Obscurité

Vanité - Éphémère obscurité Vanité - Éphémère obscurité Bonjour, aujourd’hui je vais vous présenter ma vanité intitulée « Éphémère obscurité » que vous pouvez déjà observer ci-dessus. • On observe tout d’abord une multitude d’objets. Au centre de cette image, on peut voir une table où sont posés les objets en question. On constate également, à droite de l’image, qu’un miroir est posé sur le sol. De plus, ce miroir est brisé en milles morceaux, d’où les débris que l’on voit à côté. Sur

«  comme après la métempsycose les pensées d’une existence antérieure » « pas le temps de me dire : « je m’endors » » « que le croyais encore avoir dans les mains » B) les rapports entre obscurité et lumière : - des allers-retours entre lumière et obscurité… « bougie éteinte » => « souffler la lumière » « la lampe étrangère » et « le rai de lumière qui disparaît » - …qui démontre l’insomnie du narrateur qui s’identifie a un malade qui

général : -Noir:mort, deuil, tristesse,vide,obscurité -Rouge:colère, interdiction, danger Dans Germinal les couleurs dominantes sont celles-ci. En premier nous allons voir l valeur que prend le noir, puis celle que prend le rouge. 1.NOIR Couleur dominante du roman. Elle est souvent négative. C'est l’absence d'espoir. La première apparition du noir est dans l'incipit, à deux reprises elle est mentionné : _ « la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre. »(I, 1) Etienne

mort. Il s’agit maintenant d’étudier en quoi ce poème est un voyage de l’Obscurité vers la Lumière. Le poète nous décrit le paysage étant morne, obscure et banal sous la terre ex : « -Station de métro, les affiches, lumière morte, cavernes, obscurité, sous le niveau de la mer, sous le cadran des horloges, dans la montagne » (De la ligne 1 à 18), il exprime ici la sensation d’oppression et d’enfermement des voyageurs. Puis vient le changement de l’espace : le paysage devient verdoyant, lumineux

l'extrait. En effet, dès le début de l'extrait, nous pouvons voir que la scène se déroule au « crépuscule ». De plus, l'utilisation de l'adjectif « grand » dans « grandes ombres », « grand massif » ou encore « grandes masses » nous donne l'idée d'une obscurité grandissante. Ce sentiment d'insécurité est ensuite renforcé par l'image de ces personnages qui « assis au fond de la barque […] regardaient les dernières lueurs quitter les hautes branches ». Le paysage se transforme, chassant peu à peu la lumière

personnage principal. Le lecteur arrive dans l'univers du roman, comme Etienne Lantier arrive à Montsou. (découverte des lieux et des autres personnages) Un espace hostile. a) Nuit: champ lexical de l’obscurité : « nuit sans étoiles, d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre » « noir », « ténèbres », « noircis ». b)_ Route sans repère, solitude et cadre déshumanisé:_ « aucune ombre d’arbre ne tachait le ciel » « sensation de l’immense horizon plat »(mer) aucune présence humaine

de soleils, spectres sublimes,  Que d'astres à l'orbe éclatant,  Que de mondes dans ces abîmes  Dont peut-être il n'est pas content ! Ainsi que des monstres énormes  Dans l'océan illimité,  Que de créations difformes  Roulent dans cette obscurité ! L'univers, où sa, sève coule,  Mérite-t-il de le fixer ?  Ne va-t-il pas briser ce moule,  Tout jeter, et recommencer ? III. Nul asile que la prière !  Cette heure sombre nous fait voir  La création tout entière  Comme un grand édifice

vient de compléter et d’expliquer le verbe admirer. Dans le vers (5), ‘’les terres’’ suggère une idée d’ampleur, de vaste, accentuée par le mot ‘’dans’’ qui indique la profondeur, la tombée du jour et la montée de l’obscurité, cette obscurité baigne les terres comme un liquide, au point de vu stylistique le narrateur fait recours à la personnification dans ‘’ nuit baignées’’ qui permet d’exprimer que la nuit envahit effectivement tout le passage.

s'achève et la nuit donc l'obscurité tombent. 8- Expliquez le contraste entre le lexique de l'obscurité et de la lumière au fil du poème. - Au début " jour ", " clarté ", " lueur " puis " le crépuscule vint " - 7eme strophe " firmament obscur " ; " obscurité " ; " noirceur…ténèbre " ; " sombre " ; " ombre " ; " ciel noir " - dernière strophe " lumière " ; " astre " ; " reflet " " lueur mystérieuse " ; " larme de lumière " ; " choc lumineux " ; " l'étoile " ; " feu " ; " goutte d'étoile " - Le poète porte

Atelier sur le roman : Au Bonheur des Dames #1 Ce sont des alcôves(p.264). Ce sont de vieilles maisons. (p.265) Elles sont mal éclairées, elles ont une haleine de vieux quartier. (p.57) Vitrines noires, étroite boutique, pièce obscure, vitrage poussiéreux, allée humide. (p.225) Les moindres bruits ébranlaient la vieille masure collée au flanc du colosse. (p.229) Accroché comme un nid d’hirondelle dans la fente d’un mur.(p.245) Un froid noir tombait du plafond ; des heures se passait sans qu’une