Obsolescence

Planned Obsolescence Table des Matières Définition Introduction Revue scientifique Problèmatique Support de travail Nos préconisations Conclusion Annexes Définitions Label C2C Economie circulaire Sources Il ne faut pas confondre entre l'obsolescence et l'obsolescence programmée Obsolescence : c’est la perte de valeur d’un produit aux yeux d’un consommateur par effet de mode. Obsolescence programmée : l'ensemble des techniques visant

------------------------------------------------- Obsolescence : dictionnaire Larousse, signifie la « dépréciation d'un matériel ou d'un équipement avant son usure matérielle »8. Produit obsolète fonctionne encore : mais son usage a perdu de son intérêt. Par ex. un moulin à café manuel en parfait état de fonctionnement. ------------------------------------------------- Bernard London : obsolence programmée (planned obsolescence), l’auteur américain de "Ending the Depression through Planned Obsolescence".Il est contre cette

Obsolescence programmée : un terme un peu rébarbatif qui pourtant concerne chacun d’entre nous, ou tout du moins nos appareils électriques et électroniques en priorité. L’obsolescence programmée : définition L’obsolescence programmée ou planifiée est le processus par lequel un bien devient obsolète pour un utilisateur donné, parce que l’objet en question n’est plus à la mode ou qu’il n’est plus utilisable. En clair, certains produits sont prévus pour ne plus fonctionner ou être passés

L’ Obsolescence programmée des produits Définition : L’obsolescence programmée est l’ensemble des outils utilisés par les entreprises pour réduire la durée de vie d’un produit afin de forcer le consommateur à renouveler l’achat en produits de l’entreprise. Cette technique permettra d’avoir un renouvellement de la demande contrôlée. Cette stratégie d’entreprise a vu le jour dans les années 20. C’est à cette période que les entreprises ont demandé à leurs ingénieurs de créer des produits

Aubry et Rau était une notion dépassée ? Afin de répondre à cette question nous verrons que le patrimoine selon Aubry et Rau est claire, nette et précise mais qu'elle est aujourd'hui devenue quasiment obsolète (I), puis nous verrons que cette obsolescence peut être concilié avec les nouveaux fondements de cette notion (II). La notion de patrimoine n'est plus celle qu'apportent les deux auteurs. En effet, aujourd'hui, il n'est plus question du patrimoine de l'Homme, mais des patrimoines de l'Homme

l'intégralité ou à certains administrés. Le contrôle, lui, traduit une certaine sujétion de la personne privée à la personne publique qui exerce un pouvoir de contrôle effectif sur elle. B. Un nouveau faisceau d'indices cause d'une obsolescence des prérogatives de puissance publique Dans notre arrêt, le juge administratif dégage un véritable faisceau d'indices qui rendent partiellement obsolète le recours au critère de prérogatives de puissance publique. En effet quand le juge est

bien que celle ci ne soit pas si différente dans le fond. Dans le domaine de l'automobile, quand la fiabilité technique des produits augmente et prolonge leur durée de vie, les constructeurs cherchent à créer, par le truchement du design, une obsolescence visuelle des modèles antérieurs. Ils rejoignent ainsi cette toute première vision de l'obsolescence programmée qui est la mode féminine. La conséquence de cette pratique est bien évidemment le gaspillage massif qui en découle. Concevoir des produits

les grands pays. L'introduction d'innovations, sur le marché, par les entreprises se répercute de multiples façons sur l'économie. L'innovation, de produit ou de procédé, qu'elle soit radicale ou incrémentale, engendre une plus ou moins grande obsolescence des autres biens de même catégorie. De ce fait, non seulement le produit (ou procédé) novateur se détache par rapport aux autres biens déjà présents sur le marché, de par le progrès technique qu'il comporte ; mais encore il agit directement envers

publicité trompeuse et la toute puissante consommation qui symboliseront le 20ème siècle. 1932 : Bernard London nomme le concept d’obsolescence programmée dans son livre Ending the Depression Through Planned Obsolescence, Bernard London, promoteur américain, défend le concept d’une obsolescence légale imposée par le gouvernement pour les biens de consommation afin de stimuler et maintenir la consommation. Dans cette Amérique d’après le Krach de 1929 où aucune contrainte environnementale n’est encore

répondu à la demande du consommateur à travers une politique de coût et de marketing. C'est Bernard London qui est l'inventeur de la notion d'obsolescence programmée. Il a écrit un essai datant de 1932 : « Ending the depression trough planned obsolescence » qui prone la reprise économique en rendant l'obsolescence programmée obligatoire. Datant de la seconde révolution industrielle, l'obsolescence programmée n'est pas un concept nouveau. C'est en 1930 que les premiers cas d'obsolescence programmée