Oiseau de feu

calmes certaines bêtes / Et l’impliable oiseau de nuit / Joignent tes yeux » ou le tercet de « La glace cassée » : « Le vent est à la barre / L’Horizon vertical / Verse le ciel dans ta main maladroite » ou encore dans « L’Aventure » : «  Connais ta terre de ton cœur / Que germe le feu qui te brûle / Que fleurisse ton œil » Les perceptions sensorielles multiples : La vue pour « les yeux » Le toucher pour « ta main » Les trois éléments que sont : L’eau, Le Feu et L’Air avec le « le vent » On peut

qui vont ensemble. . . . sépare des groupes de mots. ! . . s’emploient lorsque quelqu’un parle. « » . . se met à la fin d’une question. , . . permet de s’étonner, de s’exclamer. ? . . termine une phrase. 3. Complète avec un ! ou un ?  Au feu ___ Qui a vu la fumée ___ Est-ce que les pompiers vont venir ___ Nicolas ___ viens ici ___ Est-ce que tu as appelé les pompiers ___ Dépêche-toi ___ 4. Complète avec un . ou une ,  Aujourd’hui ___ nous allons au cinéma ___ Dans la rue ___il y a

auteurs cités ont tous parlé du temps à travers leurs poèmes.   Le temps a laissé son manteau Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie, Et s'est vêtu de broderie, De soleil luisant, clair et beau. Il n'y a bête ni oiseau Qu'en son jargon ne chante ou crie: « Le temps a laissé son manteau! De vent, de froidure et de pluie, » Rivière, fontaine et ruisseau Portent, en livrée jolie, Gouttes d'argent, d'orfèvrerie; Chacun s'habille de nouveau. Le temps a laissé

l’univers de l’enfance. En saisissant les mouvements infimes de la lumière sur un objet banal, en les traduisant par les images des " gouttes d’or " (vers 6), du " feu vert et doré " (vers 11), il entraîne le lecteur dans l’expérience sensorielle qu’il a connue, lui offre ainsi une image renouvelée de la bicyclette désormais métamorphosée en oiseau (vers 9), puis en planète (vers 21). L’objet quotidien est donc devenu presque surnaturel, et le poète a ainsi rempli la mission que lui confère Cocteau.

texte3:un extra-terrestre juge les humains. Ils donnent surtout un pointe de vue négatif sur les humains qui emmène le lecteurs à réfléchir sur sa société. Cyrano de Bergerac fait une plaidoirie sur un animal accusé d'être homme et montre le regard d'un oiseau sur l'homme, on peut voir cette plaidoirie comme ironique dans le sens ou Bergerac inverse les rôles ; pour une fois c'est l'homme qui est jugé . Il parlent également de la liberté que l'homme ne sait pas apprécier car ils se font esclaves et on toujours

| | |En avril ne te découvre pas d’un fil | | |Attention, le petit oiseau va sortir ! | | |À nos femmes et à ceux qui les montent/sautent |

lapins_____ promener. Le chien_____ gratte, _____ sont des puces qui le démangent. [pic] Complète par c'est, s'est, ces, ses Il a peu neigé _____________dernières années. _____________aujourd'hui lundi. Le jour _____________levé. Qu'il est beau mon oiseau avec ___________plumes multicolores. __________à mon tour de jouer. Mathieu ___________cassé une dent. L'examen ___________bien passé. Pourquoi toutes ____________questions ? La chatte allaite ___________petits. Bravo ! ____________très bien

ne voyez-vous pas Cette robe de soie qui palpite et qui bat D’un cœur rompant le souffle aux ossements des yeux? Or, si vous le vouliez, vous remarqueriez là, Une femme à genoux, transpirant les grenats D’un rosaire alourdi par les remous du feu. Francis Etienne Sicard, Toiles d’étoiles, 1997 Bêtise de la guerre Ouvrière sans yeux, Pénélope imbécile, Berceuse du chaos où le néant oscille, Guerre, ô guerre occupée au choc des escadrons, Toute pleine du bruit furieux des clairons,

vent de la nuit faisait frémir l’herbe rase de la lande ; rien d’autre ne bougeait. Depuis des siècles, aucun oiseau n’avait rayé de son vol la voûte immense et sombre du ciel. Il y avait une éternité que quelques rares pierres n’avaient, en s’effritant et en tombant en poussière, créé un semblant de vie. La nuit régnait en maîtresse sur les pensées des deux hommes accroupis auprès de leur feu solitaire. L’obscurité, lourde de menaces, s’insinuait dans leurs veines et accélérait leur pouls. Les flammes

MAIS LE FEU EST ETEINT ! On raconte l'histoire d'un pasteur qui servait dans une petite église. Un hiver, le dimanche matin, il est arrivé très tôt et a fermé l'arrivée du gaz éteignant ainsi la flamme qui permettait à la chaudière de chauffer l'église. Mais il a mis en marche le ventilateur de la chaudière. Quand les gens sont arrivés, ils pouvaient entendre le bruit du ventilateur mais le local était froid ! Le titre de son sermon ce jour-là était, "Le ventilateur souffle toujours mais le feu est éteint