Octave Mirbeau

romantique, notamment le travail d’Edgar Poe Allen, a été une source d’inspiration majeure pour les Decadents. En fait, Baudelaire traduit des oeuvres de Poe en français. Les romanciers décadent comprennent Joris-Karl Huysmans, Théophile Gautier et Octave Mirbeau. En plus de Baudelaire, poètes notables du genre comprennent Arthur Rimbaud, Auguste Villiers de l’Isle-Adam et le Comte de Lautréamont. La Decadents française acquise un suite dans les cercles littéraires anglais à la fin du XIXe siècle, et quelques

Zola lui consacre dans Le Salut public de Lyon du 24 février 1865. Suite au succès de Zola grâce au Rougon-Macquart, le naturalisme connaît sa période triomphale à partir de 1877. Ce mouvement attire des écrivains provinciaux comme Joris-Karl, Octave Mirbeau et Guy de Maupassant. Les maîtres du naturalisme étant Flaubert, les Goncourt et Zola (Balzac et Flaubert sont les précurseurs). En 1880 et 1881, Zola publie les écrits théoriques du mouvement : Le Roman expérimental, Les Romanciers naturalistes

d'Offenbach. L'histoire littéraire garde le souvenir de tentatives de renouvellement à la fin du siècle comme le Théâtre-Libre et le théâtre naturaliste et son regard sombre sur le monde contemporain (Henry Becque : Les Corbeaux - 1882, Octave Mirbeau : Les Affaires sont les affaires - 1903) ou le théâtre symboliste avec sa force de suggestion et ses correspondances poétiques (Pelléas et Mélisande de Maeterlinck en 1892 que mettra en musique Debussy)17. On retient également quelques autres

article intitulé « J’accuse » où il dénonce les militaires qui ont condamné Dreyfus et qui le maintiennent au bagne. Dans la presse, la haine atteint son paroxysme. Dreyfusards, parmi les- quels Jean Jaurès, Clemenceau, Zola, l’écrivain Octave Mirbeau, et an- tidreyfusards se déchirent par journaux interposés. Des émeutes anti- sémites éclatent dans plusieurs régions françaises, faisant même des morts notamment à Alger... Finalement, Dreyfus est rejugé en 1899, à Rennes. L’autorité

artistes français, Salon des indépendants, Salon d'automne). À partir de 1899, il se consacre essentiellement à la peinture. Il expose régulièrement à Paris, notamment en janvier 1910, lors d'une exposition dont le catalogue est préfacé par Octave Mirbeau. Il expose aussi en Suisse et dans d'autres pays. Illustrateur apprécié à ses débuts, il renouvelle l'art de la xylographie. Ses Intimités lui valent une reconnaissance internationale que renforce encore son appartenance au groupe des nabis. Il

américaine * Jean Renoir se marie puis s’impose finalement avec son chef-d ‘œuvres : L'Homme du Sud (The Southerner) en 1945, adapté d’un livre de George Sessions Perry * Il enchaine avec Octave Mirbeau Le Journal d'une femme de chambre (The Diary of a Chambermaid) en 1946, adapté d’un livre d’Octave Mirbeau. Ces deux films sont très bien reçu et le conforte pour la suite. * Son deuxième film de propagande anti-Nazi : Salut à la France (Salute to France) en 1946 (Assez bon accueil aux Etats

plus radicaux politiquement que ses anciens amis impressionnistes : Jean Grave, directeur du Révolté que Pissarro lit régulièrement à partir de 1884-85, Félix Fénéon, critique artistique de sensibilité anarchiste, Octave Mirbeau, journaliste et romancier, qui le défend dans la presse à partir de 1887 et affirme aussi ses idées anarchistes alors qu’antérieurement il se situait beaucoup plus à droite6. Ce glissement vers l’extrême gauche est confirmé par

Cinq »), qui regroupa régulièrement, de 1874 à 1880, Gustave Flaubert, Ivan Tourgueniev, Edmond de Goncourt, Alphonse Daudet et Émile Zola. Le « groupe de Médan » commença ses réunions dès 1876 et compta même un temps un septième « membre », Octave Mirbeau, que son éloignement de Paris, en 1877, après sa nomination comme sous-préfet de Saint-Girons (Ariège), freina dans de probables collaborations futures. L’idée générale du cénacle informel que constituait le « groupe de Médan » était d’aborder

peint lePort du Havre sous le brouillard en 1887) et à l'étranger comme Jean Peské. Le terme d'impressionnisme est aussi employé, par extension, dans le domaine de la littérature, pour caractériser par exemple les romans du chantre de Monet, Octave Mirbeau, qui sont marqués au coin de la subjectivité. Il gagne même la critique musicale (1887), qualifiant les œuvres de Claude Debussy et, plus généralement, celles de tous les compositeurs préoccupés par la perception subjective des couleurs sonores

Portrait littéraire d'un antidreyfusard : Octave Mirbeau, Le Journal d'une femme de chambre - 1900 Critique d’art, journaliste, écrivain, Mirbeau fut tout autant célébré par les avant-gardes littéraires et artistiques de son temps qu’il fut détesté et dénoncé par les forces réactionnaires du pays. Toute une partie de son oeuvre jugée « scandaleuse » (démystification de la défaite de 1870, dénonciation des prêtres pédophiles, charges à répétition contre les vices et ridicules de la bourgeoisie