Odeur corporelle

D’après les articles de presse regroupés sur Scoop.it, Wordle a permis de dégager les mots suivants : Recherche documentaire Analyse des articles : Avec la recherche documentaire, 7 articles ont été trouvés, en voici quelques extraits : « Une odeur rare, clairement reconnaissable : la vôtre. Quelques parfumeries ont décidé de se spécialiser dans le "sur-mesure" pour satisfaire leurs clients las deporter la même fragrance que des centaines de milliers d'inconnus. C'est le cas de Nose, installée

qualité perçue ». La « qualité perçue » n’est pas la qualité intrinsèque du produit, mais l’impression que l’angle sensoriel exerce sur l’utilisateur. Vous pouvez proposer les plus beaux vêtements du monde, si votre cabine d’essayage exhale une odeur repoussante, le lien avec le consommateur sera immédiatement rompu. De même, des fenêtres extrêmement sophistiquées seront perçues comme mal isolantes si, au premier toucher, leur poignée paraît froide. 3 – « Si tout est sensoriel, rien n’est perçu

surpassera bien vite le maître : le cupide parfumeur Balbini ,il en aspirera la Substantifique moelle tel un vampire a l’odorat surdéveloppé Sa quête de connaissance lui fait quitter paris, traverser la France du nord au sud et trouver un lieu sans odeur afin d y déceler la sienne .Mais ses efforts seront vains Ce monstre en quête de son âme est aussi un géni olfactif qui a pressenti l existence d’un graal : le parfum des parfums Un accord parfait, constitué des harmoniques les plus pures

le cas du personnage principal nommé Jean-Baptiste Grenouille. Ce personnage sans odeur est doté d’un odorat surdéveloppé. Habituellement, un héro suscite l’admiration chez les lecteurs mais grenouille, était un homme tout à fait naturel : «Il était un peu court sur pattes, il se tenait de façon un peu gauche, le visage était un peu inexpressif, bref il ressemblait à des milliers d’autres gens». Il n'a aucune odeur qui lui est propre, ce qui effraie les gens qui le rencontrent durant le roman. De

Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers

Objet d'étude : La poésie. Corpus : Texte 1 : Victor Hugo, L'araignée et l'ortie, Les Contemplations, Livre III (1856). Texte 2 : José Maria de Heredia, Midi, « La Nature et le Rêve », Les Trophées, 1893. Texte 3 : Francis Ponge, Ode inachevée à la boue (extrait), Pièces,1962. Texte 4 : Philippe Jaccottet, Fruits, Airs, 1961-1964.    I. Vous répondrez d'abord aux questions suivantes (6 points) 1. Relevez dans chaque texte du corpus une comparaison ou une métaphore, et montrez ce que

« Un hémisphère dans une chevelure » est un poème en prose écrit par Charles Baudelaire, poète (1821-1867), tiré du recueil « le Spleen de Paris » parution posthume en 1869. Dans ce recueil on trouve les thèmes de l’amour et du voyage. « Un hémisphère.. ;; » est une reprise d’un poème « des Fleurs du Mal » titré « La chevelure » écrit sur la même construction, sept strophes mais adapté en prose. On peut se demander comment à travers un poème Baudelaire nous entraine dans un voyage imaginaire ?

L’odorat qui est le sens le plus important puisqu’il donne même son titre au sonnet « parfum exotique ». C’est en effet le parfum de la femme qui guide Baudelaire. Observez le champ lexical de l’odorat : « je respire » (v.2), « l’odeur » (v.2) »ton odeur » (v.12), « le parfum » (v.12), « la narine » (v.13). - La vue : « je vois » (v.3), « qu’éblouissent » (v.4), « je vois » (v.10) - L’ouïe : le « chant des mariniers » (v.14) - Le goût : « fruits savoureux » - Le toucher : « m’enfle la narine

Victor HUGO (1802-1885) J'aime l'araignée J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait ; Et que rien n'exauce et que tout châtie Leur morne souhait ; Parce qu'elles sont maudites, chétives, Noirs êtres rampants ; Parce qu'elles sont les tristes captives De leur guet-apens ; Parce qu'elles sont prises dans leur oeuvre ; Ô sort ! fatals noeuds ! Parce que l'ortie est une couleuvre, L'araignée un gueux; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes, Parce qu'on les fuit

n’est pas vraiment le même. Dans « L’idéal », il est évoqué le fait que les hommes veulent souvent plus, qu’ils cherchent à atteindre la perfection, et ce dans tous les domaines. « Le Parfum » a pour but de nous montrer le pourvoir de l’odorat. Une odeur peut parfois être synonyme d’un souvenir, ou d’une habitude. Cela est unique à chaque être. Enfin, « L’Horloge » évoque le thème bien connu de la fuite du temps, mais aussi du remords. En effet, le temps passe et certaines choses ne peuvent pas toujours