Ocre

avec « La Mandoline » 1914 l’heure est a cette période dans le cubisme synthétique, collage de carton ondulés, aquarelle et crayon. C’est équilibré, comme toujours dans le cubisme synthétique braque et Picasso utilise des couleurs qui vont du ocre jaune, au havane, mais surtout des jaunes, des teintes tabac, très élégantes, retenue et sobre. Ordonné plus ou moins figuratif. C’est l’esprit qui compose à partir de l’idée de mandoline. Braque ne fait ce qu’il voit, il laisse son esprit commandé

nous faire penser à une sorte d’explosion apportant un désordre. L’ensemble est en effet est à première vue totalement désorganisé. On observe deux plans dans la partie droite du tableau. Au premier plan, on peut observer le personnage blanc, noir et ocre les bras en l’air et au deuxième tous ces visages collés. Étape 3 (la plus personnelle) : Analyse de l’oeuvre Expliquer le sens de l’œuvre L’organisation des éléments plastiques exprime une totale frontalité : l’artiste n’a pas souhaité chercher

chacun la moitié du panneau central. Le panneau central représente une scène au cœur de ce qui semble être un cabaret animée par le jazz des années folles. L’espace semble être construit selon la règle des tiers et des quarts Le parquet de teinte ocre jaune est posé en chevron selon deux obliques qui dirigent le regard, d’abord vers les musiciens placés dans le tiers vertical gauche puis le couple de danseurs placé dans le tiers central. Les instruments des musiciens sont pour la plupart des cuivres

mort qui nous regarde à travers les orbites noires du crâne humain. Un pétale s'incline amorçant le passage vers le déclin et nous rappelle la dégradation de tout être vivant. La fleur rouge, telle une flamme, évoque la fragilité de la vie. Le sable ocre jaune du sablier matérialise l'écoulement du temps. Le crâne est encadré de deux contenants : à gauche un vase de cristal, répondant à droite au cristal du sablier. Tous deux sont traversés par la lumière provenant d'une fenêtre située sur le côté

l'utilisation des pigments minéraux. Fresques, peintures religieuses sur bois, enduits, pierres, manuscrits, enluminures… Les pigments se diversifient. On broie dans les ateliers des carbonates, de l'hématite, du minium pour réaliser des rouges, des terres ocre jaunes, de la limonite, du sulfure d'arsenic ou orpiment pour obtenir des jaunes et des lapis-lazuli pour faire du bleu. On va parfois les chercher très loin comme les terres vertes, le jaune Indien, l'or et l'argent. Définition : Les pigments sont

Vitrine. 1.3 Positionner les éléments - humains : rendez-vous, accidents, matériels : livraison, déplacements, réseaux : fuites, pannes, raccordements, utilisations de grillages avertisseurs et tubes de couleurs normalisées. Bleu Jaune Rouge Vert Ocre jaune Marron blanc eau Gaz Electricité Courants faibles et téléphone Assainissement Télédistribution Eclairage public 2. Localisation et fonction des différents postes principaux: Rep Désignation Localisation Fonctions 1 Engins de levage (GAT

Tableau des origines de quelques pigments naturels Couleur : Origine végétale Origine minérale Origine animale Vert Chlorophyle, cendres végétales Malachite Argile verte x Jaune/Orange Laques de gaude, quercitron, Paprika Orpiment Ocre Geothite Urine de vache Rose/Rouge Nerprun, garance Cinabre Oxyde de fer Réalgar Hématite Kermes Mollusques Gastéropodes marins Cochenilles de nopal Cinabre Indigo/Violet/Bleu Indigotier, Fleur d'iris Azurite Lapis-lazulis

15000 av. JC. Analyse champ. De la peinture à base de pigment naturel. Ce qu’on appelle en peinture des « terres » des mélanges de pigments naturels et de l’argile. Le noir essentiellement du charbon. On a des palettes de rouge, jaune, et différent ocre, brun. Ce ne sont pas des fresques. Les artistes peignent où bon leur semble. Ils ne peignent pas sur des surfaces lisse, le champ n’est pas préparer, ils ne prennent pas la partie pour sa planéité. Il n’y a pas de cadre, pas de limite pour les peintures

taille large. Elle est souvent vêtue d'une robe de lin laissant paraître ses formes par transparence. La représentation du visage dans l'art obéit à des règles précises, comme on peut le voir sur le fameux buste de Néfertiti. La peau est peinte en ocre jaune et non en rouge, comme c'est le cas pour les hommes : la femme, qui veille sur la maison, est à l'abri des rayons du soleil. L'œil, souvent exagérément ouvert, est souligné d'un trait de khôl qui intensifie le regard. Enfin, la femme idéale égyptienne

gris, bleus, qui composent l’essentiel des draperies, offrent un violent contraste. Les formes sont fréquemment soulignées par des contours blancs ou noirs qui accentuent leur déstructuration. II-interprétation Ainsi, on distingue des plans ocre, blancs, bleus et gris. Les plans bleu et blanc font ressortir les femmes qui constituent ce groupe. On remarque que ces femmes sont animées par un visage plus clair, plus net que les autres. Le blanc a, ici, symbole de pureté, de virginité et s’oppose