Occitan

gallo-roman MONTE (lui-même de l'accusatif montem, du latin mons « montagne »), il avait également le sens de « hauteur, élévation, colline » en ancien français13, colline étant un emprunt du XVIe siècle à l'italien. Réal représente généralement la forme d’oc francisée (occitan moderne reial, reiau« royal ») correspondant à l'ancien français central royal qui est attesté sous cette forme dès la Moyen Âge et issu d'un plus ancien regiel (vers 880 Séquence de sainte Eulalie), dont la finale -el a été refaite en -al, lui-même

langue régionale (toutes formes d’enseignement confondues, public et privé sous contrat) : 282 894 à l’école, 96 295 au collège et 25 162 en lycée. La liste des langues concernées s’est aussi élargie : basque, breton, catalan, corse, créole, gallo, occitan / langue d’oc, langues régionales d’Alsace, langues régionales des pays mosellans, tahitien et langues mélanésiennes. 7L’année 2008 a mis les langues de France au centre du débat public, d’abord à l’Assemblée nationale (le 7 mai), puis au Sénat (le

si l'ancien français est incompréhensible au XXe siècle ou si certaines variétés actuelles sont peu intercompréhensibles et interidentifiées. Inversement, norvégien et suédois, hindi et ourdou, valencien et catalan, corse et italien, provençal et occitan, luxembourgeois et allemand, tchèque et slovaque, fonctionnent comme des langues distinctes, malgré une proximité typologique et une relative intercompréhension (l'intercompréhension ne relevant pas que de la proximité typologique, mais aussi d'autres

12. À grand pêcheur échappe anguille (proverbe français). 13. À la fin le renard sera moine (proverbe français). 14. À la pauvreté toute porte est fermée (proverbe allemand). 15. À l'âne repu, les chardons sont amers (proverbe occitan). 16. À l'homme riche même le diable apporte des cadeaux (proverbe roumain). 17. À l'hôtel de la décision les gens dorment bien (proverbe persan). 18. À l'œil qui ne veut point voir, ne faut lunettes ni bougeoir (proverbe allemand)

pris leur chemin droit vers la cité.   Aussitôt arrivé, il l'épouse. Le vent souffle et les rameaux tremblotent. Que ceux qui s'entr'aiment s'endorment doucement!” 5) Descort Le descort est une forme lyrique médiévale difficile, en langue occitane, et populaire chez les troubadours. Il est composé de 5 à 10 strophe, chacune différente en fait de nombre de sylabes, nombre de vers, et même parfois des langues différentes sont utilisées. Ex: Quan foill'e flors reverdezis,Garin D’Apchier 6)

français : 3 grandes familles : francoprovençal, langues d’oïl (franc-comtois, wallon, champenois, picard, normand, gallo, poitevin-saintongeais [dans ses deux variétés : poitevin et saintongeais], lorrain, bourguignon-morvandiau), parlers d’oc ou occitan (gascon, languedocien, provençal, auvergnat, limousin, vivaro-alpin). dialectes / langues romanes sans rapport direct avec le français : Catalan, corse, Langues non-territoriales : par exemple, arabe dialectal, arménien occidental, berbère,

Bernart de Ventadour, Jaufre Rudel ou encore Marcabru. Guirault Riquier est dit le Dernier Troubadour (mort en 1292). La période des troubadours : S’étale sur au moins trois générations. Le coup d’arrêt (c’est-à-dire la fin) correspond à la défaite Occitane, en 1209, devant les forces françaises. 3 - Explications relatives à l’apparition des troubadours au XIIème siècle. - Hypothèse de Denis de Rougemont : Cathare, secte hérétique, fait émerger une théologie subversive; et les troubadours en serait

prestige, mais aussi parce que les langues d’oïl étaient très proches du françois. Cela explique pourquoi, a contrario, malgré un recul encore constaté, les langues non romanes et les dialectes non d’oïl persistèrent ou résistèrent davantage : breton, occitan, alsacien, basque, flamand, corse, même si ces derniers ont eux aussi enrichi la langue française. Emprunts plus récents, néologismes et évolution de l'orthographe[modifier]Article détaillé : Emprunt lexical. Les emprunts plus récents à d’autres

Saint-Étienne), de Suisse romande aussi ; La langue d'oïl dans le nord avec entre autres le picard, le normand, l'angevin, le champenois : cette région était encore très germanique et de nombreux seigneurs composaient le système féodal, L’occitano-roman (occitan ou langue d'oc et catalan) dans le sud avec le limousin, l'auvergnat, le languedocien, le gascon, le provençal, le vivaro-alpin : les parlers de cette région, qui baignent durant des siècles dans la culture romaine et ont conservé le droit romain

est d'ailleurs, ici, extrait d'une traduction française de Pierre Bec, intitulée Nouvelle Anthologie de la lyrique occitane du Moyen Âge, de 1970. Pierre Bec né le 11 décembre 1921 à Paris, et mort le 30 Juin 2014 à Poitiers, est un romantisme français, professeur à l'université de poitiers, spécialiste de la littérature et de la linguistique occitane et écrivain de langue occitane. Cette édition correspond à la 5ème, la 1ère remontant à 1954. Cette œuvre attribue ce sirventes à Bertran de Born mais