Nuit Du Renard Questions

fleuve L’ETRANGE FARDEAU Un manguier vert et bleu magnifique touchait le ciel, Evoquait l’arbre à palabres du Sénégal, Renouait le fil rompu dans l’enfer des cales, Pareil au totem d’antan fourmillant de conseils. Parfois la nuit, furtivement, on y venait enterrer Un nombril, reconnaître un enfant, le nommer. Le vénérable protégeait les secrets crinière feuillue, Prêtait ses niches aux amants, son ombre en surplus Aux détresses qui lui ensanglantaient les jeunes feuilles Et

capter, et même de purs concepts. 2.2. Au cinéma Si un livre est écrit de manière individuelle avec un stylo ou tapé sur un clavier, un film est tourné avec des caméras et nécessite toute une équipe technique. Le visionnement  du début de la Nuit Américaine de Truffaut est très pertinent à ce sujet. Le récit filmique offre, d’après Christian Metz, cinq matières de l’expression : les images mouvantes, essence même du cinéma ; leur organisation fait appel aux techniques du cadrage, des mouvements

attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes ; ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racine : ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.   TEXTE B - Fénelon, Lettre

du labyrinthe de l’inhumain sous forme épistolaire. L’extrait prend place entre le 5 et le 6 août , où lui et un de ces camarades se rend chez une de leur amie faisant parti du même cercle de lecture, pour partagé un repas qui va se transformé en nuit charnelle, révélatrice, et ou vas s’en suivre une journée de réflexion sur l’histoire d’amour fané de Diégane. C’est dans cet extrait ou se mèlent passion fantastique et domination que l’on peut se demander Nous verrons dans un premier temps la

et le poil en frisait sur nos bonnets de carcajou. Nous filions plus vite que le vent. Pendant un quart d’heure, environ, nous naviguâmes au- dessus de la forêt sans apercevoir autre chose que les bouquets des grands pins noirs. Il faisait une nuit superbe et la lune, dans son plein, illuminait 20le firmament comme un beau soleil du midi. Il faisait un froid du tonnerre et nos moustaches étaient couvertes de givre, mais nous étions cependant tous en nage. Ça se comprend aisément puisque

pensée que le jour était enfin arrivé avait fait trembler sa main et il s’était légèrement coupé la lèvre en se rasant. Il saignait encore un peu, le goût salé dans sa bouche lui donna un haut-le- 10 coeur2. Il avait horreur du sang. La nuit dernière, au bureau de réception de l’hôtel, il avait senti le regard du réceptionniste glisser sur ses vêtements. Il portait son pardessus sous le bras, pour dissimuler son aspect minable. Mais le costume était neuf. Il avait fait des économies

logique, la précision, la clarté que dans l’économie des moyens. A quoi ne répugne pas la Négritude, comme le prouve notre art, tectonique. Dialogue sur la poésie francophone, Œuvres poétique Léopol Sédar Senghor Mais on me posera la question : « pourquoi, dès lors, écrivez-vous en français ? » Parce que nous sommes des métis culturels, parce que, si nous sentons en nègres, nous nous exprimons en français, parce que le français est une langue à vocation universelle, que notre message

primordial pour moi. J’ai joué un temps avec les phrases suivantes : C’est encore loin, c’est enfin proche Ce n’est pas proche, ce n’est pas loin Mais, arrêtons nous un instant sur ce sujet et sa formulation « est ce encore loin ? » Un certain nombre de questions se sont posées à moi : Déjà de quoi parle-t-on ? Nous avons une omission, volontaire bien sûr merci Scott. Qu’est ce qui est encore loin ? de quoi de qui ? Qu’est ce que je viens faire ici ? Quel est le travail à faire ? Quel est le chemin à suivre

Le bestiaire - 1Le bestiaire médiéval / 1 8Introduction Dans la préface de son ouvrage Bêtes et hommes dans le monde médiéval. Le bestiaire des clercs du Ve au XIIe siècle publié en 2000, Jacques Voisenet écrit à propos du bestiaire médiéval : « C’est un repoussoir, un miroir, un ennemi et un allié. C’est un instrument capital dans la quête de soi même de l’Homme, une pièce essentielle de l’humanisme médiéval ». Par cette définition, l’historien cerne les enjeux inhérents au bestiaire médiéval

existe un iconoclaste contemporain. La critique de la société a commencé dans les arts plastiques avant la première GM. Et ensuite sur un mode beaucoup plus grinçant avec le mouvement DADA. => mouvement de révolte né en 1916 en occident => remise en question des modes traditionnels, Cf : Marcel Duchamp, L’urinoir « Fontaine » Seul le signe plastique fait sens Aujourd’hui avec le culte d’Internet, certains pensent que l’on est un culte iconodule Le sociologue Philippe Breton pense qu’il faut envisager