Nymphe

rougit (dimension amoureuse, le ciel tombe amoureux de l’Aurore). Argument : Rencontre soudaine de la « Nymphe » et confrontation. Procédés : v.5 « quand » (conj. Valeur temporelle) + voir au passé simple = rythme accentué, très soudain. Le « je » apparait. Effet produit : Le poète exprime déjà sa préférence « que j’adore » « Nymphe = la femme qu’il aime) Argument : La Nymphe surpasse l’Aurore en beauté Procédés : v.6 : Parallèle entre les cheveux de l’aurore, cheveux de la dame

partie utilisation du passé simple (« Je vis » vers 10). Thermes associés à la femme aimée : « vive » vers 9 ; « Nymphe » vers 11 ; « Nouvelle Aurore » vers 12 = début du jour = aurore = la femme aimée surgie = beauté et amour. La femme à l’air heureuse elle rit : « en riant » vers 11. Elle est qualifiée de vive, donc elle n’est certainement pas statique. C’est une femme idéalisée : « Nymphe » vers 11 ; « Nouvelle Aurore » vers 12. Indications de temps : « fuyant le jour » vers 4 = aube = début

temporelle (anaphore de « déjà » dans les quatrains, puis rupture avec « quand d'occident » au 1er tercet et conclusion au 3e tercet par « alors »). l 1er quatrain : fuite de la nuit l 2e quatrain : arrivée de l’aube l 1er tercet : apparition de la nymphe (= la femme aimée). l 2e tercet : rivalité entre la femme et l’aurore, triomphe de la femme II. Mise en place d'un cadre enchanteur 1) Fuite de la nuit 2) l personnification de la nuit (« amassait », « fuyant », « chassait ») l métaphore

des flots sur une coquille. Elle est conduite sur le rivage par deux divinités du vent, Zéphyr et Chloris, au milieu d'une pluie de roses. Tandis qu'elle aborde la rive, une nymphe (divinité souvent bienfaisante, protectrice de la jeunesse) l'accueille avec un vêtement de couleur pourpre. Nous pouvons admettre que cette nymphe soit une divinité des Heures (divinités accompagnant certains héros, et associée aux saisons), car sa posture et sa robe parsemée de bleuets en sont fort catégoriques, ainsi

nuit au jour. Ce procédé souligne l'évolution (Du noir à la lumière = aube) et prépare l'apparition de la nymphe au v.11.) 1er Tercet: Dès le vers 9, le groupe "Comme une étoile vive" constitue un comparant. Le comparé "Une nymphe en rient" est rejeté au-delà du groupe verbal. Il est mis en relief par sa place après l'exclamation "Ô Fleuve mien!". Il s'agit de bien mettre en valeur la nymphe. L'apparition de la femme est retardée, créant ainsi un effet d'attente. - Le comparant insiste par

la femme de ses désirs. Nous pouvons nous demandé Plan: I-La construction du poème 1)Versification 2)Composition II-Evocation métaphorique 1)Fuite de la nuit 2)Arrivée de l’aube III-Le visage de la femme 1)Description et apparition de la nymphe 2)Union d’une vision cosmique et d’un univers personnel I-La construction du poème 1)Versification -14 décasyllabe. Rime classique : embrassées dans les quatrains + plates dans les tercets 2)Composition -chaque strophe à un thème. progression

qu'elle protégea avec une grande vigueur, - autant de noms que son frère Apollon, - un arc et des flèches semblables aux siens, - la fonction d'apporter la lumière, - une tunique de chasse jusqu'aux genoux, - soixante jeunes nymphes océans comme dames d'honneur, - vingt nymphes pour prendre soin de ses affaires et nourrir ses chiens, - toutes les montagnes du monde, - enfin la cité que Zeus choisirait spécialement pour elle en précisant qu'une seule suffirait car elle avait l'intention de vivre au

la déesse Rhéa (Cybèle). Il va être exilé par sa mère sur le mont Ida (en Crète) pour survivre. Il va être nourrit par les nymphes de miel et du lait de la chèvre Amalthée. Tableau de Nicolas Poussin ‘Jupiter nourri par la chèvre Amalthée’. Deux nymphes indifférenciées, un personnage qui tire le lait de la chèvre, mythe représenté de manière littérale. Les nymphes sont liées à un certain nombre de divinités, en particulier suivantes de Diane et Apollon. Elles sont veiller sur Jupiter

Io allaitant Epaphos sous le regard rêveur du gardien Hermès qu'aurait représenté Giorgione, Zeus roulant des mécaniques au loin, en brandissant des éclairs. Une autre hypothèse voudrait que l'enfant puisse être Dionysos, fils de Zeus et d'une nymphe qui dut dissimuler le nouveau-né à Héra, l'épouse jalouse et colérique du roi des dieux ainsi que le rapporte le Mythe suivant: Excitée par la jalousie d'Héra, Sémélé, fille du roi de Thèbes, veut contempler son amant Zeus dans toute sa majesté

animaux et en même temps chasseresse, elle mène ses meutes. Elle est amie de la biche, qui est tout le temps présente a ses côtés, et pourtant ses flèches la visent. Elle est représentée le plus souvent aux côtés d'animaux sauvages et de troupe de nymphes. Ainsi la Diane a l'arc d'Or est également nommée la Dame des Fauves. II / Analyse politique Le "bain de Diane" de François Clouet, représente de façon symbolique, Diane de Poitiers. C’est une peinture réalisée par François Clouet. C’est une