Odilon Barrot

soumission hiérarchique au pouvoir central. Exemple du Préfet : il n’y a pas de délégation du pouvoir politique mais simplement du pouvoir administratif. Autrement dit, « c’est toujours le même marteau qui frappe, on en a raccourci le manche » (Odilon BARROT, homme politique du XIXème siècle). La déconcentration correspond au principe selon lequel « si on ne gouverne bien que de loin, on n’administre bien que de près ». La déconcentration ne modifie pas la nature des relations entre l’Etat et ses

la restauration, il soutient Charles X. En cela, il s'inscrit dans la ligne politique de Chateaubriand. Lors de la Révolution française de 1848, Victor Hugo, pair de France, prend d'abord la défense de la monarchie (le président du Conseil Odilon Barrot, le charge de défendre l'idée d'une régence de la Duchesse d'Orléans). Une fois la république proclamée, Lamartine lui propose un poste de ministre (Instruction publique) dans le gouvernement provisoire de 1848, mais il refuse. Lors des élections

AMENAGEMENTS a - La déconcentration La déconcentration est un système d’organisation administrative dans lequel l’Etat délègue des compétences à des autorités le représentant dans le cadre de circonscriptions administratives. Comme le disait Odilon Barrot : « dans le cadre de la déconcentration c’est toujours le même marteau qui frappe mais on en a raccourci le manche ». La déconcentration se caractérise par ses structures mais aussi par les relations qui s’instaurent entre celles-ci et l’Etat.

compétences, à l’intérieur d’une même personne administrative, d’un niveau d’administration vers un autre. Cette même personne administrative c’est l’état unitaire. « C’est toujours le même marteau qui frappe mais on en a raccourcit le manche. » Odilon BARROT (19°s). Le pouvoir reste entre les mains de l’autorité centrale, et il existe une tutelle stricte sur le subordonné qui est soumis à un lien hiérarchique. L’agent dispose d’une certaine marge d’appréciation dans le cadre de sa circonscription

soumises au pouvoir hiérarchique des autorités centrales (ex : Ministre). L’Etat reste la seule personne morale de droit public mais elle rapproche son administration des administrés, ce qui corrige le précédent problème de lenteur et de lourdeur (Odilon Barrot : « C’est le même marteau qui frappe mais on a raccourcit le manche »). c. L’Etat unitaire décentralisé et déconcentré (France).La décentralisation aboutit à ce que l’Etat transfert certaine de ces compétences à de nouvelles personnes morales

la population ainsi qu’aux pouvoirs publics. II - UN ETAT UNITAIRE DECONCENTRE La déconcentration est un système d’organisation administrative dans lequel sont créés, à la périphérie, des relais du pouvoir central. Comme le disait Odilon Barrot : « dans le cadre de la déconcentration c’est toujours le même marteau qui frappe mais on en a raccourci le manche ». C’est donc toujours l'État qui agit mais pour être plus efficace, il rapproche certaines de ses autorités des administrés

la masse des affaires relevant de l'état reste ce qu'elle était mais le règlement d'affaires qui relèvent du premier ministre ou des ministres est transféré à des autorités locales (recteur d'académie pour l'éducation nationale par exemple.) Odilon barrot « c'est le même marteau qui frappe mais on en a raccourci le manche » illustre la déconcentration et résume le premier avantage de la déconcentration qui est le rapprochement entre l'administration et les administrés. Napoléon III: « on gouverne

autorités locales 1- La déconcentration Déconcentrer : l’Etat délègue une partie de ses compétences / pouvoirs à ses agents locaux (préfets, recteurs (pour l’éducation)…). [Une citation fait bonne figure au début d’une dissertation] Odilon BARROT définition : « Avec la déconcentration c’est toujours le même marteau qui frappe mais on a raccourci le manche » = toujours la même personne mais avec une meilleure répartition « on frappe plus près ». 2- La décentralisation Cela consiste

pouvoir de décision mais elles vont se décharger de certaines de leurs attributions sur des subordonnés locaux. Cela s’opère par un transfert de compétence à l’intérieure d’une même personne administrative d’un niveau d’administration vers un autre. Barrot Odilon : « C’est toujours le même marteau qui frappe mais on en a raccourcis le manche » Le pouvoir reste dans les mains de l’autorité centrale et il existe une tutelle stricte sur le subordonné qui est soumis à un lien hiérarchique. Malgré tout l’agent

de l’an 8, la loi du 28 pluviôse, an 8 a créé l’institution préfectorale. Les préfets sont les représentant de l’État dans les départements et aujourd’hui dans les régions. C’est toujours le pouvoir central qui s’exprime à travers les préfets. Odilon Barrot, pour décrire le rôle du préfet a dit que c’est toujours le même marteau qui frappe mais on a raccourcis le manche. B- L’État unitaire décentralisé : le cas français. 1°/Le statut constitutionnel des collectivités territoriales La Constitution