Obus

L'œuvre étudiée a été composée entre 1929 et 1931, après la première guerre mondiale. Réflexion Thématique Cette œuvre a été composée par Maurice Ravel mais elle est faite pour le pianiste Paul Wittgenstein qui a perdu son bras droit a cause d'un obus en combattant dans le front de L'URSS. L'œuvre étudiée n'est pas chantée mais la musique et sa cause de création font penser qu'elle proteste contre les mutilés de la guerre. Avis personnel: J'ai beaucoup aimé cette pièce car j'ai aimé la musique

intentions contre France-Ville. Par son travail appliqué, Marcel réussi à devenir le collègue de travail et confident du professeur allemand. Celui-ci lui dévoile alors son projet : il veut détruire France-Ville grâce à un nouveau canon tirant un énorme obus. Malheureusement, Marcel est condamné à mort par le professeur pour avoir eu connaissance de son macabre projet. Marcel s'échappe alors de Stahlstadt et part prévenir Franceville du plan machiavélique du professeur Schultze. Quelques jours

Je m'installe dans mon camps et fais la rencontre d'un quarantenaire nommé Henri, brancardier également. 21 Avril 1916, Arrière poste de Verdun Aujourd'hui, les blessés n'arrêtent pas d'affluer. Henri, moi et les autres n'avons plus de repos. Des obus explosent à tout moment, les résonnements atteignent notre base. Des blessés couvert de sang, ont été déformés par des éclats d'obus... ce sont des gueules cassées. 04 Juillet 1916, Arrière poste de Verdun J'ai dû arrêter mon journal par manque de

afin d'examiner les conditions de la liberté conditionnelle de Dominique Strauss-Kahn. Considérant qu'après l'apparition de ces nouveaux éléments de l'enquête, le risque que l'accusé ne se présente pas à l'instance a fortement diminué, le juge Michael Obus décide de le libérer sur parole. À la suite de cette audience, toutes les mesures liées à sa liberté surveillée sont suspendues. Son passeport ne lui est cependant pas restitué, car il est tenu de rester sur le territoire des États-Unis, les poursuites

dangers beaucoup plus clair et plus précis. En effet, il décrit la vie des poilus durant la Grande Guerre, et décrit alors des scènes de guerre où les poilus combattent ou encore lorsqu’il sont spectateurs des « feux d’artifices » des bombes et des obus venant du ciel. Ces bombardement apparaissent pour les soldats comme de la pluie incessante : pendant des nuits complète ils subissent les assauts de l’ennemi et ne peuvent qu’observer ce qui leur arrivent. Barbusse les assimile alors à des « pions »

en route ! […] la première vague part, mais est aux deux tiers fauchée par les mitrailleuses ennemies qui sont dans des petits abris en ciment armé. […] puis c’est à nous de partir, […] nous sautons sur les parapets2 […] les mitrailleuses et les obus pleuvent autour de nous ; […] après mille péripéties, nous arrivons à cette fameuses crête : nous avons laissé de nombreux morts et blessés en route. […] Nous en sommes écœurés, nous avons les larmes aux yeux. Quelques Sénégalais, morts eux aussi

découvrent une malle vide ! Martin est terriblement déçu lorsqu'il voit son lieutenant s'approcher d'eux. Rapidement, il soupçonne son lieutenant d'avoir volé le trésor. Mais le lieutenant braque son arme sur Martin et le menace. À ce moment-là un obus tombe sur eux, tuant le lieutenant ainsi que Martin. Casimir lui, sera évacué suite à une blessure. Bien plus tard, il apprendra que c'était Jeannot qui avait pris le trésor. Ce que j'en pense : Je trouve ça original que deux amis essayent de trouver

documentation internationale contemporaine / Musée d'histoire contemporaine. Présentation du document 2: Cette affiche représente trois femmes qui exercent différentes activités. - une "munitionnette", ouvrière d'usine devant sa machine à tourner les obus - une mère allaitant son enfant - une paysanne qui bêche un champ de maïs Document 3: Source: Archives départementales de l'Indre Présentation du document 3: Ce document imprimé est un placard (moyen efficace pour informer les populations

épargnés et ont eux aussi souffert à la fois physiquement et moralement. Les soldats français ont tout d'abord souffertphysiquement: la guerre fut un véritable massacre. Ils étaient exposés à de nouvelles armes telles que les mitrailleuses, les obus, les gaz... Beaucoup de soldats blessés dans le no man's landmourraient faute de soins. Les gueules cassées, c'est ainsi que l'on surnomait les victimes de blessures terribles pendant cette guerre, étaient représentatifs des dégâts que pouvaient causer

Verdun est un piège à obus : l'ossuaire de Douaumont contient les dépouilles de 130 000 soldats inconnus et 770 000 autres victimes. Entre 1914 et 1917, ce sont 30 millions d'obus qui seront tirés de part et d'autre. Le premier jour de la bataille de Verdun, un million de coups seront tirés ! Durant l'hiver 1914-1915, le sniping devient une spécialité (tir avec un fusil à lunette), sans parler du lance-flammes utilisé par les Allemands, du gaz défensif, l'ypérite, et des obus à phosphogène. Et des