (bio.), nucléole m. nucleomorph n. (bio.), nucléomorphe m. nucleon n. (phys. nucl.), nucléon m., ~ number, nombre de nucléons nucleophilic(al) reagent n. (chim.), réactif m. nucléophile nucleoplasm n. (bio.), nucléoplasme m. nucleoprotein n. (bio.), nucléoprotéine f., nucléoprotéide m. nucleoside n. (bio.), nucléoside m. nucleotide n. (bio.), nucléotide m. nucleus (pl. -clei) n. (bio., géol.), noyau m., germe m. nuclide n. (phys

(bio.), nucléine f., nucléoprotéine f., nucléoprotéide m. nucleolus n. (bio.), nucléole m. nucleomorph n. (bio.), nucléomorphe m. nucleon n. (phys. nucl.), nucléon m., ~ number, nombre de nucléons nucleophilic(al) reagent n. (chim.), réactif m. nucléophile nucleoplasm n. (bio.), nucléoplasme m. nucleoprotein n. (bio.), nucléoprotéine f., nucléoprotéide m. nucleoside n. (bio.), nucléoside m. nucleotide n. (bio.), nucléotide m. nucleus (pl. -clei) n. (bio., géol.), noyau m., germe m. nuclide n. (phys