Obscurité

la rêverie. B. Un tableau en clair obscur • tableau : souvenir présenté comme une vision : "je l'ai vue" • vision statique, pas de fin au récit : C'est seulement l'arrivée de Junie ; majorité d'imparfaits • tableau en clair obscur : o obscurité/lumière vers 7 (tétramètre : beauté)  les ombres/les flambeaux vers 11 • dualité accordée à la dualité de la scène o opposition des vêtements: "simple appareil" /ravisseurs en armes o opposition douceur/ violence : larmes /armes douceur/ravisseur

associée à un élément naturel, une force naturelle en action ce qui souligne l’idée d’un pouvoir surnaturel : front // vents ténébreux (2), panse // couchant rougeoie (5), sourcils // orage menaçant (13), cheveux // tempêtes voltigent (15), poing // obscurité (17) • • 2. La gradation de la violence Elle s’orchestre à partir du champ lexical d’un bruit de plus en plus intense : sons de cloches innombrables (8), sonore, le vacarme de millions d’habitants (9), grondant (20) Elle se lit dans la structure

propice, le plus riche car il n existe rien de plus grand ni de plus beau que de savoir que la lumière va surgir lorsqu on l attend dans les ténèbres. Le christ ne pouvais pas naître à une meilleure heure que minuit. Frontière symbolique au cœur de l obscurité. Toutes initiations se conférent la nuit car tout ce qui se rapporte a la génération de la vie nouvelle se produit dans le noir Mon ressenti j y ai découvert pendant mes recherches bien des questions et de vastes sujets a explorer qui ne peux être

négative. La colère est une émotion intense, elle est très souvent engendrée par des frustrations, injustices, trahison… Le qualificatif noir ajoute une intensité, une agrémentation à la colère suggérant ainsi une obscurité sombre et très épaisse. Ayant conscience du contenu de l’œuvre, nous pouvons également le livre comme faisant référence à la race noire, nous signifiant que la colère est spécifiquement liée à les expériences de racisme, injustice, mépris ou discrimination

l'importance d'autrui, préalables à leur intégration à la communauté humaine. Du roman hellénistique au roman pastoral, la source de l'idéal s'humanise et s'intériorise peu à peu, tandis que se révèlent les failles et les obscurités du sujet humain. Ces failles et ces obscurités, les obstacles que met l'imperfection humaine au règne de l'idéal, sont, à l'époque prémoderne, l'objet du roman picaresque, du récit élégiaque et de la nouvelle. Le roman picaresque est d'une certaine façon le symétrique

Elles sont observables quelle que soit la position de l’écran, à condition qu’il soit illuminé par les deux faisceaux issus de O1 et O2. * Interprétation II est surprenant de voir qu’en certains points de l’espace: lumière + lumière → obscurité Cette expérience rappelle l’expérience des interférences mécaniques où en certains points de l’espace: mouvement + mouvement → immobilité son + son → silence 1re B et C 7 Ondes et lumière 89 L’expérience peut être expliquée en supposant

des plages 2 balises = danger récent, pas encore noté sur les cartes maritimes. 2 cardinales ou 2 latérales.(2 rouges ou 2 verts) Rythme des feux : - a éclat : lumière < obscurité - a occultation : lumière > obscurité - isophase : lumière = obscurité - scintillent : environ 40 à 60 apparitions de lumière par minute. Dans la bande des 300 mètres la vitesse est limitée à 5 nœuds. IV MARQUES DE JOUR

Couleurs principal de ce début : noir → nuit, rouge → feu. Début du roman = Sombre. Les indices du réel Description très précise d'un personnage, d'un lieu. a) Le paysage → Nord de la France « pleine rase », platitude, betteraves, obscurité : la nuit. → Série d'indications géographiques : « à gauche », « depuis une heure », « 200 pas », « un coude de chemin », « 5 ou 6 lanternes ». Renseignement précis → situation précise d'une région de France : le Nord. → Le début du roman se passe

universelle de la peur . Quiconque est valable pour tous, Ainsi que le « on » impersonnel répété juqu’a la ligne 32 : Le narrateur et le lecteur sont désormais impliqués dans cette expérience de l ‘angoisse avec la peur classique du noir, de l »obscurité » , « contraire du jour ». La liste redondante des substantifs évoquant la nuit et l’accumulation des adjectifs « redoutables », « taciturne funèbre, effrayant » … rend l’atmosphère pesante. Avec la phrase construite comme aphorisme : »quand l’oeil

Et il nous vient des envies de danser, des envies de courir, des envies de chanter, une légèreté heureuse de la pensée, une sorte de tendresse élargie; on voudrait embrasser le soleil. Les aveugles sous les portes, impassibles en leur éternelle obscurité, restent calmes comme toujours au milieu de cette gaieté nouvelle, et, sans comprendre, ils apaisent à toute minute leur chien qui voudrait gambader. Guy de Maupassant, L’aveugle. * CLÉONTE : Je fais voir pour une personne toute l'ardeur et