Oedipe Roi Sophocle Extrait

s’est fait arrêter pour avoir été prise sur le fait. Créon tente de la sauver : il essaie de la « ramener à la raison ». Mais elle reste sourde et impassible à ses arguments, elle « ne veut pas comprendre ». CRÉON Un matin, je me suis réveillé roi de Thèbes. Et Dieu sait si j'aimais autre chose dans la vie que d'être puissant... ANTIGONE Il fallait dire non, alors ! CRÉON Je le pouvais. Mais, je me suis senti tout d'un coup comme un ouvrier qui refusait un ouvrage. Cela ne m'a pas paru

travers leurs réflexions de la vie ? du 16ème siècle à nos jours. A travers 4 textes, extraits de différents types de littérature : 1 – Une Fable : Le Savelier et Le financier de La Fontaine de 1668 – 17ème siècle 2 – Un conte philosophique : Extrait de Candide de Voltaire de 1759 – 18 ème siècle 3 – Un roman épistolaire : Extrait de Julie ou la nouvelle Héloise - 18 ème siècle 4 – Une pièce de théâtre : Extrait d'Antigone de Anouilh – 20 ème siècle SEQUENCE IIL'ART ET LA BEAUTE La construction

Question Documents A – Sophocle, Antigone, ve siècle av. J.-C. (vers 441-472). B – Marivaux, L’Île des esclaves, 1725 (extrait des scènes 1 et 2). C – Jean Anouilh, Antigone, La Table ronde, 1944. D – Bernard-Marie Koltès, Le Retour au désert, Minuit, 1988. > Après avoir défini l’enjeu de l’affrontement dans chacune de ces scènes, vous direz laquelle vous paraît la plus intense. Vous justifierez votre choix. Après avoir répondu à cette question, vous traiterez au choix un des sujets suivants : commentaire ; dissertation ouécriture

« deux femmes pour un fantôme » rédigé en 1971 par René de OBALDIA. Nous montrerons dans quelle mesure chacune des trois scènes du corpus répondent ou non aux principes d'art dramatique énoncés par Boileau dans son « Art poétique». Dans son extrait de « l'art poétique » boileau énonce les principes d'art dramatique suivant : la pièce doit plaire et toucher le spectateur ( v.1 « le secret est d'abord de plaire et de toucher ») notamment par son originalité (v.2 « inventez des ressorts qui puissent

Corpus : Le corpus présenté ici est constitué de quatre extraits. Le premier texte est un extrait de l'acte III du vers 25 à 33 de « l'art poétique » de Nicolas BOILEAU. Dans ce passage écrit en alexandrin, le poète nous énonce les normes classiques de l'art du théâtre. Le second texte, d'Alfred de MUSSET, est quant à lui un extrait de l'acte I, scène 1, de sa pièce de théâtre intitulée « Les Caprices de Marianne » datant de 1833. Cet extrait est un dialogue entre Marianne et Ciuta, « une vieille

allemande à la façon d'une tragédie classique. Il s'inspire d'un des plus grand dramaturge de la tragédie en reprenant l'héroïne de Sophocle, Antigone. C'est une pièce très émouvante qui a pour héroïne Antigone, la fille du funeste Œdipe et de Jocaste qui décide d'offrir à son frère Polynice, malgré l'interdiction du Roi des sépultures. A la suite de sa décision, le Roi, face à ses obligations de seigneur se voit obliger de condamner à mort la future femme de son fils, Hémon. L'extrait choisi se déroule

Pièce à structure hybride, « Roméo et Juliette » commence comme une joyeuse comédie. La première scène s'ouvre en effet sur le dialogue entre deux valets de la famille Capulet, Samson et Grégoire, qui rivalisent d'esprit et de jeu de mots (lire extrait). D'autres personnages comiques sont présents dans les deux premiers actes, comme la nourrice de Juliette, avec ses anecdotes grivoises ou ses impropriétés d'expression (lire page 64), et Mercutio, l'ami de Roméo, qui, à l'aide de plaisanteries à

alors à une pièce de Sophocle, qui pour un esprit moderne évoque la résistance d'un individu face à l'État. Il la traduit, la retravaille et en donne une version toute personnelle. La nouvelle Antigone est donc issue d'une union anachronique, celle d'un texte vieux de 2400 ans et d'un événement contemporain. Présentation de la pièce : Il faut garder en mémoire que dans la pièce de Sophocle le personnage tragique n'est pas Antigone, mais Créon. Comme Œdipe, son neveu, dont il prend

auxquelles il participe. Souvent dans les pièces de l’antiquité ou celles extraites des récits mythologiques, les liens qui unissent les personnages sont ambigües voir irrationnels. Par exemple Antigone de Sophocle qui a été repris par Jean Anouilh, le protagoniste qui veut part tous les moyens rendre les honneurs funéraires à son défunt frère, est à la fois la fille et la petite fille de la reine Jocaste puisque son père Œdipe, roi de Thèbes, est le fils et le mari de celle-ci. Ces liens de sang paraissent

Par la suite, on a ajouté les acteurs dans ces cultes faits au dieu Dionysos et c’est ce qui a permis les dialogues tels qu’on les connaît dans la tragédie grecque. Eschyle a été le premier à les introduire au cinquième siècle av. J.-C., mais c’est Sophocle et Euripide qui les rendirent plus importants dans leurs écrits en préférant comme héros l’homme aux dieux. Les représentations tragiques de cette époque étaient aussi importantes que les cérémonies religieuses. Le théâtre était construit en demi-cercle