Odeur corporelle

Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers

heureux Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Les

- visuelles (" qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone ") (" je vois un port) - d'autres sensations olfactives (" guidé par ton odeur " " parfum des verts tamariniers " - auditives (" le chant des mariniers ") - gustative (" des fruits savoureux ") Les cinq sens sont donc présent dans ce poème. Il est intéressant de noter que si le point de départ est une odeur les principales sensations composant cette rêverie sont visuelles. On peut aussi remarquer que le poème possède une structure en expansion

Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers

Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers

tout fatigués ». A travers ce poème, l’auteur nous montre qu’il se trouve près de sa bien aimée qu’il décrit avec passion et sensualité. En effet, il s’adresse directement à elle « Je respire l’odeur de ton sein chaleureux » ou encore « Guidé par ton odeur ». On s’aperçoit que le poète est captivé par sa maitresse et qu’il exprime ses sentiments amoureux en écrivant ce poème. En ce qui concerne la ponctuation, on voit que les points virgules sont à la fin du vers 4 et à la fin du vers 6 et on remarque

judicieux de mettre en place une filiale pour commercialiser le parfum, car le nom Bic fait tache pour un produit de luxe. Nouveau produit : Le cache odeur. Au lieu d’essayer de relancer un parfum, nous avons decider de mettre en place un produit similaire mais qui correspond plsu a l’image que le client a de bic. Nous avosn donc lancé le cache odeur bic, voici notre produit présenté sous un marketing mix :  Product : o Nouveau concept : Ce produit est avant tout un gadget, il ne doit pas être

enivrante de Jeanne inspire l‘harmonie des sens. Par l’odorat, Baudelaire exprime le bien être que lui procure son parfum : « je m’enivre des odeurs ». Le verbe utilisé nous informe sur le plaisir intense ressentie par l’auteur à l’émanation de son odeur, il semble même que l’auteur soit dans un état second. Par le touché, le poète se remémore des souvenirs apaisant de son passé : « dans les caresses de ta chevelure, je retrouve les langueurs des longues heures passées sur un divan, dans la chambre

d’ironie car le bourreau devient la victime. De plus, cet extrait montre que Jean-Baptiste Grenouille a bien réussi son « parfum parfait » car celui-ci le rend irrésistible et c’est ce qu’il chercher. Il voulait attirer l’attention des gens avec son odeur car au cours de sa vie il n’avait pas pu se faire remarquer à cause de son corps qui ne possédait pas d’odeur propre à lui-même.

sensualité : « caresses », « langueurs », « divan », « chambre » et le port tropical :« un beau navire », « roulis imperceptible du port », « pots de fleurs », « gargoulettes » ; au paragraphe 6 : L’univers tropical : « ardent foyer » (chaleur), « odeur du tabac », « opium », « sucre », « l’infini de l’azur tropical », « rivages duvetés », « goudron », « musc », « huile de coco » et les sensations : « je respire » (odorat), « je vois » (vue), « je m’enivre » (goût). Ainsi, on observe que les paragraphes